Un plan numérique pour le Québec, l’entrevue à Radio-Canada

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J’ai eu beaucoup de plaisir à répondre aux questions très pertinentes du journaliste de Radio-Canada Bruno Guglielminetti à propos du retard du Québec en ce qui a trait à l’économie numérique et aux correctifs que l’on peut y apporter. Comme par hasard, hier j’écrivais le billet Signets pour une gentille candidate aux élections et pour un fonctionnaire de bonne volonté ou vous trouverez tout les hyperliens se rapportant à cette discussion.
Le billet : Le cyber retard du Québec
L’entrevue avec Bruno Guglielminetti 13 :24 min.

MAJ
Je n’aime pas ma voix qui est encore trop grave. D’un autre côté, c’est un sujet grave…

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Commentaires

  1. Benoit Grenier

    Très bon reportage sur Radio-Canada. Ce que j’apprécie le plus, c’est le ton sans détour de tes interventions. En ce qui concerne les partis politiques, le what’s in it for me n’est pas encore compris. M’enfin, les gagnants sont déjà connus. À +

  2. Jonathan B.

    Pour une radio d’État, le son est pas mal affreux!

    Ceci dit, je vous nommerais Ministre des communications drette-là!

  3. Avis à tous ! Plan numérique pour le Québec : Communication 8020

    […] ce que je crois être une participation constructive à cette nouvelle société via notre amie Michelle Blanc.  Écoutez le reportage à Radio-Canada où elle nous présente le début de ce qui est déjà […]

  4. Gilles Arbour

    Une formidable opportunité pour les entrepreneurs Web

    J’ai écrit un commentaire semblable suite à la présentation de ces statistiques sur le blogue de Bruno. Ces chiffres nous donnent une bonne indication de la tendance générale à magasiner sur le Web partout dans le monde. C’est intéressant de connaître le montant dépensé à l’extérieur du Québec par Internet mais il manque la colonne des + «revenus étrangers» à l’équation.

    Nous vivons dans un nouveau paradigme commercial. Les gens qui achètent par Internet n’achètent pas au Québec ou aux USA ou en Australie, ils achètent sur leur écran bien assis dans leur salon à la maison dans leur propre pays. Selon le produit acheté, les frontières disparaissent presque sur internet. Pour tous les produits numériques par exemple, le processus d’achat est exactement le même sur tous les continents peu importe où l’entreprise est située.

    Ceci est vrai pour les habitants du Québec mais aussi pour tous ceux qui ont accès à l’internet partout dans le monde. On donne souvent le chiffre de plus de 1 milliard d’individus. Tous ces gens sont des clients potentiels pour l’enterpreneur Web, qu’il soit au Québec ou ailleurs.

    Pour notre part nous vendons des fichiers musicaux sur notre site web, presque uniquement des compositions de musiciens québecois. Par contre notre clientèle provient de 96 pays à ce jour. Nos ventes québecoises et canadiennes se limitent à environ 5% de notre chiffre d’affaire alors que les achats en provenance des USA dépassent les 50%. Le reste provient du Royaume-Uni, de l’Australie, du Brésil, de la France, etc. Ce 95% de revenus en provenance de l’étranger est déposé dans notre compte en banque au Québec, redistribué aux musiciens québecois, et nous payons toutes nos taxes et tous nos impôts ici au Québec.

    Il n’y a pas qu’une fuite de capitaux par le commerce électronique, il y a aussi une possibilité très grande d’entrée de capitaux.

    Notre propre entreprise est très modeste mais l’opportunité est formidable pour tous les entrepreneurs Web. Grâce à l’internet le marché mondial est grand ouvert. C’est aux entrepreneurs d’ici de saisir l’occasion d’aller chercher des capitaux étrangers pour les faire recirculer dans notre économie.

    J’aimerais bien connaître l’autre coté de l’équation du commerce electronique québecois, le montant des achats hors Québec et hors Canada faits sur les sites Internet appartenant à des entreprise québécoises.

    Combien d’argent venant de l’extérieur emplit les coffres d’entreprises locales? C’est ce chiffre qu’il faut connaître et qu’il faut faire croître. Bien sur nos gouvernements devraient nous appuyer en ce sens et toute aide sera précieuse. Mais je n’attends pas, je ne voudrais pas être dans le dernier wagon de ce train qui file à toute allure.

    Gilles Arbour
    http://www.premiumbeat.com

  5. À Christiane Charrette pour parler d’économie numérique et d’autres choses • Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière et auteure

    […] oubliée de la campagne électorale vide actuelle (J’ai d’ailleurs déjà accordée une entrevue à Bruno Guglielminetti, son réalisateur, à ce propos). On sait déjà que les différentes initiatives de la communauté Web du Québec pour qu’ENFIN […]

  6. Le retard numérique du Québec…2010 toujours pas de plan? | Diane Nadeau

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