Deux entrevues particulièrement pertinentes à propos de Les médias sociaux 201

J’ai eu la chance d’accorder des entrevues à la grandeur du Québec à propos de mon dernier livre Les médias sociaux 201. J’ai noté avoir été beaucoup plus en demande en région qu’à Montréal à ce sujet. Je m’explique cela par la sans doute trop grande diversité de sujets qu’il est possible et qui se doivent d’être couvert dans la région métropolitaine. Mais aussi sans doute parce que j’ai froissé quelques égos par de trop nombreuses sortis publics sur les médias d’ici (menace de fermeture de La Presse, Lock-out du Journal de Montréal par exemple, pour ne nommer que ceux-là) et aussi sans doute à cause de mon chapitre Le journalisme et les médias de mon livre Les médias sociaux 101, qui fait sans doute mal au bon endroit.

Quoi qu’il en soit, ces diverses considérations de clochers locaux ne sont pas pertinentes pour ce que certains nomment avec un air hautain comme étant « les régions ». Et j’en suis fort aise. D’ailleurs il me fait plaisir de vous partager les deux entrevues qui m’ont touchée le plus lors de cette tournée du Québec, tout d’abord à cause de la grande pertinence des questions, mais aussi parce que j’y sentais tout le laborieux travail de recherche qui avait été fait au préalable de nos discussions. Je remercie aussi chaleureusement tous les autres journalistes avec qui j’ai eu grand plaisir à jaser de médias sociaux et je regrette que plusieurs de ces entrevues ne soient pas numérisées.

Mon entrevue avec Claude Bernatchez de la Radio de Radio-Canada (ville de Québec) lors de son émission matinale Première Heure (15 minutes).

Mon entrevue en quatre parties avec la journaliste Thérèse Martin du Journal L’Avantage de Rimouski, qui a été filmé dans leur studio (parce qu’ils ont compris que le multimédia et le Web ça aide aussi le papier). L’article : [Vidéo] Michelle Blanc : « Les journaux et le Web peuvent cohabiter »

Partie 2

Partie 3

Partie 4

Mes entrevues sérieuses, philosophiques et rigolotes à LeWeb

C’est toujours un plaisir de visiter les cousins à Paris pour le Davos du Web, c’est-à-dire le congrès LeWeb de Géraldine et Loïc Le Meur. Comme je commence être un petit peu connue outre Atlantique, on me demande souvent de données des entrevues à divers médias et/ou blogues d’affaires. Ainsi, voici une sélection des infos pertinentes, des coups de gueule et des conneries que j’ai eu le plaisir de partager avec les potes français. (Oui je suis méchante quelquefois, mais c’est toujours fait avec amour.)

Mon entrevue avec Jeremiah Owyang et Fred Cavazza à propos des médias sociaux dans l’entreprise.

Mon entrevue sérieuse avec TV5 Monde à propos de ce que je fais à LeWeb

Mon entrevue mi-figue, mi-raisin avec le portail Locita (et mon coup de gueule « les éditeurs Français c’est des conards). À ce propos, vous pouvez télécharger gratuitement les deux premiers chapitres de Les médias sociaux 101(PDF) et le premier de Les médias sociaux 201(PDF).

Mon entrevue Coup de gueule pour France Télévision avec Jean-Michel Billaut, dans laquelle je me scandalise de sa situation SCANDALEUSE, qu’il explique remarquablement bien dans l’un des billets les plus touchants du Web Cela fait 2 ans que je n’ai pas pris de douche…

L’intro de France Télévision

JAZZ ON THE WEB : suivez Jazz! Jean-Michel Billaut, blogueur influent à mobilité réduite, fait son web 11 de chez lui grâce à Jazz, son avatar. Pour Jean-Michel Billaut, être présent sur le Web 11 via le robot Jazz, c’est l’occasion de rencontrer des blogueurs du monde entier. Parmi eux, la québecoise Michelle Blanc. Cette spécialiste du e-commerce et des stratégies numériques assume aussi sa transexualité. Elle a pris fait et cause voilà quelques mois pour Jean-Michel qui n’arrivait pas à toucher la subvention destinée à aménager son logement. Grâce au Web 11 et à Jazz , ils ont pu échanger quelques remarques, la convivialité québecoise a fait le reste…

Mon entrevue philosophique avec le blogueur William Réjault, pour lequel je réponds aux deux questions :
Quel est le meilleur conseil que l’on m’ait jamais donné ?
Lorsque ça ne va pas, quelle image ai-je en tête ?

