POUR EN FINIR AVEC L’INTIMIDATION DES FEMMES EN POLITIQUE, RFEL

conférencière cyber-intimidation

C’est le 29 septembre prochain au Château Joliette, à Joliette que je serai conférencière pour le RFEL (Réseau des Femmes Élues de Lanaudière). J’y discuterai des sujets suivants :

• Survol des statistiques de cyberintimidation
• La différence légale et technique entre insulte, diffamation et harcèlement criminel.
• Le processus judiciaire et les coûts associés aux poursuites.
• Les variables risques communicationnelles des différentes plateformes médias sociaux
• Les outils et politiques de modération et les stratégies de mitigation de l’intimidation (la prévention)
• La gestion de crise
• Les bienfaits de la critique
• Comment faire du monitorage et la collecte de preuves numériques et comment monter un dossier de preuve
• Comment se remettre des agressions numériques

Vous pouvez acheter des billets sur la page web du RFEL.

Voici donc le PowerPoint de ma conférence :

Pour comprendre ma vision des enjeux numériques au Québec

C’est le pote Éric Le Ray Ph. D. qui a insisté pour que je participe à son émission de télévision virtuelle Occident. Nous nous connaissons depuis des années entre autres, parce que nous avons été conférenciers ensemble pour discuter d’édition numérique et d’autres sujets touchant la transformation numérique de nos sociétés. Il voulait parler du plan numérique pour le Québec que j’avais développé pour le Parti Québécois. Mais il voulait aussi discuté du $4M que le gouvernement Trudeau va investir dans le numérique au Canada, d’identité numérique, d’infrastructures numériques, d’intelligence artificielle et de bien d’autres sujets.

C’est sans doute l’entrevue la plus complète que j’ai jamais donnée sur ces sujets. Éric étant une personne qui fouille ses dossiers, ses questions m’ont forcé à faire le tour de plusieurs questions.

P.-S.
L’entrevue était sur zoom et à cause d’un pépin technique, je ne voyais pas Éric tout au long de l’entrevue. Il était donc difficile d’interagir avec lui au travers de l’écran qui était noir. Mais ça ne semblait pas déranger Jean-Philippe Lemieux qui disait de cette entrevue sur Twitter.

wow.
Michelle, merci pour l’image, le style, le verbe, le naturel, la vie.
Merci aussi pour le propos, mais encore plus pour la forme. Le caractère, l’audace.

Comme quoi nous sommes souvent le pire de nos critiques…

Voici d’ailleurs certains hyperliens de textes dont nous discutons dans cette entrevue.

Le plan numérique du Parti Québécois, trop fière de ces engagements

L’identité numérique peut servir le bien, tout comme le mal. Quelle direction prendra le Québec?

Pourquoi je choisis le Parti Québécois et ma réflexion politique

Les étonnés et le rapport d’étonnement

Projet de société pour le Québec ? Vers une révolution éconumérique tranquille….

La corrélation entre l’électricité et le numérique pour le développement économique du Québec de demain

Pourquoi la Caisse de dépôt et placement ne s’intéresse-t-elle pas à la fibre optique ?

Les Web Services et leur impact sur le commerce B2B

Télétravail, pourquoi certains gestionnaires en ont peur, comment optimiser celui-ci et pourquoi c’est l’avenir?

C’est en lisant un article de TheAtlantic Why Managers Fear a Remote-Work FutureLike it or not, the way we work has already evolved que le sujet de ce billet m’est venu.

Le paragraphe le plus percutant de l’article est :

Remote work lays bare many brutal inefficiencies and problems that executives don’t want to deal with because they reflect poorly on leaders and those they’ve hired. Remote work empowers those who produce and disempowers those who have succeeded by being excellent diplomats and poor workers, along with those who have succeeded by always finding someone to blame for their failures. It removes the ability to seem productive (by sitting at your desk looking stressed or always being on the phone), and also, crucially, may reveal how many bosses and managers simply don’t contribute to the bottom line.

