- Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière, auteure. 18 ans d'expérience - https://www.michelleblanc.com -

Dans le Direction informatique d’aujourd’hui

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C’est sous la plume d’Alain Beaulieu, adjoint rédacteur en chef de Direction Informatique, que je me retrouve dans son article MCETECH 2008 : gros plan sur le Web 2.0 [2]. C’est vraiment un gentleman puisque dans ma présentation Marketing et RP à l’ère du web 2.0 [3](PDF), je n’ai pas été particulièrement tendre envers les journalistes (à la page 18 par exemple). D’ailleurs, dès le début de ma présentation j’ai demandé à chacun de se présenter et de me dire ce qu’ils attendaient de ma présentation. Ainsi donc, dans la salle il y avait l’un de mes anciens professeurs et co-directeur de ma Maîtrise, Peter Kropf [4], de même que monsieur Beaulieu. Je les ai donc constamment agacé et pris pour cible de blagues diverses. Je suis donc agréablement surpris de la teneur très professionnelle de son article. Il ne me tient visiblement pas rigueur. Merci à vous monsieur Beaulieu.

(…)C'est dans cette perspective que le blogueur Michel Leblanc, d'Analyweb.com, s'est appliqué à démontrer les avantages supérieurs que présente l'utilisation du Web 2.0, et plus particulièrement du blogue, dans un contexte de marketing et de relations publiques.

Il estime que cette forme de communication permet de rejoindre plus efficacement et de façon plus décisive la clientèle que les médias classiques, en raison de l'importance qu'accordent les internautes aux commentaires des autres utilisateurs, dont ceux des blogueurs. « Dans le Web 2.0, l'impact du bouche-à-oreille est considérable », de dire M. Leblanc qui enjoint les entreprises à utiliser davantage les blogues dans un contexte de relations publiques, après avoir établi une stratégie de communication appropriée. « Il faut avoir des objectifs d'affaires et des moyens de mesurer l'atteinte de ces objectifs, précise-t-il. Une stratégie de communication Web 2.0, ça se planifie. »

Il considère, en outre, que le phénomène Second Life, qui permet à l'internaute de se créer une deuxième vie dans un univers virtuel, donne un avant-goût de ce que sera le Web de demain. « Second Life, qui est entièrement basé sur les technologies du Web, est le terreau d'expérimentation du Web 3D, pas du Web 3.0 ou 4.0, mais du Web 3D », soutient-il.