Comparatif de l’engagement des agences numériques sur les médias sociaux

Pour faire suite à plusieurs billets comparatifs des présences web des agences numériques (ces billets sont en hyperliens plus bas), je vous présente aujourd’hui le portrait de certaines des plus importantes agences de Montréal et de leurs présences, efficaces ou non, sur les médias sociaux.

Cette analyse indépendante a été faite à l’aide de l’outil #eValue de la firme québécoise EngagementLabs et de l’analyste Audrey Nadeau. Il est à noter que les scores #evalue sont des kpi d’engagement organique (pas de paid media) et que c’est par le marketing de contenue (aka: un blogue et le partage d’informations petinentes) et le rapprochement conversationnel avec les communautés sociales qu’on réussi, ou pas. C’est aussi ce qu’on appelle le SMM pour Social Media Marketing. Entre autre, #eValue permet de quantifier la pratique média sociale et de vérifier qui fait du « broadcast » et qui fait de la réelles « conversations ». Si une entreprise ne répond jamais à sa communauté, ne retwitte rien ou ne fait jamais de commentaires à ce que répond sa communauté, les beaux discours et la théorie qu’elle partage lors des forums spécialisés, ne sont probablement que ça, de beaux discours et de la théorie. Comme on dit parfois , les bottines ne suivent pas les babines.

Pourquoi suis-je dans ce comparatif?

Je ne suis qu’une seule personne, avec des moyens et du temps limités et je me compare à des boites qui ont plusieurs dizaines, voire centaines d’employés. Vendredi dernier j’ai partagé sur mon LinkedIn un teaser de cette analyse, qui a beaucoup fait jaser. En gros on me reprochait

– de ne pas être une agence
-d’avoir plus de temps que les agences
-d’être grand public
-que les agences n’ont pas besoin «d’engagement »

Il est vrai que je ne suis pas une agence, mais il est aussi vrai que plusieurs de mes clients hésitent entre faire affaire avec moi ou avec l’une de ces agences. Ils sont donc ma compétition directe. La différence entre nous est qu’au lieu de répondre à une question client par « je vais vous faire une étude là-dessus » je donne immédiatement la réponse.

Ce n’est pas parce que je suis seule et à mon compte que j’ai plus de temps que les très nombreux employés d’une agence. Je rencontre mes clients, je traite mes dossiers et oui je suis aussi sur les médias sociaux. Je suis sans doute plus focalisée qu’eux ne le sont, tout simplement.

Il est vrai que je suis grand public et que mon « reach » est très impressionnant. J’étais moi-même stu-pé-fai-te de le réaliser. Cependant, j’entends régulièrement mes compétiteurs sur différentes tribunes médiatiques, dont certains à chaque semaine. Ça me fait donc sourire de savoir « qu’eux » ne seraient pas grand public. D’ailleurs, si on oublie le « reach » (la portée), lorsque l’un de mes compétiteurs a une interaction de zéro, grand public ou pas, zéro interaction, ça demeure zéro.

Il est très possible que certaines agences n’aient pas besoin d’interactions clients et d’engagement. Ils peuvent en effet faire de la pub, des livres blancs, des relations publiques traditionnelles et une foule d’autres activités marketing/relations publiques. Sauf que si vous voulez jouir de conseils pertinents, basés sur l’expérience et les résultats en stratégie de contenu et de médias sociaux, vous saurez désormais qui appelé. Je ne suis pas comme ces restaurants qui font des mets Chinois, Italiens, Grecs et Canadiens 🙂 Je ne fais que du conseil de gestion et de la stratégie web et médias sociaux.

