- Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière, auteure. 18 ans d'expérience - https://www.michelleblanc.com -

Services financiers 2.0

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En vue de ma prochaine confrontation avec le copain Mohamed Kahlain de la Fédération des Caisses Desjardins, dans le cadre d’un déjeuner débats, afin de savoir si oui ou non le Web 2.0 est une avenue prometteuse pour les retombées commerciales de nos entreprises [2], mes amis fourbissent mes armes. Ainsi donc, une nouvelle relation d’affaires, Martin Aubut [3]de Canoë, me fait parvenir cet excellent document sur les services financiers 2.0. Mohamed n’a qu’à bien se tenir….

Selon la Deutsche Bank Research, dans l’excellent document Financial services 2.0, How social computing and P2P activity are changing financial research and lending [4], Les services 2.0 (mais entre nous on peut bien dire Web 2.0) génèrent des retombés d’affaires plus que probantes.

Social computing can augment commercial success. Some of the bestperforming internet firms rely on usercreated content to enrich their services. Customers love to share their views on products they own. Amazon, an internet retailer, publishes such comments to
inform undecided shoppers. Other ventures take the idea even further.

Les retombés d’affaires du P2P pour les entreprises

Les retombés d'affaires du P2P pour les entreprises

Humm, Mohamed … dois-je prévoir pour un soigneur d’expérience dans le coin gauche?

Comme si ce n’était pas assez, ils en rajoutent à propos des services financiers.

Information exchanged directly enjoys a high level of trust. Consumers trust the advice of friends – this may also include online acquaintances – and family members more than advice from any other source.

Les sources de confiance des consommateurs

Les sources de confiance des consommateurs

Comme on dit chez nous, « un major Ayoye » (pour les copains Français, ça veut dire que ça fait très mal). Est-ce un K-O technique Mohamed? Ton soigneur lance-t-il la serviette? Notez aussi au passage que les journalistes ne semblent pas les autorités les plus en vue des yeux de consommateurs de services financiers. Les mauvaises langues, ce n’est pas moi qui le dit c’est la Deutsche Bank. Moi je ne fais qu’observer…