- Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière, auteure. 18 ans d'expérience - https://www.michelleblanc.com -

Des institutions donnent la claque à Têtes à claques

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Une regardant le journal du midi sur RDI [2], un reportage fait état d’une école d’Ottawa et de certains employeurs [3] qui bannissent l’URL du site les têtes à claques [4]de leurs institutions. Je dois avouer que Têtes à claques, ce n’est vraiment pas ma tasse de thé. Cela étant dit, je comprends parfaitement une institution d’enseignement qui justifie que sa bande passante ne soit pas utilisée pour un site qui contreviendrait à la mission éducative qu’elle se donne. Je comprends aussi que des employeurs puissent s’insurger contre le fait que leurs employés utilisent des ressources informatiques pour faire autre chose que ce qu’ils sont payés pour faire. Pour les invétérés des Têtes à claques, …

…vous avez toujours la maison ou les cafés Internet pour assouvir votre désir de vous faire claquer la tête. De plus, à mon point de vue de personne qui n’aime pas le concept (qui est pourtant l’un des succès Web québécois incontestés de 2006), ce site illustre une fois de plus le paradoxe qui existe lorsque l’on parle de sagesse populaire. Ce paradoxe donne des succès comme wikipedia, mais aussi des aberrations comme la popularité soudaine de Têtes à claques ou le fait que durant plusieurs mois, le clip numéro 1 de GoogleVidéo était « a girl caught cheating on the web. [5]