Cela étant dit, et la pandémie n’étant toujours pas dissipée, le retour au bureau qui devait se faire cet automne, sera remis à plus tard pour bien des organisations. Mais pour ceux qui jonglent tout de même avec la possibilité d’un retour des employés au bureau (ou pas), ces questions pourraient leur permettre de trancher. Tiré et traduit librement (et avec quelques ajouts) de How to Manage a Remote Team.

Les trois ingrédients d’une saine gestion des équipes de télétravail

L’équipe
– Engagez des exécutants qui font leurs travaux
– Engagez des gens en qui vous avez confiance
– Ayez confiance aux gens que vous engagez
– Engagez des gens qui savent communiquer
– Engagez des gens qui sont à l’aise avec le télétravail (mais prévoyez des moments de socialisation en personne pour vos équipes)

Les outils
Slack (espace de chat entre employés)
Zoom (visioconférence)
HelloSign (outil de signature électronique)
Google Drive (permets de partager des documents et de les modifier en groupe)
-Un blogue derrière le pare-feu peut permettre de rejoindre tout le monde et de centraliser des informations pour tous
-Un wiki derrière le pare-feu peut servir de manuel de procédures, de guide et de réglementation pour tous.

Le processus (comment nous travaillerons ensemble)
-Tout le monde s’occupera du service client
-Faire une réunion collective hebdomadaire
-Jumeler des travailleurs différents chaque semaine afin qu’ils apprennent à se connaître
-Faire une rencontre 1 à 1 entre le gestionnaire et ses employés
-Développer une culture de responsabilité (tous les vendredis les employés présentent l’avancement de leurs travail/projets)
-Maintenir l’esprit d’équipe par des activités de groupe occasionnelles

Bien avant la pandémie, je m’intéressais au travail à distance et à son impact sur l’économie et sur la pollution. Je militais aussi pour l’infrastructure nécessaire à un tel bouleversement du travail, nommément la fibre optique. Dans une : lettre à mon petit-fils (pour célébrer le 50e de la Place Ville-Marie) j’écrivais :

Beaucoup des emplois que nous connaissons aujourd’hui auront été modifiés. Au lieu d’un docteur, d’un professeur ou d’un journaliste, nous parlerons plutôt d’un facilitateur d’apprentissage, d’un sage médical et d’un analyste de l’information factuelle. Cette connaissance ubiquitaire aura toujours besoin de guides spécialisés qui servent à la valider, la mettre en contexte, la repartager et l’expliciter. Nous aurons toujours besoin de chirurgiens qui se « mettent les mains » dans nos blessures, mais ils ne seront désormais plus guidés que par leur mémoire. Nous aurons des conseillers pédagogiques, mais ils serviront davantage de support aux facilitateurs d’apprentissage qui auront de plus en plus de classes virtuelles. À cause du coût croissant de l’énergie, il sera maintenant plus pratique de travailler et d’apprendre de chez soi. Il y aura toujours des lieux utilisés pour des rencontres de travail et de partages occasionnels, mais la vocation des grands édifices à bureau, des écoles, des Bibliothèques et des hôpitaux, risque de grandement changer.

Lors d’une conférence sur le piteux état de nos infrastructures numériques pour la COMAQ (La corporation des officiers municipaux agréés du Québec), j’avais une diapositive particulièrement révélatrice tirée du PGI 2016 Global Telework Survey que vous voyez ici-bas.

bénéfices télétravail

http://img03.en25.com/Web/PremiereGlobalServices/%7B28aa453d-300f-4292-ab54-7e925397de79%7D_2016_Global_Telework_Survey.pdf

Tout ça pour dire que le télétravail est là pour rester. Bien évidemment, il ne sera pas pour tous. Il est clair qu’un garagiste, un électricien, un serveur ou un policier ne fera pas de télétravail. Cependant, une partie importante des travailleurs en fera et même certaines professions qui exigent une présence en personne pour certaines tâches (comme un chirurgien qui sera en salle d’opération pour opérer son patient), pourra tout de même effectuer d’autres tâches en télétravail (comme pour le chirurgien qui discute avec son patient avant et après l’opération). Nous sommes à l’aube d’un changement majeur de paradigme du travail et il y a de fortes chances que ces changements soient là pour rester…

Certains billets qui vous pourriez apprécier

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FUGUES QUESTIONNAIRE CONFINEMENT. Réponses de Michelle Blanc

Comment le numérique est-il écologique… ou pas?

