- Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière, auteure. 18 ans d'expérience - https://www.michelleblanc.com -

Le questionnaire de Proust, version geek

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C’est en lisant Andrew McAfee [2]que j’eus l’idée, comme le fit Hubspot [3]où les réponses de McAfee sont postées, de refaire et traduire librement en français, le questionnaire de Proust, version geek.

Quel est le bidule dont vous ne pourriez pas vous séparer?
Quelle est votre application logicielle préférée?
Quel est le blogue que vous lisez le plus?
Quels sont les médias sociaux que vous utilisez réellement?
Quel est votre livre d’affaires préféré?
Quel est votre journal préféré?
Qui est la personne qui vous inspire et pourquoi?
Qui était votre meilleur gestionnaire et pourquoi?
Quel était votre premier emploi?
Quel est l’endroit où vous viennent les meilleures idées?
Que valorisez-vous le plus chez un collègue ou employé?
Vous aimeriez être le meilleur au monde pour?

Voici donc mes réponses et je vous invite à vous aussi vous posez ces questions et à les diffuser, si le cœur vous en dit. Ce serait d’ailleurs intéressant que nos chefs de partis politiques en fassent autant. Nous les connaitrions sous un angle différent…

Quel est le bidule dont vous ne pourriez pas vous séparer?
Mon Blackberry
Quelle est votre application logicielle préférée?
Le fureteur (Internet Explorer ou Firefox en fonction de mes humeurs)
Quel est le blogue que vous lisez le plus?
Micropersuasion [4]
Quels sont les médias sociaux que vous utilisez réellement?
Facebook, Twitter, Flickr
Quel est votre livre d’affaires préféré?
How digital is your business [5] de Slywotsky et. Al.
Quel est votre journal préféré?
LaPresse, les rares fois que je lis un journal
Qui est la personne qui vous inspire et pourquoi?
Mon défunt oncle Yvon Vigneault qui fit faillite à l’âge de 49 ans. À cette époque, lorsqu’on faisait faillite, on perdait absolument tout. Il était épicier dans sa ville natale d’Havre St-Pierre et à cause de la honte d’être « un failli », il partit pour la ville de Québec avec sa femme et ses onze enfants et recommença sa vie à partir de rien. Lorsqu’il prit sa retraite à 65 ans, ses enfants qui voulaient aller à l’université y allèrent tous, sa maison était payée et il était désormais le surintendant de construction des plus gros chantiers de la ville de Québec (dont le complexe G et la Place Ste-Foy).
Qui était votre meilleur gestionnaire et pourquoi?
Mon meilleur patron était Yves Chapleau de Coefficience [6]. Son intelligence, sa perspicacité et son côté humain m’inspirent encore après toutes ces années. Nous prenons un café ou un lunch à peu près une fois par année depuis que je ne travaille plus pour lui.
Quel était votre premier emploi?
J’étais cabaretière au Pif Paf Pouf (je ramassais et nettoyait les cabarets que les clients laissaient sur les tables après avoir mangé), qui était un restaurant de hamburger dans le Mail St-Roch à Québec. J’avais 13 ans et j’avais été cherché un formulaire spécial au gouvernement pour faire signer mes parents afin qu’ils m’autorisent à travailler en bas de l’âge légal de 14 ans. Je voulais me payer une mobylette de marque « Québécoise », que je me suis payée un an plus tard.
Quel est l’endroit où vous viennent les meilleures idées?
Dans mon bureau, généralement le matin.
Que valorisez-vous le plus chez un collègue ou employé?
L’intelligence, l’authenticité et le sens de l’humour
Vous aimeriez être le meilleur au monde pour?
Pour le chant, mais lorsque j’étais jeune, j’étais dans une chorale et le maître de chant me demandait de faire du « lypsinc » pour ne pas déstabiliser l’ensemble. C’est une des raisons pourquoi j’aime la messe de minuit. C’est l’un des seuls endroits où je puis chanter et que personne n’ose me dire de me fermer la gueule…