Niche Scribes, ou comment pérenniser vos dépenses publicitaires

Depuis deux ans, avec une soixantaine de rédacteurs indépendants, NicheScribes rédige des billets de blogues pour les entreprises, avec des contrats annuels. Voici l’offre de service de marketing de contenu de NicheScribes. Un service clé en main permettant de pérenniser vos investissements publicitaires.


Pitch NicheScribes
1. Par Michelle Blanc M.Sc. David Martin OFFRE DE SERVICE MARKETING DE CONTENU
2. SOMMAIRE Les statistiques Contextes d’utilisation ROI Risques SEO vs SEM Problématique des ressources Notre méthode Notre offre
3. Source : http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1008816&ecid=a6506033675d47f881651943c21c5ed4
4. DURÉE DE VIE D’UN CONTENU Source : https://socialmediaonlineclasses.com/21-ways-to-extend-the-life-of-your-content-infographic
5. CONTEXTE D’UTILISATION EN ENTREPRISE (EXTERNE) Les blogues externes sont principalement utilisés pour RP/marketing (61%) Et pour partager la vision des dirigeants (61%). Plus de 40% ont rapporté avoir un blogue du CEO et 35% utilisent les blogues pour les communications régulières avec les clients et partenaires Source : Blogging for enterprise, a GuideWire Group market cycle survey, oct. 2005
6. BÉNÉFICES DES BLOGUES EXTERNES Améliore la reconnaissance de la marque (78%) et Les communications externes (78%), Un véhicule pour recueillir les commentaires clients (66%). Quelques répondants s’attendent à générer des revenus (20%), Mais plusieurs s’attendent à améliorer leur référencement (58%). Source : Blogging for enterprise, a GuideWire Group market cycle survey, oct. 2005
7. ROI DU BLOGUE Source : https://www.michelleblanc.com/2007/01/25/calcul-roi-blogues-affaires/ et http://www.forrester.com/Research/Document/Excerpt/0,7211,41064,00.html
8. Source : hhttps://contentmarketinginstitute.com/2016/11/content-marketing-rising-stock/
9. Source: https://www.michelleblanc.com/2012/04/24/gerer-commentaires-negatifs-facebook/
10. AVANTAGES SEO Pérennité de l’investissement SEM Résultats à court terme
11. DÉSAVANTAGES SEO Résultats perceptibles à moyen terme Rédiger du contenu de qualité prend du temps Difficile de rédiger du contenu intéressant et en même temps performant pour le web Difficile d’éviter l’appropriation de ressources à l’interne SEM Enchères, contrôle des coûts difficile sur de plus en plus de mots Plus un secteur ou mot-clé est compétitif, plus il est dispendieux pour avoir un impact de conversion décroissant Comme dans la publicité traditionnelle, dès qu’on cesse d’investir, on disparait
12. PÉRENNITÉ DE L’INVESTISSEMENT Le marketing de contenu est très avantageux parce qu’il offre contrairement au SEM une pérennité de l’investissement. En effet, comme le contenu reste éternellement disponible sur le web, tout nouveau contenu ajouté s’additionne au contenu précédent, ce qui contribue à multiplier sa valeur et les résultats en autant que vous vous soyez doté d’une stratégie solide et que vous soyez réaliste sur les résultats et le temps nécessaire pour atteindre des résultats probants. Le marketing de contenu valorise l’attraction client, plutôt que la réclame.
13. PROBLÉMATIQUE DE L’APPROPRIATION DES RESSOURCES À L’INTERNE Le problème pour les entreprises qui réalisent l’avantage du marketing de contenu est le manque de temps. En effet, produire du contenu prend du temps. Et souvent engager un employé pour rédiger du contenu semble la solution idéale. Notre expérience nous démontre que dans la majorité des cas au bout de quelques mois à cause de l’accaparement des ressources, votre nouvel employé est bien plus sollicité par l’entreprise pour d’autres tâches connexes que pour la rédaction. L’investissement dans une ressource qui devait à elle seule générer deux à quatre billets de blogue de qualité par semaine n’a de temps que pour en rédiger 3-4 par mois et de moindre qualité. De plus, les employés qui ont les connaissances et qui pourraient rédiger des articles pertinents, ont rarement le temps, l’intérêt ou l’expérience de rédaction pour faire ce travail
14. NOTRE MÉTHODE
15. VOUS RESTEZ EN CONTRÔLE Vous avez décidé d’externaliser la production de votre marketing de contenu. Mais soyez assuré que vous resterez aux commandes à toutes les étapes du processus et ce pour toute la durée du contrat. Le processus que nous utilisons vous permet de rester impliqué, de la planification jusqu’au contrôle final en y consacrant un minimum de temps. Vous aurez un éditeur qui sera dédié à votre entreprise et qui coordonnera avec vous et vos employés toutes les étapes, communications, planification des rencontres ou autres sujets d’intérêt. Ce point de contact unique est important pour nous. Il évite à nos client de perdre du temps ou des attentes inutiles. Voici donc en détail les étapes du processus de production de la planification jusqu’à la mise en ligne des billets :
16. DÉTERMINATION DES OBJECTIFS DU CLIENT POUR LE BLOGUE (MARKETING ET/OU RELATIONS PUBLIQUES) Nous prenons avec vous le temps de bien cerner vos objectifs de communication avec vos clients actuels, les clients potentiels, le public en général et dans certains cas les médias. Nous pouvons aussi vous conseiller pour mieux identifier vos objectifs primaires et secondaires.
17. ANALYSE DES MOTS CLÉS ET DES SUJETS À PUBLIER POUR LA DURÉE DU CONTRAT C’est l’analyse des mots clés qui nous aidera à élaborer une stratégie éditoriale et qui permettra de valoriser certains des sujets à aborder tout au long de l’année.
18. DÉVELOPPEMENT DE LA LIGNE ÉDITORIALE À ÊTRE APPROUVÉE PAR LE CLIENT La ligne éditoriale permettra de déterminer les types de contenu, le ton et les valeurs que nous utiliserons au travers les différents contenus que nous rédigerons.
