Selon Laurent Flores de CRMMetrix [2], il existe une corrélation statistique entre les résultats des sondages politiques et l’observation du nombre de mentions du nom d’un candidat sur le Webg, aussi connut sous le nom de buzz.
C’est en effet une intuition que j’avais eue lors de notre dernière élection fédérale et de ma mesure du buzz [3]que suscitaient les partis et les chefs chefs politiques canadiens. Je n’avais pas cependant eu accès aux statistiques des intentions de votes des grandes firmes de sondages canadiennes. Lorsque Batelle parlais d’un registre des intentions à l’égard des fichiers sur les requêtes des internautes dans les engins de recherches, il mettait le doigt sur un engrenage qui prendra de plus en plus de place dans les analyses sociales, marketing et politiques de demain. Le buzz, les recherches dans les engins et plus généralement le comportement des internautes sur la toile, seront de plus en plus scruté et utilisé pour la compréhension des mouvements sociaux. C’est certainement tant mieux, mais en même temps un peu épeurant!
via Pointblog [4]