Finalement, comme chaque année, je fais aussi la folle de service pour France télévision et je m’amuse à jouer les « speakrine Française ».

En terminant, vendredi je serai aussi en direct sur France5, via Skype (et via un clip qui a déjà été tourné à Paris) pour l’émission du copain Cyrille De Lasteyrie (mieux connu sous le pseudo de Vinvin) Le Grand Webze. Le sujet sera « Internet et la vie privée-vie intime ». Je ne sais malheureusement pas si cette émission sera disponible en format web ici ☹

Avis à mes détracteurs, La conversation, c’est de jaser…

Cette fin de semaine j’étais à l’émission de la radio de Radio-Canada, La Sphère, animée par Mathieu Dugal et il me posa la question qui tue (de mes détracteurs, les tabarnaks de jaloux). De parler de votre première vaginite, de vos recettes, de votre chien, ça dépasse l’information pertinente ? (l’entrevue est à partir de la 27e minute)

Bin oui justement, de parler d’autres choses ça fait parti d’une saine conversation. D’ailleurs on revient toujours avec quelques statuts Twitter choc, comme celui de ma vaginite, de ma blague d’un jeudi confession (sans mentionner que c’était une blague du 1ier avril), de mes recettes ou de mon chien. C’est gens là n’ont pas compris que comme dans la conversation hors web, celle du web se doit aussi d’être variée, diversifiée, venant de vos tripes et vivante. J’ai déjà expliqué qu‘à cause de la loi des grands nombres, je suis maintenant plus en mode broadcast que de réelle discussion, mais ça ne m’empêche pas de répondre à ceux qui m’interpellent (dans la mesure du possible) et surtout, d’être spontanée et diversifiée dans mes partages de contenus. D’ailleurs la question de mon blogue de Charlotte, fait maintenant partie du contenu de mes conférences et est une analyse de cas médias sociaux fascinante (elle a eu 13 000 pages vues lors du premier mois en ligne et oui, ce n’est qu’un chien). J’ai en outre valorisé les avantages stratégiques de savoir déconner, parler De l’importance du pâté chinois dans une stratégie médias sociaux, de l’importance de garder sa saveur linguistique régionale, d’aborder des sujets aussi sérieux que celui de la mort, De la transparence, de la mise en scène et de la perte de contrôle, et du narcissisme et de ma vaginite.

Mais la démagogie est forte et quelques twits sur 37 463 (au moment d’écrire ces lignes) serviront sans doute encore longtemps d’exemples à mes détracteurs, pour prouver que mes contenus, ce n’est pas de l’information pertinente…

Conclusion

Chers détracteurs

24 714 abonnés Twitter
5 000 abonnés à mon profil Facebook (dont 598 demandes en attentes et 404 abonnés)
3 186 fans de ma page Facebook
5 385 abonnés Google+
et des dizaines de milliers de lecteurs de mes blogues et de mes livres trouvent sans doute que ma diversité éditoriale est rafraichissante et que votre opinion sur la non-pertinence des mes propos, ils s’en “tabarnakent” aussi …

Fausse mort de Jean Charest = c’est la faute du web, et puis après?

Hier, durant la nuit, on annonçait la mort de Jean Charest en première page numérique du journal Le Devoir. J’ai accordé une entrevue à LCN et au FM93. Après mon entrevue avec l’animateur du FM93 Sylvain Bouchard, celui-ci dit qu’il préfère le format papier au format numérique parce que ce genre de chose ne s’y retrouve pas.