19. PRÉPARATION POUR ADOPTION PAR LE CLIENT D’UN CALENDRIER DE PRODUCTION DES ARTICLES DE BLOGUE La préparation du calendrier de production est une étape importante. En effet, c’est là que nous nous assurons que les contenus répondent aux moments importants de votre organisation et la publication des articles suit une logique que respecte vos objectifs communicationnels, la hiérarchie de l’importance des mots clés qui a déjà été déterminée et permet d’atteindre les objectifs.
20. RECHERCHE DE CONTENU DANS L’INTRANET DU CLIENT Votre intranet et le contenu de vos serveurs sont remplis d’informations pertinentes pour vos clients, vos partenaires, vos clients potentiels et le public en général. Malheureusement, ce n’est accessible qu’à l’interne. Nos recherchistes vont parcourir votre intranet et les différentes informations corporatives, à la recherche de contenu à être utilisé comme base de travail pour nos rédacteurs. Lorsque c’est possible, nous publierons le billet en reconnaissant la paternité du contenu à l’employé qui a produit ce contenu dans l’intranet. Favoriser l’engagement de vos employés dans ce processus est important pour nous.
21. PRODUCTION DE X BILLETS DE BLOGUES DE 500 MOTS EN MOYENNE (LA LONGUEUR DES BILLETS POURRA VARIER DE 250 À 2000 MOTS POUR UNE MOYENNE SUR LA TOTALITÉ DU PRÉSENT CONTRAT DE 500 MOTS PAR BILLET) Nos rédacteurs web vont rédiger des articles pertinents qui intéresserons vos lecteurs cibles qui auront été identifiés lors de l’étape de détermination des objectifs. Nous nous assurerons que vos objectifs, les mots clés identifiés, la ligne éditoriale et le calendrier de production seront respectés par nos rédacteurs web. De plus, nous préférons utiliser plusieurs rédacteurs différents pour chacun de nos clients pour s’assurer d’une diversité de ton et de style d’écriture. Cette diversité est importante pour maintenir l’intérêt des lecteurs d’un article à l’autre. Elle favorise la fidélisation de ceux-ci.
22. INTERVIEW POUR CERTAINS CONTENUS D’EMPLOYÉS, FOURNISSEURS, PARTENAIRES ET/OU CLIENTS PAR NOS RECHERCHISTES POUR LA RÉDACTION D’ARTICLES DE BLOGUES. LA SIGNATURE DU BLOGUE SERA CELLE DE LA PERSONNE INTERVIEWÉE. Comme votre intranet, vos employés, vos fournisseurs et souvent vos clients sont une excellente source d’informations pertinentes à être publiée. Nos rédacteurs-recherchistes interview ceux-ci par un simple appel téléphonique déjà planifié. Ensuite, ils utilisent cette interview, les mots clés et la ligne éditoriale pour rédiger un article. Cet article est ensuite envoyé à la personne interviewée pour approbation. Cette approbation est importante puisque l’article sera signé par la personne interviewée. Cette stratégie favorise le repartage des articles sur les réseaux sociaux par la personne interviewée et son propre réseau de contacts. L’objectif est ici d’élargir votre auditoire et de personnaliser et d’humaniser votre organisation.
23. VALIDATION DU CONTENU PAR LE CLIENT C’est la dernière étape avant la mise en ligne. L’éditeur vous contactera dès les premières semaines pour parcourir avec vous les articles ainsi proposés et identifier avec vous les sujets utilisés, mots clés, ligne éditoriale, pertinence du propos, choix des photos et/ou tout autres sujets. Il s’assurera de faire effectuer des modifications si nécessaire et de répondre à toutes vos questions et prendra note de vos commentaires pour la production des futurs billets.
24. MISE EN LIGNE DU CONTENU Lorsque la version finale a été approuvée par le client. Le billet est mis en ligne par celui-ci ou par nous, selon l’entente
25. RENCONTRES DE SUIVI AVEC LE CLIENT Une rencontre de suivi téléphonique ou réunion selon le cas sera planifiée après le premier mois du contrat puis aux trois mois pour s’assurer de la satisfaction du client, discuter avec lui de la progression du projet et s’il y a lieu, adapter la stratégie pour maximiser le retour sur investissement. C’est aussi lors de ces rencontres que nous pourrons adapter la stratégie à de nouveaux services ou produits offerts par l’entreprise pendant la durée du contrat.
26. UN CHOIX GAGNANT Contrôle tout au long du processus Des objectifs clairs et une ligne éditoriale respectés à la lettre Le respect du budget et des délais de production Toute une équipe de professionnels avec un point de contact unique qui communique avec vous régulièrement et est disponible pour répondre à vos questions Investissez dans votre propre média et laissez-nous raconter les histoires qui vont captiver votre auditoire et augmenter votre notoriété. Un investissement durable et rentable.
27. NOTRE OFFRE
28. DES OFFRES TARIFAIRES ADAPTÉES À VOTRE ENTREPRISEGrille tarifaire PLAN 1 PLAN 2 PLAN 3 PLAN 4 SERVICES : √ √ √ √ Détermination des objectifs Avec client Avec client Avec client Avec client Analyse des mots clés et des sujets à publier Inclus Inclus Inclus Inclus Développement de la ligne éditoriale à être approuvée par le client Inclus Inclus Inclus Inclus Préparation pour adoption par le client d’un calendrier de production des articles de blogue Inclus Inclus Inclus Inclus Recherche de contenu dans l’intranet du client √ √ √ √ Interview pour certains contenus 5 12 20 35 Production d’articles de blogues de 500 mots en moyenne 50 120 194 300 Nombre de mots 25 000 60 000 97 000 150 000 Nombre de photos inclus 15 40 75 150 Validation du contenu par le client Inclus Inclus Inclus Inclus Mise en page des billets Inclus Inclus Inclus Inclus Mise en ligne du contenu Exclus Exclus Exclus Exclus Prix 30 000$ 60 000$ 90 000$ 120 000$