Je vous fais aussi remarquer que les critiques que j’ai reçus sur LinkedIn de certains compétiteurs s’adonnent aussi à être les craintes de plusieurs clients qui songent à faire des médias sociaux. Oui ça prend du temps, oui ça prend une stratégie de contenu et oui ça prend de l’interaction bidirectionnelle et oui il ne faut pas strictement parler de soi, mais plutôt de son sujet. Dans la vie, il n’y a pas de magie. Il y a soit de l’argent, soit du travail ou idéalement les deux. C’est autant vrai pour les clients que pour les agences. Cependant on peut se rendre compte que les médias sociaux ce n’est pas une question nécessairement de grosse structure, c’est une question de compréhension du médium et de l’effort investit. On peut se rendre compte aussi qu’une personne seule peut battre à plate couture de grandes entreprises sur le Web…

Prenez donc le temps de regarder attentivement les graphiques et les tableaux ci-haut, de lire les tableaux et de tirer vos conclusions. Un bravo à
-National et Cossette pour leurs interactions sur Twitter
-Cossette et Substance stratégies pour leur performance Facebook

Voici d’autres analyses de l’efficacité web des agences faites au fil des années:

Facebook et les agences, vendre de la bullshit

The proof is in the pudding II

The proof is in the pudding

Qu’est-ce que mesure #eValue

#evalueTM

What’s it all about?
#engagementlabs understands that marketers can leverage their time more effectively by engaging their audience to improve brand performance. #evalue™ helps marketers gauge the success of their efforts, empowers them to optimize their strategy and provides critical KPIs that compare them to the competition.

#evalue allows you to monitor, measure and evaluate your social media channels versus your competitors. Track and instantly make sense of hundreds of performance metrics with the #evalue score: a revolutionary grading system that calculates reach, engagement and conversation levels on your brand’s accounts and benchmarks against 30 000+ brands.

How does it work?
#evalue™ constantly polls Facebook, Twitter & YouTube to generate hundreds of fresh and insightful metrics from your brand’s accounts so you can identify trends and history seamlessly across all of your channels. As we only use public data in our calculations, you can compare yourself with your industry or your competitors’ accounts. This ensures you’re also in touch with what they’re doing and how they’re performing.

What does that mean? We calculate:

Impact = Reach / Effort*
The reach your content gets on a specific social network
Engagement = Engagement / Effort*
The level of interaction your content gets on a specific social network
Responsiveness = Number of admin answer posts / Total number of user posts
How responsive your brand is to engaged users
*Effort Score is the total effort created by a page admin

Why does it work?
#evalue™ works because it provides you with trackable and comparable KPIs with an unparalleled level of depth. Instead of getting lost under mountains of metrics and data, #evalue™ helps you make sense of the noise and make smarter decisions.

#evalue™ gets you the real time insights you need.

MAJ
Mon billet fait jaser chez les agences, dont certaines ne sont pas contentes du résultat. D’ailleurs, en 12 ans de pratique, j’ai peut-être eu 5000 $ de mandats avec des agences. Je ne me sens donc pas très redevable de leurs états d’âme, disons. Par ailleurs, l’un des gros arguments contre mon inclusion dans cette étude est que je suis à mon compte (sous-entendre ici qu’une consultante se pogne le cul contrairement aux employés d’agences qui eux travaillent très fort). Le plus drôle de cet argument est que ceux qui l’ont fait sur leur propre mur Facebook en discussion suivant le like de l’un des contenus promo de leur agence, l’ont fait sur leurs heures de travail. Je leur répondis que si au lieu de s’amuser à me mettre en boîte sur leurs heures de travail sur leur propre mur, ils répondaient à leur communauté sur le mur de leur patron, déjà leur score passerait de zéro à un. De plus, contrairement aux agences, moi je n’ai pas d’employés payés à liker mes contenus.

Aussi, on me rappelle que certaines agences préfèrent d’autres types d’activités marketing que le SMM. J’en suis tout à fait consciente. Les lunchs d’affaires, chambre de commerce, pub traditionnelle et autres activités sont tout à fait légitimes. Alors lorsque vous parlerez de marketing, au lieu de vous présenter comme spécialistes du SMM, discutez donc plutôt de l’acquisition de client par lunch d’affaires. Déjà ce sera plus représentatif de ce que vous faites réellement.