Pourquoi devrions-nous investir massivement dans les infrastructures numériques

Frappé par un train : Ces industries qui subissent l’érosion à cause du numérique et des GAFA

Selon les wokes, je serais une mauvaise trans

Il y a quelques semaines, j’ai accepté d’être interviewé par deux jeunes étudiantes en communication de l’UQAM à propos de ma transidentité. Elles me demandaient s’il y avait une différence entre les jeunes et les vieilles trans. Il y avait un sous-entendu évident. J’étais surprise de la question. Je me rappelle aussi une communication Messenger avec une trans qui me disait avoir tout perdu depuis sa transition et vouloir poursuivre son ex-employeur qui serait responsable de sa déchéance économique et sociale. Enfin, lors de la dernière élection provinciale, j’étais ciblée par de jeunes activistes trans comme l’exemple parfait de la mauvaise trans parce que j’étais prolaïcité (qui valoriserait l’islamophobie), contre les « safe space » et que je trouve ridicule et que je ne partage pas l’idéologie Woke qui elle défendrait la cause des trans.

J’ai aussi déjà été sur le Conseil d’Administration du Conseil Québécois LGBT que j’ai quitté parce qu’à mon avis, il était trop de gauches et que la promotion de l’idée de « minorité marginalisée » et de combat pour la reconnaissance de l’intersectionnalité, de l’écriture inclusive et de Montréal territoire Mohawk non cédé étaient des concepts que je trouvais burlesques et auxquels je ne voulais pas être associée.

Je suis certainement membre d’une minorité. J’ai aussi subi de la discrimination et même de la haine. J’ai d’ailleurs déposé 4 dossiers de plaintes criminelles dont trois se sont soldées par des accusations et des verdicts de culpabilité dont le dernier a eu une sentence de 6 mois de prison. Mais contrairement à l’idéologie Woke, je ne suis pas une victime. Je refuse de l’être. D’ailleurs si on me regarde de travers, j’ai appris à ne pas sauter aux conclusions. Ce n’est probablement pas à cause de ma transidentité. C’est peut-être pour une toute autre raison. Je ne le prends pas personnel. Je laisse la possibilité du doute. Des fois il est clair que des gens sont transphobes. Mais lorsque c’est le cas, ce n’est certainement pas de ma faute et je ne me victimiserai pas des bibittes mentales d’un autre individu. D’ailleurs, tant qu’à y être, mon défunt père était un orphelin de Duplessis. Il a été agressé sexuellement en très bas âge et à répétition. Lorsque des parents venaient pour adopter un enfant, les bonnes sœurs et les curés le cachaient pour ne pas qu’il soit adopté. Il était beau et ils ne voulaient pas perdre leur jouet sexuel. Plus tard, comme plusieurs enfants de Duplessis, il a été placé en institution psychiatrique et a dû coucher avec son psychiatre pour pouvoir être libéré. Pourtant, je ne suis pas en guerre à finir avec l’église ou les psychiatres. Je ne prétends pas souffrir des affres indicibles que mon père a vécues et je ne porte pas ça comme un étendard de tourment à trainer publiquement pour faire valoir une injustice dont je serais victime par association. D’ailleurs, certains remontent même aux tourments de plusieurs générations précédentes pour se draper dans le linceul de la souffrance éternelle et demander une réparation sociétale pour ce que leurs lointains ancêtres auraient vécu.