Florilège de la diversité des questions pour lesquelles j’ai eu des mandats ou les problèmes que je règle avec mon expertise

Lors de mes études de maîtrise en commerce électronique à HEC Montréal, notre formation se faisait dans les trois grandes écoles que sont HEC Montréal, le DIRO (Département d’informatique et recherche opérationnelle) et la faculté de droit de l’UdeM. Chacun de nos cours, que ce soit, l’analyse stratégique, le marketing, l’économie, le droit des technologies, le développement logiciel ou autre, était strictement dirigé vers le web, le numérique ou le commerce en ligne. Mon mémoire était d’ailleurs sur le développement logiciel. L’idée des créateurs de cette maîtrise était donc de développer une vision multidisciplinaire des enjeux numériques, chez chacun des futurs diplômés. Ajoutez à ça près de 20 ans de consultation dans une grande variété de secteurs économiques et de grosseurs d’entreprises et vous avez un florilège particulièrement riche d’apprentissages, d’observation et d’expérience acquise par une seule personne. C’est pourquoi il m’est toujours difficile d’expliquer aux gens ce que je fais exactement. La variété est si large et tout à fait complémentaire à la fois, qu’elle pourrait se résumer à: du conseil et des conférences de gestion du web, des stratégies internet, du marketing et du commerce en ligne. Mais même cette définition est très réductrice. C’est pourquoi je vous présente ici quelques-unes des très nombreuses questions auxquelles j’ai répondu dans ma pratique.