Finalement, plus le reach d’un profil est grand, plus ce profil est désavantagé lorsque vient le temps de mesurer le pourcentage d’interaction, par 1000 abonnés. C’est dire à quel point ce tableau peut être révélateur des lacunes de certaines boîtes…

Voici en terminant l’un des commentaires de ce billet et ma réponse

Etienne Denis

Je ne peux m’empêcher de penser à ce pdg d’agence numérique qui, selon les critères de cette étude, serait qualifié de poche, de « les bottines ne suivent pas les babines » et autres attributs négatifs. Que voulez-vous, il n’a pas une tonne de followers, il ne fait pas une tonne de retwits! Et pourtant, 40% de ses nouveaux contrats ont été initiés via les médias sociaux, ce qui représente en 15 et 20 emplois à temps plein. Pas si pire, il me semble? Que voulez-vous, il ne met pas ses énergies sur 1000 wannabe, mais sur 10 VP marketing qui ont des budgets dans les 7 ou 8 chiffres. Le problème avec cet article, c’est qu’il analyse ces canaux de communication uniquement en fonction du reach, ce qui, et je tiens ici à le souligner très fort, était la façon de penser qu’on avait il y a 20 ans avec les médias de masse. On est en 2014, et ça fait quelques années que certains ont compris que la stratégie de contenu ne consiste pas obligatoirement à avoir plus de followers et plus de retwits. La phrase « c’est par le marketing de contenue (aka: un blogue et le partage d’informations pertinentes) et le rapprochement conversationnel avec les communautés sociales qu’on réussi, ou pas » s’applique à certaines entreprises, mais penser que ça s’applique à toutes les entreprises (ou, dans ce cas-ci, à toutes les agences) est vraiment limité.

Ma réponse

Étienne, Étienne, Étienne
Je pense que tu ne prends pas réellement le temps de lire. L’outil mesure l’engagement, pas le reach. Si il mesure le reach mais ce n’est qu’un des nombreux paramètres de #eValue. Ça permet entre autres à Substance qui est une très jeune entreprise avec seulement un millier de fans Facebook, de clencher de plus grosses agences avec plusieurs milliers de fans. Faut prendre le temps de lire et de comprendre les graphiques avant de dire le contraire de ce qui est réellement mesuré. Si tes 10 VP marketing font des commentaires sur Twitter ou Facebook et que tu ne leur réponds jamais, ça fait zéro interaction et zéro interaction avec 10 ou 100 000 fans, ça demeure zéro pareil…
D’ailleurs plus tu as de reach, plus c’est difficile de maintenir une interaction avec les publics et plus ta moyenne #evalue baisse. La loi des nombres fonctionne ainsi. Donc ton argument illustre à quel point certaines agences sont effectivement encore plus poche…

Conférencière Médias sociaux et festivals

Demain je serai conférencière Médias sociaux et festivals, lors d’un événement privé de la direction des commandites de Loto-Québec. C’est que Loto-Québec remercie ses partenaires événementiels en leur offrant une journée de formation. Le titre de ma conférence : Les Médias Sociaux 101 Pour ces organisations qui croient être des festivals

et ma première diapo :
VOUS N’ÊTES PAS

UN FESTIVAL

VOUS ÊTES

UN SUJET

Je vais certainement les « shaker un peu ». L’idée derrière cette boutade est de faire prendre conscience aux Festivals (comme à n’importe quelle organisation d’ailleurs) qu’ils sont avant tout un SUJET, s’ils veulent être efficaces en ligne et trouver une ligne éditoriale. Comme je l’explique dans mes autres billets Comment trouver sa politique éditoriale médias sociaux et Politique éditoriale et tabous:

En fait, comment pourriez-vous parler de vos produits et services sans parler de vos produits et services? Là est la question!

Comme c’est mon habitude lorsque je suis conférencière, ma présentation est disponible en ligne au préalable.

Web 2.0, médias sociaux et réseaux sociaux

En prévision d’une table ronde à laquelle je participerai la semaine prochaine pour Ciné-Québec, on me demande quelle est la différence entre médias sociaux et réseaux sociaux et en prime, je vous ajoute le Web 2.0 et quelques autres définitions. .