Être victime est certainement une question de faits, mais aussi de disposition mentale. Personnellement j’ai préféré m’inspirer des trans qui ont réussi leurs vies plutôt que de me tourner vers celles qui ont vécu la déchéance. L’idée même de cette déchéance m‘a traversé l’esprit. Je disais à l’un de mes potes, lorsque j’étais en processus de diagnostic de dysphorie d’identité de genre, que ma vie serait finie. Je me suis ressaisie et j’ai lu les bios sur le site Transsexual Woman successes, j’ai participé à des groupes de discussion, j’ai été inspiré par Marie-Marcelle Godbout (la mère Téresa des trans) qui a réussi sa vie et j’ai décidé que je réussirais la mienne. J’ai aussi gardé à l’esprit ce que m’avait dit mon médecin de famille : vous savez, il y a moyen de vivre une vie marginale heureuse! Lorsque j’ai eu des menaces de mort, j’ai décidé de développer une expertise en cybercriminalité. J’ai monté les dossiers d’enquête et les ai présentés à la police, puis j’ai été payé pour faire des conférences sur le sujet et transférer mes connaissances aux corps de police. J’ai même été mandaté pour faire une étude sur la cyberagression sexuelle au Canada. J’ai donc « profité » de « mes malheurs » pour innover, développer une nouvelle expertise, faire du fric avec ça et faire condamner mes agresseurs.

L’ironie de l’histoire est que j’ai même développé une conférence sur comment la diversité et les embûches sont une source d’innovation. Cette conférence a été déjà donnée à TedX Montpellier (en France), à Desjardins, aux employés mondiaux d’Expedia via téléconférence et sera encore présentée l’automne prochain.

L’idéologie Woke est une idéologie de la victimisation de sa propre personne et de la culpabilisation des autres. Ces mécanismes sont malsains pour l’individu et pour la société. La gradation de la souffrance justifiée par son ADN, l’histoire de sa famille, la couleur de sa peau ou de sa religion, ethnicité, orientation ou identité est une escroquerie. Qu’on soit né où que ce soit ou de qui que ce soit dans quelques conditions que ce soit, apportera toujours son lot de souffrance, de rejet, d’insultes et de mépris. Bien certainement que nous ne naissons pas tous égaux et que des gens souffriront énormément plus que d’autres. Là n’est pas la question. La question est plutôt de savoir comment nous réagirons aux aléas de la vie, comment nous nous adapterons, comment nous combattrons positivement les injustices et comment nous pourrons être heureux dans un monde qui est loin d’être parfait. Entre un Martin Luther king et un Malcom X, bien que tous deux aient lutté contre la discrimination, je préfèrerai toujours être un Martin Luther King. Et entre un Will Prosper qui dit lutter contre le racisme en traitant Maka Koto de nègre de service et en accusant tous les Québécois d’être des racistes, je préfèrerai de loin être un Maka Koto qui s’est fait plusieurs fois élire par ces mêmes Québécois qu’on dit raciste et qui a passé sa vie à lutter contre le racisme par son exemple de contribution positive à cette société qu’on dit raciste.

Un de mes meilleurs amis est le petit-fils du grand Léopold Senghor, père de la négritude. Il se disait fier de sa différence, il la portait fièrement et il changeait le monde par son intelligence

« La négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture1. »

Je parlerai donc de « transsitude ». Je n’ai pas choisi d’être trans. Je n’ai pas choisi de vivre le mépris que certains font aux gens de ma condition. Mais ce n’est pas la faute des autres si je suis ce que je suis et je ne vivrai pas dans la complainte et les accusations éternelles. Même à genoux, je me tiendrai debout et fière. Je pleurerai mes souffrances le temps qu’il faudra puis je combattrai vaillamment les montagnes auxquelles je fais face. Par mon exemple positif, je changerai peut-être la vision de gens pour qui une trans, un noir, une lesbienne, un autochtone ou un handicapé ne sont que des gens différents qui méritent le mépris. Ils verront peut être un humain fier et articulé qui fait sa vie au-delà des préjugés et des idéologies qui voulaient le classer comme un perdant, une victime ou un moins que l’autre…


Conférencière à propos de la Cybercriminalité web et médias sociaux

C’est pour l’Association Québécoise des Tarificateurs-vie que dans deux semaines, je serai conférencière à propos de la cybercriminalité web et médias sociaux. J’y parlerai du web, du deepweb et du darkweb, de hacking, de fraude publicitaire, des dangers des médias sociaux, de haine, de cyberagression sexuelle, de gestion des risques et de solutions possibles. Il s’agit d’un très vaste sujet que je ne pourrai que couvrir partiellement. Vous pouvez trouver mon PowerPoint ici-bas.

Comment mettre en place une initiative d’achat local dans sa région ou sa localité?