-Comment puis-je vendre en ligne?
-Quelle technologie dois-je utiliser pour vendre en ligne?
-Quelle technologie dois-je utiliser pour faire mon site web?
-Comment mon modèle d’affaires va-t-il changer à cause du Web?
-Comment augmenter mes revenus en ligne?
-Qu’est-ce que le web sémantique?
-Je veux développer une nouvelle technologie de facturation complexe, comment dois-je faire?
-Quelqu’un de notre organisation s’est fait accuser en ligne de harcèlement sexuel. Comment devons-nous gérer ça?
-Comment une municipalité devrait-elle être en ligne?
-Que devrais faire mon hôtel, restaurant, compagnie aérienne, association touristique en ligne?
-Quels sont les réussites et les échecs de votation électronique dans le monde et comment pourrions-nous développer ça?
-Devrais-je développer une application mobile?
-Comment faire le marketing de mon application sur Google App Store et l’App Store?
-Je n’aime pas vraiment écrire, comment trouvé quelqu’un qui le fera pour moi?
-J’aimerais me présente aux élections. Que dois-je faire ne ligne?
-Quelle stratégie numérique mon parti devrait mettre en place?
-Quels sont les mots-clés importants pour mon entreprise? En mettre quelques-uns sur mon site web est-ce suffisant pour que je sorte en première position sur Google?
-Que dois-je inclure dans mon appel d’offres pour trouver un fournisseur web?
-Quelle fonctionnalité dois-je considérer pour mon prochain site web?
-Qu’est-ce que le marketing de contenus et comment dois-je m’y prendre?
-Comment les municipalités et les élus politiques peuvent-ils gérer des crises sur les médias sociaux?
-Comment les forces de l’ordre peuvent-elles utiliser les médias sociaux dans un processus d’enquête ou pour dialoguer avec la population?
-Comment les médias sociaux peuvent-ils être utiles en psychiatrie ?
-Comment puis-je augmenter le nombre d’abonnés de ma page Facebook?
-Qu’est-ce qu’une ligne éditoriale et comment en faire une?
-Comment le BI peut-il être utile pour les médias sociaux?
-Comment peut-on utiliser le blogue comme intranet?
-Quels sont les profils sociodémographiques des usagers médias sociaux?
-Comment écrire pour le web?
-Comment les médias sociaux affectent-ils les médias traditionnels?
-Qui doit s’occuper de ma page Facebook dans mon organisation?
-Comment recruter en ligne?
-Est-ce que les médias sociaux peuvent avoir une utilité dans le secteur de l’assurance et des services financiers?
Qu’est-ce que le référencement et combien ça coûte?
-Est-ce une bonne idée d’acheter de la pub sur Facebook?
-Est-ce important d’être sur Google mon entreprise et si oui, que doit-on y faire?
-Qu’est-ce que mon organisation doit faire en ligne si nous n’avons rien à vendre?
-Je me fais harceler/menacer en ligne, comment faire une plainte et faire condamner mon agresseur?
-Pouvez-vous parler de mon entreprise sur les médias sociaux et combien ça coûte?
-Comment faire un sondage auprès de nos clients?
-Comment faire une politique éditoriale des médias sociaux?
-Sur quels médias sociaux devrais=je mettre mes efforts?
-Quels sont les risques de sécurité de mes présences web?
-Comment devenir meilleur que mon compétiteur en ligne?
-Je ne comprends rien à Twitter et il n’y a pas tant de monde que ça, pourquoi devrais-je y être?
-Que devrais-je vendre en ligne?
-Pourquoi dois-je avoir une politique de vie privée?
-Les infolettres est-ce encore pertinent?
-Pourquoi et comment faire un blogue d’affaires?
-Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir de positif avec les gens qui critiquent mon entreprise en ligne?
– Tout le monde parle de vidéo alors pourquoi devrais-je faire un site Web?
-Si je suis sur Facebook, ai-je besoin d’avoir une autre présence web?
-Comment se fait l’acquisition de client sur le Web?
-Est-ce possible de publier sur votre blogue?
-Pourquoi la fibre optique est-elle importante au niveau économique?
-Comment les coups durs peuvent-ils être source d’innovation?
-Pourquoi mettez-vous des photos de votre chien sur les médias sociaux?
-On diffame mon entreprise en ligne, que dois-je faire?
-J’ai déjà payé $50 000 pour ma présence web et le téléphone ne sonne pas, pourquoi?
-Quelqu’un peut me faire mon site web pour $10 000 incluant mon référencement. Est-ce une bonne affaire?
-Comment peut-on faire des relations publiques en ligne?
-Qu’est-ce que la cyberagression sexuelle?
-Comment gérer les commentaires sur Facebook et ailleurs?
-Comment la géolocalisation peut-elle être bénéfique pour mon organisation?
-J’aimerais faire du marketing aux influenceurs. Pouvez-vous m’aider?
-Comment vendre l’importance des médias sociaux à mon président?
-De quoi devrait-on parler sur les médias sociaux?
-Comment faire une politique d’utilisation du web et des médias sociaux pour les employés?
-Comment le web et les médias sociaux peuvent-ils nuire ou être efficaces en situation de conflit de travail?
-Qu’est-ce que la veille et quels sont les types de veilles que mon organisation devrais faire?
-Comment mesurer l’impact de mes publicités sur le web?
-Comment rejoindre les jeunes en ligne?
– Mes vidéos YouTube n’ont presque pas de vue, que faire?
-Quelles sont les notions d’économie numérique qui sont importantes pour mon organisation?
– Le marketing de contenus est-ce pour le B2C ou le B2B?
-Qu’est-ce que le « social »?
-Que pensez-vous des répertoires et de l’achat local?
-Quelle est la différence entre le marketing des médias sociaux et le marketing de contenus?
-Quels sont les types de mots-clés que vous devez rechercher dans une stratégie de référencement?
-Comment le secteur des résidences pour personnes âgées doit-il utiliser le web et les médias sociaux?
-Dois-je investir dans le remarketing et le retargeting?
-J’ai l’impression que ma publicité numérique n’attire que des robots, suis-je parano?
-Comment vendre en ligne dans un contexte B2B
-Je suis victime de sextorsion. Que puis-je faire?