Alors, allons-y. Le Web 2.0 est une série d’observations des sept compétences qui ont permis aux survivants de la bulle techno des années 2000, de devenir florissante en 2005 et a été inventé par Tim O’Reilley cette même année. De mes archives, le billet de 2005 Qu’est-ce que le Web 2.0, est assez explicite sur ce que c’est. Comme je l’expliquai aussi en 2007 dans le billet Qu’est-ce que le Web 2.0, redux, les médias sociaux sont une conséquence du Web 2.0, mais ne sont pas le Web 2.0. Les médias sociaux sont donc différentes technologies qui permettent à un néophyte, le partage d’information, la création et mise en ligne de contenus et l’interaction sociale. Visitez Wikipedia à l’onglet médias sociaux pour en avoir une définition plus étoffée (et merci au contributeur qui a ajouté l’une de mes conférences en pièce jointe à cette définition. Juste avant que mes détracteurs ne l’effacent). Les réseaux sociaux (qui sont souvent mis pour synonyme des médias sociaux) sont quant à eux l’ensemble des intervenants individuels ou organisationnels faisant partie d’un même groupe social (le réseau social) sur un ou des médias sociaux. Voilà,
En prime, le réseautage social est l’acte de faire des relations avec des individus ou des organisations (via les médias sociaux par exemple) et le web social est un ou plusieurs lieux de socialisation en ligne.

Podcamp Montréal 2010, j’étais anti-conférencière lors de cette anti-conférence

Quelquefois par an, je donne gratuitement de mon temps pour des organismes à but non lucratif. C’est donc avec plaisir que j’étais conférencière lors de l’anti-conférence Podcamp Montréal 2010. Je n’avais rien préparé et c’était une période de questions ouvertes avec l’auditoire. Alors bon visionnement

Bombe. TV, mon entrevue Médias sociaux en ayant du fun

C’est avec plaisir que j’ai participé à une capsule Bombe.TV pour jaser de l’un de mes sujets de prédilection, les médias sociaux. Ainsi, nous discutons d’exemples positifs d’entreprises sur les médias sociaux, de ce qui fait une bonne conversation, de certaines de mes vidéos préférés White Christmas (mon côté ringarde) et Dove Evolution et de ces gens qui veulent avoir une vidéo virale. Comme vous le remarquerez peut-être, j’ai eu bin du plaisir avec la jeune journaliste Vanessa Cournoyer et nous avons franchement rigolé durant ce tournage.

Conférencière Tourisme Web 2.0 : communication directe avec la clientèle

Demain je vais faire un petit tour à Rouyn-Noranda, pour divers mandats de consultation et surtout, pour être conférencière lors de l’événement Prenons les devant du Colloque de l’industrie touristique en Abitibi-Témiscamingue, organisé par Tourisme Abitibi-Témiscamingue.

Dans un monde Web en perpétuelle évolution, s’offrent à nous des opportunités. Encore faut-il être en mesure de les saisir! La relation avec le client prend une toute nouvelle tangente avec l’avènement des médias sociaux. Il faut lâcher prise sur le contenu et laisser la parole aux utilisateurs, mais comment se traduit ce changement pour nos entreprises touristiques?

Voici donc la présentation que j’y ferais :
Tourisme Web 2.0 : communication directe avec la clientèle

Le ROI des médias sociaux

Je ne sais plus qui disait ça dernièrement, mais le modèle traditionnel des firmes de communications changera à cause des médias sociaux. Présentement les budgets sont divisés en 20% pour la création et le jus de bras et 80% en placement média. Avec les médias sociaux, ces chiffres risquent fortement de s’inverser. Il est maintenant gratuit de diffuser ses contenus et de les faires se démultiplier via le Web, mais disons que ça va coûter cher de temps/homme (ou femme) pour opérationnaliser la chose. Je me souviens d’ailleurs d’une demande d’offre de service que m’avait faite une grande banque canadienne il y a deux ans. Ils voulaient faire du « monitorage de brand ». Devant le coût associé à leur demande, ils baissèrent les bras. Cependant, ils paient déjà depuis plusieurs années, et à fort coût, des agences de clipping qui monitorent pour eux ce qui se dit dans les médias traditionnels. Mais le Web c’est encore trop peu important et trop dispendieux. Vraiment?