J’ai été impliqué dans de nombreux ateliers (en personne et virtuels dans des villes comme Sherbrooke, Coaticook, Lac Mégantic, Magog, Rawdon, Ville-Marie, Val-d’or, Rouyn-Noranda Ou La Sarre) de transfert de connaissance du commerce électronique, du web et des médias sociaux pour les entrepreneurs. Ces ateliers sont fondamentaux puisqu’ils outillent convenablement les entrepreneurs afin qu’il se fassent une place en ligne. Cependant, ces efforts, s’ils ne sont pas jumelés à une vision plus holistique des problématiques et des solutions possibles aux défaillances de commerce régional, ne seront pas suffisants. Il est impératif que l’ensemble des acteurs économiques d’une ville ou d’une région, agissent de concert pour développer chez les entrepreneurs locaux, le réflexe d’aller en ligne, de travailler ensemble et d’informer les citoyens de la localité de l’existence de leurs entreprises de proximité (que souvent ils connaissent peu ou pas du tout), des produits et services qu’ils ont à offrir et des moyens de se les procurer. En outre, une ville ou une région peut bien se faire une page Facebook et un site web répertoire des entreprises pour favoriser l’achat local, mais si les citoyens ne savent pas que cette page ou que ce site existe, ces initiatives isolées ne serviront pas à grand-chose. En outre, si les entrepreneurs ne sont pas habilités à être eux-mêmes proactifs en ligne, les retombées économiques et réelles de ces efforts risquent de ne pas être au rendez-vous. Et quoi qu’on en pense, les médias locaux traditionnels, les bannières et la signalisation locale physique en point de vente et dans la localité, ont encore une grande importance et ne doivent vraiment pas être négligés.

Pour se faire, il faut donc une action étendue et concertée. Ce type d’action devrait inclure :
• La liste des partenaires et des sources de financement
• La définition du problème
• Le ou les objectifs de l’initiative (avec le budget qui y est accordé)
• Les bénéfices escomptés
• Les mesures de rendement
• Les clients potentiels
• Les étapes du projet et les étapes subséquentes

Voici d’ailleurs un tableau développé par l’un de mes clients, qui a servi à fédérer les acteurs économiques locaux et à mettre en place une de ces initiatives d’achat local.

Achetons Local, document de… by MchelleBlanc on Scribd

MAJ
Comme je le dis souvent, les médias sociaux c’est excellent si on travaille fort, dans le moyen et le long terme. Si on veut des résultats dans le court terme et de surcroit, dans un périmètre très géolocalisé, comme, disons présentement avec la Covid-19, on n’a pas le choix de faire de la publicité traditionnelle et de la signalisation physique…

Voici d’ailleurs le plan de mes ateliers:

 

Les ateliers sont :
Atelier 1 – Les médias sociaux et le web pour les affaires

  • Profil sociodémographique, mythes et types et usages du Web et des médias sociaux
    Les plate-formes transactionnelles
    Survol des mythes tenaces associés aux Web et aux médias sociaux
    Profil sociodémographique de divers médias sociaux
    Efficacité des médias sociaux en fonction des objectifs d’affaires
    Les médias sociaux c’est pour la vente, le marketing, les communications, le recrutement, les TI, pour l’organisation ou pour les clients?
  • Atelier 2 – Rédiger pour les médias sociaux et le web de façon stratégique
    La rédaction Web, storyline et les diverses politiques éditoriales

  • Comment écrire pour le Web
    L’importance des titres, des éléments du corps du texte et des balises meta
    L’infolettre
    Les diverses politiques : d’utilisation du web pour les employés, éditoriale, des
    commentaires
    Calendrier éditorial
  • Atelier 3 – Médias sociaux et relations publiques

  • Les risques communicationnels de divers médias sociaux
    Le communiqué de presse pour le web
    La gestion de crise médias sociaux
    Études de cas
  • Atelier 4 – Les médias sociaux : la recette parfaite!
    Les étapes d’une mise en place d’une présence médias sociaux :