La pensée magique du commerce électronique

Je discutais avec un pote de longue date qui comme moi, est impliqué dans le Web, de ces entrepreneurs qui veulent un site transactionnel. La Covid-19 a poussé plusieurs commerces à tout d’un coup, vouloir faire le saut sur le Web. Il leur demande combien ils ont de produit, de photos, de catégories, de texte et autres questions de base. La plupart du temps, ils n’ont rien. Ils veulent vendre en ligne, mais n’y ont pas encore vraiment pensé. De plus, ils veulent ça pour presque rien. Ce genre de demandes pullule.

Ce qui n’aide pas est qu’ils se font dire qu’aller sur le web est facile (ce qui est relativement vrai), qu’ils ont l’habitude d’aller sur Facebook et que de faire un site de commerce en ligne ça ne doit pas être si compliqué puisqu’il pullule des offres de site web gratuit.

La réalité est très différente. D’abord, le coût d’un site web n’est que le début de l’aventure et de l’investissement. Il faudra par la suite le garnir et le faire vivre. C’est-à-dire de produire des contenus sur une base régulière.

Oui il existe du gratuit pour le commerce en ligne

J’ai déjà parlé de Google Mon entreprise qui est gratuit et que toute entreprise, quelle qu’elle soit, devrait utiliser. Surtout que sa présence Google mon Entreprise est plus performante que les Pages Jaunes qui sont payantes. Vous pourriez aussi décider d’aller vendre sur Amazon, Etsy ou d’utiliser Shopify. Cependant, ils sont loin d’être gratuits. Vous paierez à la transaction et en fonction de votre volume de vente, ça peut représenter un joli magot. En outre, vous ne serez pas chez vous et ne contrôlerez pas parfaitement votre environnement. Et quoi qu’il en soit, d’être sur ces plates-formes va requérir aussi un travail régulier de mise en ligne de vos contenus. On n’en sort pas. Vous pourriez décider de choisir un Faites-le vous même. J’ai déjà parlé de ces choix dans mes billets Sur le Web, la magie et les miracles, ça n’existe pas, Les problèmes avec Wix, Web.com, Votresite.ca Liki.com et autres faites-le vous-même et Votresite.ca et François Charron vs Michelle Blanc. À la lecture de ces billets, il vous apparaîtra évident qu’une saine présence web et transactionnelle ne passe pas nécessairement par ce genre de baguette magique.

