Avis à mes détracteurs, La conversation, c’est de jaser…

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Cette fin de semaine j’étais à l’émission de la radio de Radio-Canada, La Sphère, animée par Mathieu Dugal et il me posa la question qui tue (de mes détracteurs, les tabarnaks de jaloux). De parler de votre première vaginite, de vos recettes, de votre chien, ça dépasse l’information pertinente ? (l’entrevue est à partir de la 27e minute)

Bin oui justement, de parler d’autres choses ça fait parti d’une saine conversation. D’ailleurs on revient toujours avec quelques statuts Twitter choc, comme celui de ma vaginite, de ma blague d’un jeudi confession (sans mentionner que c’était une blague du 1ier avril), de mes recettes ou de mon chien. C’est gens là n’ont pas compris que comme dans la conversation hors web, celle du web se doit aussi d’être variée, diversifiée, venant de vos tripes et vivante. J’ai déjà expliqué qu‘à cause de la loi des grands nombres, je suis maintenant plus en mode broadcast que de réelle discussion, mais ça ne m’empêche pas de répondre à ceux qui m’interpellent (dans la mesure du possible) et surtout, d’être spontanée et diversifiée dans mes partages de contenus. D’ailleurs la question de mon blogue de Charlotte, fait maintenant partie du contenu de mes conférences et est une analyse de cas médias sociaux fascinante (elle a eu 13 000 pages vues lors du premier mois en ligne et oui, ce n’est qu’un chien). J’ai en outre valorisé les avantages stratégiques de savoir déconner, parler De l’importance du pâté chinois dans une stratégie médias sociaux, de l’importance de garder sa saveur linguistique régionale, d’aborder des sujets aussi sérieux que celui de la mort, De la transparence, de la mise en scène et de la perte de contrôle, et du narcissisme et de ma vaginite.

Mais la démagogie est forte et quelques twits sur 37 463 (au moment d’écrire ces lignes) serviront sans doute encore longtemps d’exemples à mes détracteurs, pour prouver que mes contenus, ce n’est pas de l’information pertinente…

Conclusion

Chers détracteurs

24 714 abonnés Twitter
5 000 abonnés à mon profil Facebook (dont 598 demandes en attentes et 404 abonnés)
3 186 fans de ma page Facebook
5 385 abonnés Google+
et des dizaines de milliers de lecteurs de mes blogues et de mes livres trouvent sans doute que ma diversité éditoriale est rafraichissante et que votre opinion sur la non-pertinence des mes propos, ils s’en “tabarnakent” aussi …

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Commentaires

  1. Sylvie Rivard

    Crissement ben envoyé 😉

  2. Sylvie Anne

    Est-ce que c’est mal si le fait de parler publiquement de ses intérêts peut déboucher sur de nouveaux horizons? NON. Si Michelle finit par éditer ses recettes et d’en faire un livre, tant mieux pour elle et tant mieux pour les amateurs de bonne bouffe! Si Charlotte inspire l’écriture d’un livre pour enfant ou qu’une commandite de bouffe à chien peut aider une compagnie à faire parler d’elle, je vois pas où est le problème. Si le fait de raconter son cheminement (même l’histoire de la vaginite) et de pouvoir en rire (joke du poisson d’avril) peut aider des gens qui vivent dans une situation semblable, ça ne peut être que bénéfique. (Personnellement, je connais un ado qui va beaucoup mieux depuis qu’il voit que c’est possible d’avoir une belle vie et du succès même si on est trans, grâce à Michelle.) Ceux qui chialent, qui la traitent d’opportuniste ou de je sais pas trop quoi sont des JALOUX! Pour être politically incorrect : qu’ils mangent tous de la merde!

  3. Danielle Lauzon

    Maudit crime qu’il y a du monde méchants et médisants. Je trouve qu’on commence à voir les contres-coûts de la vitesse à laquelle se propagent les dirent, qu’ils soit négatifs ou positifs. C’est comme avec certains ados qui ne saisissent pas l’importante de se qui se fait et se dit sur le net et qui reste gravé à jamais.Heureusement qu’on peux jaser et s’intéresser de pleins de sujets.

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  5. Stéphane Lévesque

    Comme tu dis, des cibonac de jaloux. C’est quand même bizarre, car les profs qui sont généralement les plus appréciés, dans les écoles, sont généralement ceux qui nous font déconnecter le temps d’une anecdote….
    Dans le fond, s’il y a des caves qui dénigrent Michelle, c’est probablement qu’elle est à un stade beaucoup plus élevé qu’elle même peu s’imaginer.
    La majorité des gens ont une facilité navrante à dénigrer la réussite, mais ils ont une cibole de misère à féliciter l’intelligence de l’oeuvre d’une personne.
    Alors, félicitons Michelle, c’est toujours super de la lire et surtout ça apporte toujours quelque chose…Si ce n’était pas le cas, elle ne serait pas de plus en plus populaire….
    Merci Michelle….

  6. Caro

    Il y a toute sorte de monde dans un monde! @ Sylvie : d’accord avec toi.

  7. Diane

    Ben plate d’avoir à se soumettre à des justifications pcq que nos affaires marches ou que la notoriété acquise dérange les autres. Mais il faut quand même ne pas hésiter à répondre à ces gens qui nous font perdre un temps précieux!

  8. isabelle Boulanger

    Hihhihihihihihihihihihihihihihihhihihihihi! j’adddddore le «ils s’en “tabarnakent” aussi …»! C’est tellement rafraîchissant de lire ceux qui Ose être ce qu’ils sont, sortir de la sacro-sainte «image/profil d’affaire».

  9. Marie-Eve Duval

    Bien envoyé! Après tout, ceux que le contenu n’intéresse pas n’ont pas à le lire. On est dans un monde libre après tout! @Stéphane : Très vrai, un de mes profs préférés du Cégep faisait passer sa matière en français (oui, oui en français) avec des anecdotes! Ça passait tellement mieux et c’était divertissant. C’était un des professeurs préférés de l’école!

  10. Mathieu Bock-Côté, François Legault et Twitter • Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière et auteure

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