Aparté

On a aussi « pété une coche » sur twitter parce que j’osais discuter « de sécurité informatique » alors qu’il semble que mon créneau ne devrait se résumer qu’aux médias sociaux. Je précise que ma Maîtrise ès Sciences en commerce électronique incluait des cours de droits, de technologie informatique et de gestion et que j’ai eu plusieurs cours qui touchaient de manière précise « les questions de sécurité informatique » au niveau technologique, de gestion et de droit. J’ai d’ailleurs eu un cours spécifique Gestion du risque, contrôle et sécurité du commerce électronique dans lequel 2 sessions données par un spécialiste de Price Waterhouse Coopers portaient spécifiquement sur les outils et techniques de hacking moderne (si on veut se protéger il faut aussi savoir et comprendre l’antithèse de cette réalité qui est le hacking). Je rappelle aussi que lors de mes consultations avec mes clients, je couvre très souvent les questions relatives à la gestion du risque informatique. Ce n’est donc pas parce que je n’en ai pas fait une spécialité que je ne sais pas de quoi je parle lorsque je me prononce sur les questions de sécurité du Web. (Pour les lecteurs qui ont des problèmes de sécurité majeurs, je recommande souvent le pote  Dominic Jaar, responsable national de la e-discovery chez KPMG).

Pour revenir à nos moutons (en l’occurrence l’assertion selon laquelle le papier est plus crédible que le numérique) je rappelle que les fausses nouvelles, les canulars et les impostures sont vieux comme le monde (pour s’en convaincre regardez canular ou « list of hoaxes » dans wikipedia) et qu’ils existaient bien avant le Web. Je vous suggère d’ailleurs de visiter le site Accuracy in media ou de relire chez Slate Pourquoi les médias sont les pros des canulars et à réfléchir à la conclusion de NT2 Le canular, une pratique renouvelée par le web:

(…) le canular est une pratique qui questionne la véridicité des objets auxquels il s’en prend. Nous avons dégagé certains thèmes sujets au canular de manière récurrente : l’information et ses débordements dans la vie privée, les objets de consommation et leur envahissement de l’espace du Web, les peurs socialement partagées, par exemple la peur de virus informatiques ou encore de complots politiques, ainsi que l’abondance de pornographie que l’on constate sur le Web.  Au terme de notre réflexion, il nous semble que le choix de ces thèmes ne soit pas anodin : en effet, ce sont tous des espaces discursifs où la joute entre le vrai et le faux peut se déployer de manière particulièrement complexe. Quelle valeur de vérité peut-on accorder aux discours médiatiques, aux images de citoyens qui sont véhiculées par les médias ? À quel point les peurs socialement partagées sont-elles justifiées ?

Le canular, en nous trompant à propos des sujet qu’il traite, révèle en même temps la précarité de la conception que l’on peut avoir de ces sujets. Il s’agit ainsi d’un mensonge particulier en ce qu’il met en place un processus réflexif engageant la personne dupée à adopter une attitude critique à l’égard des vérités admises. Nous avons également vu que le canular s’adapte au média qui l’accueille. Dans le cas du Web, les sites de vente, les chaînes de courriels et la pornographie sont quelques exemples de terrains propices aux activités canularesques dans la mesure où le nombre d’internautes susceptibles de se faire leurrer y est particulièrement élevé. De fait, le canular profite toujours du climat de confiance qui règne autour d’un sujet.

Les sites de partis et les tendances de recherches sur le Web

Grâce à Alexa et à son outil de comparaison de sites, on apprend que c’est le site du NPD et du Parti vert du Canada qui semblent le plus intéresser les internautes. On peut visualiser le graphique Pageviews/user qui est un indice d’assiduité et d’intérêt pour un site.

