Le mauvais cheval de bataille de l’ADISQ
Sylvain Carle, Martin Lessard et Roberto Rocha reprennent le débat sur ce que peut faire l’ADISQ (l’industrie québécoise du disque) face à la numérisation grandissante de l’œuvre musicale et la perte de leur part de marché. Celle-ci semblent opter pour la réglementation du web via le CRTC afin de protéger son marché. J’ai déjà écrit ici à l’ADISQ pour leur dire qu’ils se trompaient de cible à l’époque où ils traitaient les jeunes de voleurs. Ils ont au moins maintenant changé leur fusil d’épaule à ce propos et se tournent maintenant vers le CRTC afin qu’il trouve une solution miracle à leurs problèmes. Mais ils se trompent encore de cible.
La solution?
La solution se trouve chez les jeunes et leurs habitudes de consommation. J’ai écrit il n’y a pas si longtemps à propos de la génération Net et de fait qu’ils sont en train de modifier substantiellement les habitudes et pratiques marketing que nous connaissons jusqu’à présent. De plus, j’ai aussi déjà écrit sur la manière d’augmenter les ventes de musique en ligne. Il suffit de fournir aux jeunes la possibilité réelle d’acheter de la musique en ligne. Ce n’est pas plus compliqué que ça…
Article publié le vendredi, 2 novembre 2007 sous les rubriques Commerce de détail en ligne, Marketing Internet, Relations publiques Internet et Stratégies de commerce électronique.