Une collègue blogueuse de l’association Marketing de Montréal, Muriel [2], pour ne pas la nommer, m’envoie un courriel de la nouvelle campagne virale Evalu8me.ca [3]. Je reconnais tout de suite la signature de Provokat [4], pour l’agence de recrutement en ligne Monster.ca. Ayant déjà entendu le VP marketing de Monster, Louis Gagnon, vanter chaudement les mérites de la campagne précédente, évaluez votre boss [5]. J’ai tout de suite reconnu la signature de la bande de Martin Ouellette, Provokat [6].
Le marketing viral ce n’est pas de la rocket science, ce n’est pas du Flash à pus finir, ce n’est pas des concours bidon et des séquences de films promo sois-disant révolutionnaires, mais qui sont en fait ordinaire. Une campagne virale qui marche, c’est d’abord du jus de cerveau utilisé à bon escient. C’est un concept qui nous interpelle tous et nous motive, malgré nous, à partager notre joie de l’avoir découvert. Ces aussi des retombés d’une base de données qui grossit à vue d’œil et une couverture médiatique naturelle, qui n’as pas nécessairement besoin d’investissements majeurs en RP et qui donne des résultats bien au-delà de l’investissement initial. C’est en fait ce que confirmait aussi avec Aplomb le client de Provokat lors de sa présentation InfoPresse [7]. C’était la première fois de ma vie que je voyais un client, licher avec tant d’enthousiasme, son agence. On le comprend d’ailleurs. Cette campagne fut si réussie, qu’elle sera maintenant utilisée au niveau mondial. Le VP marketing ne peut qu’être content de passer pour le dieu devant ses collègues d’outre-mer. Provokat vient de répéter l’exploit. Triple bravo!
D’ailleurs, Martin a été assez gentil pour m’offrir un support moral dans l’épreuve des troubles cardiaques de mon paternel. Le blogue de son entreprise transitera donc de la catégorie des blogues que j’estime à celle de mes amis.
P.-S. La situation ne s’est pas améliorée. Ma famille est toujours en stand-by pour plusieurs mois.