  • Phase 1 : Écoute et monitorage
    Phase 2 : Création de ses profils et de son image de marque
    Phase 3 : Création de contenus
    Phase 4 : Distribution des contenus et promotion de ceux-ci
    Phase 6 : Mesurez, analysez et ajustez le tir
  • MAJ2

    Remerciement pour les ateliers virtuels de transfert de connaissance du commerce électronique, du web et des médias sociaux pour les entrepreneurs

    Remue-méninge Les changements post-covid19, Tout Le Monde En Rêve #TLMER

    En chinois, le signe crise signifie danger et opportunité. Vous êtes invités à assister à un remue-méninge avec des invités d’expérience et de vision qui vont se pencher sur les opportunités et réfléchir à comment notre société changera ou devrait changer après le Covid19…

    Tous ne sont pas à la même place dans l’adaptation à la crise. Les 6 étapes d’adaptation sont:

    • Dénie = Ce n’est qu’une grippe
    • Colère = Je t’ai dit que ce n’était qu’une grippe va tu comprendre?
    • Négociation = Je vais prendre de la vitamine C et tout va être correct
    • Peur et l’anxiété = Tout va s’effondrer, je m’achète du papier de toilette
    • Dépression = Nous allons tous l’attraper
    • L’acceptation = C’est ça qui est ça, nous devons nous adapter.

    Ce premier #TLEMR est donc une première discussion sur ce que pourrait ou devrait être l’après covid19. Vous pouvez aussi y participer en utilisant:

    • le hashtag #TLMER pour partager vos idées sur les médias sociaux
    • en faisant vous aussi d’autres remue-méninges par la suite

    Mon groupe d’invités n’est pas représentatif de l’ensemble des enjeux que nous devrons analyser. Il n’a pas de jeunes, de fermiers, de manufacturiers, de pêcheurs ou d’une foule d’autres catégories qui nous sera indispensables à la réflexion. Vous m’excuserez aussi de tutoyer mes invités puisque ce sont des gens que je connais déjà depuis 20 ans pour certains, qu’ils sont particulièrement éclairés sur certains des enjeux que nous discuterons aujourd’hui, qu’ils ont une renommée qui permettra peut-être à de nombreuses autres personnes de s’intéresser à cette initiative et à lui donner une vie et une viralité qui sera nécessaire.

    Je sais le et les sujets que chacun abordera, mais je n’ai aucune idée de ce qu’ils diront. Après le partage de leurs réflexions, nous aurons un court moment pour réagir collectivement à ce qui aura été dit. Puis à la fin, nous discuterons ensemble des constats qui auront été faits.

    Nous ne sommes pas et vous n’êtes pas obligé d’être d’accord avec ce qui aura été dit. C’est ça l’idée d’un remue-méninge. Il est aussi possible qu’il y ait des fuck up techniques étant donné la médiocrité de nos réseaux internet en région. Je vous demande donc d’être clément dans vos jugements.

    J’espère cependant que cette initiative inspirera au moins quelques personnes à entrevoir l’après covid19 avec espoir et lucidité et qui sait, qu’il aidera nos entrepreneurs, administration locale, régionale provinciale et même nationale à sortir des sentiers battus pour que collectivement on prenne le taureau par les cornes pour le meilleur de tous.

    Mes invités sont, dans l’ordre de leur prise de parole

    Jean-Luc Mongrain
    Jacques Nantel
    Randa Napky
    Ianik Marcil
    Christine St-Pierre
    Gyslaine Desrosiers
    Daniel Breton
    Et
    Maka kotto

    Lors de ce remue-méninge, mes invités et moi-même vont discuter de l’après #covid19 et de ce que pourrait être l’impact et les changements sur le journalisme, l’éducation à distance, le marketing, les commerces, l’économie, le tourisme, la culture, la politique, la santé, l’environnement, les industries énergétiques, le numérique et bien d’autres choses encore… Un exercice de partage et de réflexion collective…

    L’une des nombreuses critiques de cet entretien

    Critique #TLMER

    Se préparer à l’après-coronavirus avec l’atelier Relations Publiques en lignes

    C’est mercredi soir le 8 avril, qu’aura lieu le troisième atelier de quatre, Médias sociaux et relations publiques, offert la la Chambre de Commerce de Rawdon.

