Du virtuel au sexuel

Pour ceux qui ne se plaignent pas de voir du sexe dans les univers virtuels, ils pourront désormais passer à l’étape du “ressentir virtuel”. Il est maintenant possible pour les veuves des joueurs invétérés (games widower), d’intéresser leurs maris, à les faires ressentir des caresses virtuelles. Les maris aussi pourront ressentir les touchés des adeptes de la manette. Ainsi, des sous-vêtements garnis de manettes vidéo, activent des capteurs situés judicieusement dans une brassière pour ces dames, ou un caleçon boxer pour ces messieurs. Il existe aussi une robe qui assume les mêmes fonctions. Dans un avenir rapproché, vous pourrez sans doute activer ces contrôles directement de votre univers virtuel préféré…

Via ShakeWellBeforUse, sur WeMakeMoneyNot Art et ici

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Article publié le mardi, 8 mai 2007 sous les rubriques Edito sans question et Innovation.

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Commentaires

Boum
mercredi, 9 mai 2007 à 9 h 55 min

Je sais que je ne suis pas sur un blogue de philosophie, mais je me pose des questions sur ces tendances à vouloir recréer les sens à distance. Le téléphone à permis de projeter la voix et donc d’entendre quelqu’un à distance, la vidéo à permis d’avoir des yeux à distance, certains tentent de développer le reproduction de l’odorat à distance, ceux dont tu parler tentent de reproduire le toucher et peut-être qu’en stimulant certaines parties de la langue, nous pourrions reproduire le gout. Certains appareils comme le vidéophone et la télévision combinent déjà deux éléments (auditif et visuel).

Est-ce une volonté, consciente ou non, de délocaliser tous le monde ? Abolir la distance et le temps ? Elvis Presley è été visuellement reproduit (cf Céline Dion et American Idol), pourra-t-on bientot lui toucher ?

Une seule question qui en englobe plusieurs autres: À quoi ça mène tout ça ?
Administrator
mercredi, 9 mai 2007 à 10 h 50 min

Moi je trouve que la délocalisation c’est bien. Je travaille avec des clients de New-York et on ne se rencontre que pas vidéo-Skype. En plus, ça permer de réduire les émissions de CO2. Vivement la délocalisation pour sauver la planète…