La réalité du commerce en ligne

Comme vous êtes une personne d’affaires, vous savez déjà que votre commerce de détail « brique et mortier » comporte son lot d’investissement en temps, effort et argent. Vous devez payer votre loyer (ou vous faire construire), le meubler, acquérir un inventaire, l’entreposer, décorer votre commerce, faire la publicité et payer les employés qui y seront durant vos heures d’ouverture. Faire du commerce en ligne est sensiblement la même chose. Si vous payez un loyer, ce sera le centre d’achat qui fera la promotion de l’emplacement. Si vous avez pignon sur rue, ce sera à vous de faire cette promotion. Il est évident que dans un centre d’achat et sur une rue commerciale, il y aura des passants. C’est loin d’être évident sur le Web étant donné les milliards de pages qui s’y trouvent. Vous devrez donc travailler à acquérir « ses passants virtuels » avec ce que l’on nomme le référencement et les médias sociaux. J’écrivais d’ailleurs que ce travail de référencement est une activité régulière et capitale d’une présence en ligne dans mon billet Le référencement, c’est comme le jardinage.

Des employés

Dans votre magasin « physique », vous avez des employés qui sont des vendeurs, gérants, étalagistes, employés d’entretien, manutentionnaires et autres. Vous avez peut-être aussi travaillé avec des architectes, décorateurs, livreurs, spécialiste de l’approvisionnement, marketeurs, gestionnaires, éclairagistes, paysagistes, comptables, avocats et une foule d’autres professionnels. En outre, vous deviez faire de la publicité, participer à des salons, chambres de commerces et congrès divers. Sur le Web, c’est sensiblement la même chose. Ce n’est pas parce que le web permet la dématérialisation que tous ces spécialistes indispensables à un commerce physique à succès n’existent plus pour le virtuel. Ils doivent aussi prendre part à vos activités numériques. Il est évident que dans bien des cas, vos employés actuels pourront ajouter des activités numériques à leurs activités traditionnelles. Cependant, ça devra faire partie de leurs descriptions de tâche, être payé pour ça et le temps qu’ils investiront dans le numérique ne sera pas disponible pour vos activités courantes.

Des chiffres

Si vos coûts d‘opération sont actuellement de disons $500K pour faire fonctionner votre commerce de détail physique, comment pourraient-ils n’être que de 5, 10 ou 20K pour faire fonctionner un commerce en ligne? C’est entre autres là que la pensée magique ne fonctionne pas. J’ai déjà dévoilé que la première plate-forme de vente en ligne d’IGA avait coûté $300K et qu’avant la première vente en ligne, ils avaient eu pour $800K de retombées médiatiques. C’était il y a des années et ce genre de stunt de relations publiques est très difficile maintenant, l’effet d’être le premier, étant passé. Par contre vous serez sans doute surpris d’apprendre que IGA en ligne vend ce que deux magasins physiques vendent (et ce avant la pandémie). En outre, il avait été démontré que les acheteurs de IGA en ligne étaient principalement des habitués d’autres bannières qui allaient faire leurs commandes en ligne pour leur chalet et qu’ils passaient prendre leur commande en arrivant à destination. J’ai aussi un client dont la présence médias sociaux se résume à Instagram et il vend pour plus de 5M$ dans 40 pays. J’ai un autre client qui lors de sa première année en ligne sur le marché américain, pensait vendre ses produits d’épices et d’herbes au gramme et qui finalement vend plutôt au kilo. Disons que j,aurais bien aimé être payé à pourcentage plutôt qu’à mon taux horaire pour l’avoir aider 🙂

Quoi qu’il en soit, le message est que oui il y a de tes nombreuses histoires à succès dans les commerces de détail (et de gros) sur le web, mais que ces histoires viennent avec bien du travail et avec les ressources financières, humaines, stratégiques et de créativité qui sont indispensable à la réussite. Si vous pensez aller en ligne parce que vous n’avez pas le choix, pensez-y encore et prenez le temps de planifier , de budgétiser, de travailler votre concept et soyez conscient que d’aller en ligne, c’est comme si vous décidiez d’ouvrir une deuxième succursale physique…

