Les spécialistes du référencement (SEO) se font calomnier par des gourous

Dans ClickZ, l’article Chicken Soup for the SEO Soul, récapitule de récentes controverses à l’encontre des spécialistes du référencement.

The SEO (define) industry recently suffered yet another online media drubbing. When we're not being compared to bovine excrement by Jason Calacanis or to used car salesmen by Jeremy Schoemaker, reputable publications such as "Business Week" publish blogs posts that greatly oversimplify offerings from our diverse industry.

If you aren't familiar with this particular storyline, here's a brief recap to help you connect the dot-coms:
Calacanis has been feuding with the SEO industry for quite some time. It began during a public discussion when Calacanis declared all SEO to be "bullsh*t" and all SEO professionals to be "snake-oil salesmen." Highly reputable SEO expert Neil Patel, author of "ProNet Advertising," offered to increase Calcanis's blog traffic 10-20 percent in under 30 days using completely ethical practices to prove no snakes were oiled to produce results. The upshot: a 21 percent increase in search engine referrals, with implementation of a mere 10 percent of Patel's recommendations.

Schoemaker delineated why 95 percent of SEO experts are lower than the lowest life forms. He did, however, go on to provided solid advice about what to look for in a reputable SEO expert.

C’est vrai que dans cette industrie il y a plusieurs vendeurs de cochonneries qui peuvent, dans certains cas, rendre votre positionnement dans les moteurs de recherches, pire que ce que vous aviez avant de travailler avec eux. J’ai déjà vu plusieurs histoires d’horreurs et ce n’est pas facile pour un client de savoir qui dit vrai de qui dit n’importe quoi. Je répète encore ici l’idée de l’une des personnes qui assistaient à une récente conférence, de mettre sur pied un système de classement des boîtes Web et d’y inclure une catégorie spécifique RÉFÉRENCEMENT.

Mais entre-temps, vous pouvez toujours relire mes billets :

Comment ne pas se faire avoir par certains spécialistes du référencement
RÉFÉRENCEMENT : Le coût de se tromper !

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Article publié le mercredi, 13 février 2008 sous les rubriques Marketing 2.0, Marketing Internet et Moteurs de recherche et référencement de sites Web.

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Commentaires

Pablo Stevenson
lundi, 18 février 2008 à 12 h 53 min

Excellent billet! En effet il y a beaucoup de personnes qui prétendent faire du SEO mais n’y connaissent rien. Il faut faire attention et toujours valider l’historique des clients et des réalisations. Les « SEO Ethics » devraient être les première préoccupation pour une agence.
Hernan Cespedes
mercredi, 3 septembre 2008 à 16 h 15 min

Excellent article!

Au Canada, il y a une rareté de specialistes en marketing de moteurs de recherche.
Andrés
mercredi, 3 septembre 2008 à 17 h 33 min

Une preuve éclatante que les gourous parlent souvent à travers leurs turbans!
Michelle Blanc
mercredi, 3 septembre 2008 à 17 h 45 min

J’ai laissé passer vos commentaires même si le billet est vieux de plus de trois mois. Je comprends qu’étant en référencement vous-même, vous aimiez être “linké” d’un billet qui parle de ça. Mais selon ma politique des commentaires de blogues, vos commentaires sont limites. Aussi,@Andrés
Tu ne sembles pas être d’accord avec ton patron qui lui trouve que le gourou a raison. Prenez le temps de vous parler et d’être en accord entre vous…
Andrés
mercredi, 3 septembre 2008 à 18 h 55 min

Michelle le but de mon intervention, je tiens à te rassurer, était strictement humoristique et après vérification faite, je constante que l’humour ne contrevint pas (encore) à ta Politique Éditoriale des Commentaires de ce Blogue (PECB) donc je ne vois pas pourquoi il serait limite ou déplacé?

Je trouvais que le jeu de mots mettant en scène un turban, un gourou (je faisais allusion à Calacanis le calomnieux), la situation (Neil Patel qui fais ravaler ses mots à Calacanis en augmentant le trafic organique du site de ce dernier de 21% et ce en implémentant que 10% des optimisations SEO qu’il lui suggère) et le rapprochement avec le dicton « parler à travers son chapeau » ou s’acharner à débattre sur un sujet qu’on ne connaît pas au risque de sombrer dans la calomnie pure et dure somme toute : assez rigolo et à propos (compte tenu du contexte).

Quant au consensus auquel tu nous invites à arriver et à la communication interne que te nous incites à améliorer avant de commenter sur ton blog, je ne peux pas parler pour Pablo mais je crois que son intervention tenais plutôt à préciser que la mauvaise résonance dont jouit présentement le SEO est imputable au mauvais travail de certains intervenants passés maitres dans l’art du « parler à travers son chapeau ».

À la lumière de cette relecture, force est de constater que nos opinions ne sont pas aussi contradictoires que tu le prétends…

Et même si c’était le cas, dans tous les cas, mon patron m’autorise et m’encourage fortement à penser par moi-même même si les opinions résultant de cette audacieuse posture sont en désaccord avec les siennes!

Au plaisir.
Michelle Blanc
mercredi, 3 septembre 2008 à 19 h 02 min

C’est pas la nature humoristique douteuse de ton commentaire qui est en question. C’est son timing. Ce.billet date de fevrier dernier et nous sommes en septembre. Ton punch est tres tres en retard disons.