Le blogue Socialmediatoday (déniché grâce à un twitt de l’ami Philippe Martin) dans le billet The ROI Of Social Media, démontre qu’au contraire, il y a des bénéfices bien réels à investir dans ces médias.

• Listening: Social media offers infinite market research, branding, and listening opportunities. I dare you to search for “[Your brand] sucks” and see what you find. Listening – a simple yet often over-looked aspect of human life – may be the Web 2.0 killer app and smart companies are catching on. (…)

• Responding: Social media gives marketers the chance to give quick feedback and break down unnecessary walls. Businesses are using twitter to quickly solve customer’s problems or connect straight to the CEO (try @Zappos or @ComcastCares). I have also had success reaching VIPs through LinkedIn questions – it is amazing the number of higher-ups who gladly answer queries on the site.

So how does this change business?

First, it means that business success will increasingly be more merit-based rather than on spin or sheer advertising dollars. But marketers will also need to be ready to change their strategy to adapt to this new medium. This involves less top-down thinking and a different consideration of what makes a site profitable.(…)
Second, expect customer behavior to change as social media changes from a destination to a platform.(…)

Instead of measuring how well we are pushing our message onto potential customers, we should instead gauge our success on the number of conversations listened to, problems resolved, and useful suggestions received from the community of customers we already have.

MAJ

Je vous suggère aussi de mettre ces idées en perspective avec l‘excellent ROI des blogues d’affaires de Charlene Li.

Le Webcom-Montréal 2008 et le préWebcom

Ce sont les copains Michel Chioini et Claude Malaison qui organisent la 4e édition de l’événement Web 2.0 de l’année à Montréal, Webcom le 14 mai prochain. La veille, le 13 mai, un Yulbiz Webcom hors série permettra aux blogueurs d’affaires et aux gens d’affaires qui s’intéressent aux blogues de discuter dans une atmosphère détendue, avec les conférenciers vedettes de Webcom. Personnellement, j’ai hâte de revoir mes amis Fred Cavazza, Xavier Aucompte, Jon Husband, Stéphane Garneau et de rencontrer Bertrand Duperin. Plusieurs autres conférenciers de prestige, dont Bryan Eisenberg, Andrew McAfee, Scott Gavin et Pierre-Karl Péladeau pourraient aussi se joindre à nous, mais je n’ai pas encore de confirmation à cet effet. D’autres yulbizeurs réguliers tels que Martin Lessard, Guillaume Brunet, Geoffroi Garon, Alexandre Hénault ou Guillaume Bouchard seront aussi présentateur le lendemain et je reverrais peut-être avec plaisir les amis Pascale Guay, Michel Couture et Benoît Marcoux.

Les conférences et présentations discuteront de :

Marketing 2.0 • comportements des consommateurs • clics • influence du web 2.0 sur les marques • tendances d’utilisations des médias numériques • moteurs de recherche • études de cas • médias sociaux • Entreprise 2.0 • outils de collaboration • intranet 2.0 • nouveaux métiers • mémoire d’entreprise • différences avec la France  •  études de cas  • débats • Solutions 2.0

Qui sont tous des sujets dont je discute aussi dans ce blogue. Pour assister au Yulbiz-Webcom, vous n’avez qu’à vous présenter dès 18 :00hr au Café Méliès le 13 mai et pour participer à Webcom, inscrivez-vous ici.

Dévoilement

Ça me fait plaisir de faire la promo de Webcom puisque les organisateurs sont des potes, qu’ils m’offrent mon billet gratuit, qu’ils permettent l’organisation du Yulbiz spécial et que ça me fait plaisir de leur faire de la promo. De plus, je me souviens d’une tournée parisienne avec Claude Malaison. Je ne peux rien refuser à ce mec extrêmement sympathique…

MAJ

oui, oui, je sais, ce billet est une "Méga-liche" mais ça fait plaisir de faire plaisir aux autres…