Alexa Pagesviews/User Partis politiques au Canada durant le dernier mois

Alexa Pagesviews/User Partis politiques au Canada durant le dernier mois

Cette donnée contraste avec Google Trends qui nous informe plutôt que ce sont, dans l’ordre, Stephen Harper, Jack Layton et Gilles Duceppe, que les Canadiens ont cherché dans Google, en 2011. On y trouve aucune de May. Comme quoi elle n’a certainement pas frappé l’imaginaire et le désir d’en savoir plus sur eux, des Canadiens…

Par contre, si on fait la même recherche Google Trends, strictement pour le Québec, on peut facilement mesurer l’ampleur de l’intérêt des internautes pour Jack Layton, ces dernières semaines. Ce qui me surprend le plus est de noter que ces recherches pour monsieur Layton proviennent plus de la région de Québec que de celle de Montréal. Les gens de Québec se cherchent-ils une alternative aux conservateurs pour leur région? L’élection du 2 mai prochain nous le dira sans doute…

 

MAJ2
Dans Le Soleil:
Vague orange au Québec: Jack Layton populaire jusque sur la Toile
Première campagne Web: l’échec des politiciens, la victoire des électeurs

Élection fédérale 2011 et médias sociaux = pochitude à peine consommée

Ça fait déjà quelques semaines que j’accorde des entrevues à divers médias concernant nos politiciens sur les médias sociaux. Ils sont d’une pochitude exemplaire (pour les potes d’ailleurs « pochitude » signifie en Québécois nouveau, être nul, vraiment pas bon). En général, parce qu’il y a des exceptions bien sûr, ils se servent des médias sociaux comme des poteaux le long des autoroutes ou comme les pubs qu’ils passent à la télévision. En mode push, pas en mode conversationnel. Pour vérifier par vous-même qui est influent, de quoi ils parlent et où s’en vont les discussions, visitez le site Politwitter.ca qui recense et compare au niveau statistique, la présence de nos élus sur les médias sociaux. Je vous invite aussi à lire ou écouter diverses entrevues que j’ai données sur ce sujet vraiment décourageant (je vous invite aussi à lire ou relire mon billet Quel parti politique canadien va se tenir debout pour l’économie numérique?) :

Petite note ironique : Ce matin apparait sur mon fil twitter :

@michelleblanc 20% des électeurs inscrits comptentsur les médias sociaux pour rester informé sur les questions politiques http://ow.ly/4xJdS

La revue de presse des entrevues accordées:

Jean-Luc Mongrain et l’usurpation d’identité

La semaine dernière j’eus l’immense plaisir d’être invitée à l’émission phare de LCN, Mongrain, avec l’ineffable Jean-Luc-Mongrain. Je crois que c’est sans doute l’une de mes meilleures entrevues (disons que la chimie entre monsieur Mongrain et moi-même a plutôt bien passé). Nous y avons discuté de médias sociaux, d’usurpation d’identité et de la différence entre Facebook et Twitter.
Visionnez ou revisionnez cette entrevue

Pour en savoir plus sur l’usurpation d’identité, relisez mes billets :
Le Lab VOXtv – Chronique : Usurpation d’identité, Twittersnob, domaineurs et autres fléaux

De l’usurpation d’identité sur les médias sociaux

De l’usurpation d’identité sur les médias sociaux II

Pour comprendre les différences entre Facebook et Twitter, vous pouvez lire les billets de mes catégories Facebook et Twitter et le microblogging. Vous pouvez aussi relire les billets spécifiques suivant où je traite des différences entre les deux outils.

Facebook vs Twitter

Pourquoi Twitter est supérieur à Facebook dans une optique de marketing et relations publiques?

Pourquoi Facebook c’est de la merde dans un contexte d’affaires

Des précision sur Pourquoi Facebook c’est de la merde dans un contexte d’affaires

Médias sociaux et crises politiques en Égypte et en Tunisie

Ce matin je discutais avec l’animateur du Café Show, Rudy Desjardins, de la radio de Radio-Canada Alberta, de l’impact des médias sociaux sur les crises en Tunisie et en Égypte. Pour documenter mon intervention, je me suis inspiré des reportages suivant :
Webmanagercenter : Tunisie: Le diable s’habille aussi en «Facebook»

FranceSoir : L’Egypte des pharaons contre celle de Facebook ?