    Vous n’avez pas besoin d’être membre de la Chambre de commerce de Rawdon pour participer à ces ateliers, mais vous avez besoin de vous y inscrire afin de recevoir le code et le mot de passe pour rejoindre la salle de classe virtuelle. Voici donc les informations pour les ateliers restants et les détails pour pouvoir s’inscrire :

    Médias sociaux et relations publiques

    Vous pouvez vous inscrire en écrivant à info@ccrawdon.ca

    Dans l’atelier de ce soir, nous discuterons de :
    Les risques communicationnels de divers médias sociaux
    Le communiqué de presse pour le web
    La gestion de crise médias sociaux
    Études de cas

    Voici d’ailleurs le PowerPoint de mon 3e atelier

    Le prochain et dernier atelier:
    Atelier #4 ->Les médias sociaux: la recette parfaite!
    Mercredi 22 avril 2020 de 18h30 à 20h45

    Se préparer à l’après-coronavirus en participant à des ateliers virtuels

    C’est ce soir que la Chambre de commerce de Rawdon offrira le 2e atelier de 4, La rédaction Web, storyline et les diverses politiques éditoriales. Le 1er atelier se donnait au Collège Champagneur à Rawdon. Mais étant donné la situation de crise du Coronavirus, les trois prochains ateliers se donneront de manière virtuelle en webinaire avec l’application Zoom.us.

    Cette crise touche durement les entreprises et les petits entrepreneurs. Et le prochain trois semaines de confinement, est justement un bon moment pour se préparer à l’après-crise, afin de reprendre une portion du chiffre d’affaires qui sera perdu durant ces trois semaines. Le marketing de contenu et les médias sociaux sont des efforts de mise en marché qui fonctionnent dans le moyen et le court terme. Plutôt vous commencez, plutôt vous risquez d’en tirer des bénéfices. Et pour être efficace en ligne, ce n’est pas tellement une question de budget que c’est une question de compréhension des outils (souvent gratuits), de la philosophie communicationnelle et des efforts qu’on veut bien y mettre.

    Vous n’avez pas besoin d’être membre de la Chambre de commerce de Rawdon pour participer à ces ateliers, mais vous avez besoin de vous y inscrire afin de recevoir le code et le mot de passe pour rejoindre la salle de classe virtuelle. Voici donc les informations pour les ateliers restants et les détails pour pouvoir s’inscrire :

    La rédaction Web, storyline et les diverses politiques éditoriales

    Dans l’atelier de ce soir, nous discuterons de :

     Comment écrire pour le Web
     L’importance des titres, des éléments du corps du texte et des balises meta
     L’infolettre
     Les diverses politiques : d’utilisation du web pour les employés, éditoriales, des commentaires
     Calendrier éditorial
     Études de cas

    Voici d’ailleurs le PowerPoint de mon 2e atelier


    Les prochains ateliers:

    Atelier #3 -> Médias sociaux et relations publiques
    Mercredi 8 avril 2020 de 18h30 à 20h45

    Atelier #4 ->Les médias sociaux: la recette parfaite!
    Mercredi 22 avril 2020 de 18h30 à 20h45

    Ateliers Michelle Blanc – « Les médias sociaux au service des commerces »

    C’est mercredi soir que je donnerai mon premier atelier « Les médias sociaux au service des commerces », pour la Chambre de commerce de Rawdon. J’y parlerai de:

    Qu’est-ce que le Web?
    Survol des mythes tenaces associés aux médias sociaux
    Profil sociodémographique de divers médias sociaux
    Efficacité des médias sociaux en fonction des objectifs d’affaires
    Les médias sociaux c’est pour la vente, le marketing, les communications, le recrutement, les TI, pour l’organisation ou pour les clients?

    Vous pouvez encore vous y inscrire à CCdRawdon@Gmail.com ou par téléphone au 450-834-2282

    Ateliers Michelle Blanc pour Chambre de commerce de Rawdon

    Voici d,ailleurs le PowerPoint de l’atelier, dont une partie sera didactique, tandis que l’autre sera plus pratique avec les questions des participants. Au plaisir de vous y voir…