LeMonde : La bataille pour l’Egypte se joue aussi sur Facebook

ReadWriteWeb : U.S. Military Can Restore a Country’s Internet – Whether It Likes It or Not

ReadWriteWeb: Egypt’s Facebook Police Target Protesters Facebook Page

Ainsi que des autres sources que j’ai déjà mentionné dans mon billet : Les médias sociaux et les crises en Égypte et Tunisie, entrevue avec Gilles Parent

L’intégrale de l’entrevue au Café Show (7 min. 42 sec.)

Les médias sociaux et les crises en Égypte et Tunisie, entrevue avec Gilles Parent

Hier j’ai accordé une entrevue de fond à Gilles Parent du FM93 à Québec. J’y ai parlé de l’apport des médias sociaux dans les crises politiques qui secouent la Tunisie et l’Égypte. J’y ai discuté des tentatives du gouvernement Tunisien de hacker Facebook et des moyens qu’utilisent maintenant les Égyptiens pour aller sur Internet en contournant les fournisseurs de services internet qui sont maintenant bloqués en Égypte. J’ai aussi discuté de l’importance des blogueurs lors des dernières élections présidentielles françaises (avec notamment le copain Loïc Le Meur qui aidait Sarkozy) et de la tentative de Sarkozy de faire avaler la pilule Hadopi aux influenceurs Web avant Noël.
Nous avons aussi examiné comment le travail des journalistes change avec l’arrivée d’internet, et comment ils se doivent de continuer de valider les sources. À ce propos, j’ai donné l’exemple de messages twitter venant de Tunisie que je n’eusse pas pris au sérieux étant donné la nature répétitive de leur message qui en outre, n’étaient jumelés à des hyperliens ou des pièces justificatives.
Voici d’ailleurs certains des échanges Twiter que j’ai eu à ce sujet :

@HelpTunisia @TounessHorria@WillekeWortel @soniati @Lohiel@bloooodygirl c’est quoi ces spams tunisiens tout d’un coup?????

@HelpTunisia Ça frappe l’imaginaire un crâne ouvert sur une civière mais sans contexte ça ne dit strictement rien

@HelpTunisia pour que les gens adhèrent à une cause il faut l’expliquer et éviter le spam incessant qui donne exactement l’effet contraire

@HelpTunisia je ne savais pas que des blogueurs étaient exécuté en Tunisie. Vous avez du contenu spécifique là-dessus?

Nous avons aussi discuté des virus internet, du mythe tenace du vol d’identité et des coûts exorbitants des services internet et cellulaires au Canada (lire à ce propos mon billet : Le Canada est le tiers-monde des technos usager) et de la nouvelle politique du CRTC permettant de facturer les services Internet à l’utilisation de la bande passante que je trouve SCANDALEUSE et je vous invite à signer la pétition en ligne contre ce VOL QUALIFIÉ.
Bref, j’aime bien les entrevues de Gilles Parent qui vont du coq à l’âne (parce que je suis moi-même très éclectique) en faisant le tour et le pourtour de questions, avec une intelligence vulgarisatrice efficace et sympathique.
L’entrevue de Michelle Blanc avec Gilles Parent (21min. 31 sec.)

Comment internet change la société et testament numérique

C’était une grosse journée radio aujourd’hui. Tout d’abord, à l’émission Isabelle le matin du FM98,5 avec Isabelle Maréchal et son invité le professeur André A. Lafrance, nous discutions de comment Internet change la société.

Entrevue d’une durée 42.8 min. MP3

Pour en savoir plus sur les différents mythes qui sont encore entretenus à propos des médias sociaux, je vous invite à naviguer dans ma catégorie Commerce électronique mythes.

J’ai aussi longuement discuté avec Hugo Langlois du FM 93 à Québec à propos de testament numérique, d’innovation, de Googlemap 3D, de Foursquare, de flashcode (ou code-bar 2D), de l’intelligence numérique des objets, de la loi C-28 Loi visant l’élimination des pourriels sur les réseaux Internet et sans fil et autres surprises qui nous attendent pour 2011.

Cliquez sur ce lien et recherchez le podcast du 10 janvier de 12h00 à 12h30.

Bonne écoute 🙂