Ma catégorie

Commerce de détail en ligne

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Lorsque j’ai commencé ma pratique, le web était loin d’être celui que nous connaissons aujourd’hui. Facebook n’existait pas encore et son prédécesseur MySpace (et avant lu Friendster) n’avait pas la portée que Facebook a aujourd’hui et ses contenus étaient surtout musicaux et les contenus textuels étaient plus étoffés et consistants. C’était aussi les belles années des blogues. Google valorisait les contenus qui avaient plusieurs hyperliens externes, ce qui était une sorte de validation externe de la qualité des contenus. Nous parlions alors (terme de Martin Lessard) de l’effet de percolation de la qualité. En 2005 il écrivait :

1. (to verify the accuracy of the information) Les carnets sont reconnus pour citer leurs sources.

2. (a real organization) Le carnet est géré par une personne qui est généralement identifiable.

3. (Highlight the expertise) Le carnet de qualité regroupe des billets sur des sujets que l’auteur maîtrise.

4. (Show honest and trustworthy people) L’auteur signe chacun de ses billets.

5. (Make it easy to contact you) L’auteur laisse souvent son courriel ou permet les commentaires sur ses billets.

6. (Design your site) Les blogues, plutôt simple dans leur design, a donné lieu a une nouvelle esthétique.

7. (Make your site easy to use) Dur d’être plus simple qu’un carnet, avec un système d’archive par date, et les billets à la queu-leu-leu sur une même page.

8. (Update your site’s content often). La fréquence de mise à jour raprochée est une condition sine qua non d’un carnet.

9. (restraint with any promotional content) L’écrasante majorité des bloggeurs ne pourront / voudront pas avoir de la pub.

10. (Avoid errors of all types) Ça, par contre, je ne sais pas…

Peut-être avons nous là un mobile supplémentaire de penser que l’engouement pour les blogues ne soient pas une mode passagère mais bien une composante structurelle non conjoncturelle.

Par effet de percolation, les blogs, en ayant les attributs listés ici, ont acquis, par eux même, cette crédibilité car ils correspondaient à l’attente du public.

Il existait donc une certaine forme de standard de qualité des contenus sur le web. Puis, nous avons connu l’explosion sans précédent des contenus et des usagers. Avec le Web 2.0, tout le monde pouvait maintenant partager des contenus et participer au Web. J’étais la première à en être enthousiasmée. Cependant, au fil des ans, les contenus se sont vus raccourcir en termes de longueur et s’appauvrir en qualité. La « percolation de la qualité » dont parlait Martin s’est amoindrie très sensiblement. À tel point que maintenant, l’opinion d’un prix Nobel est l’équivalent de celle d’un quidam. Même le sacro-saint establishment journalistique est désormais qualifié de « fake news » et étant donné les difficultés de financement des médias, le journalisme d’enquête, qui a toujours été le socle de la crédibilité journalistique, n’est plus que l’ombre de lui-même.

Comme pour le fast-food, nous avons maintenant les snack-content, ces contenus brefs à digérer rapidement. L’analyse rigoureuse, la citation des sources, la nuance, les démonstrations complexes, l’identification des auteurs et l’absence de publicité sont désormais pratiquement inexistants et plus difficilement mises en pratique. Cet âge d’or des contenus a disparu. Mais, comme c’est souvent le cas des phénomènes sociaux, le balancier pourrait bien favoriser un retour en arrière. C’est qu’un mouvement de Slow content fait son apparition.

Qu’est-ce que le Slow content?

Le slow content est une pratique de marketing de contenus valorisant les textes plus longs, plus fouillés et avec une fréquence de publication moins frénétique. C’est une réaction aux microcontenus des médias sociaux. D’ailleurs, lorsque je donne des ateliers à propos des médias sociaux et du Web, on me demande toujours qu’elle est la longueur idéale d’un blogue. Ma réponse est toujours que c’est la longueur qui est nécessaire à la pertinence. Ça peut être de 200, 500 ou même 300 mots. Dans mon propre blogue, en fonction des sujets traités, vous trouverez une grande diversité de texte. Par contre, on observe que de plus en plus, les longs textes ont maintenant la cote. Comme le présente l’article de SEM Rush, Quelle est la longueur idéale d’un texte pour se positionner en SEO ? plusieurs études démontrent que les textes de 2000 mots et plus ont un excellent score de référencement. Mais tout comme je viens de le faire, il note aussi que la pertinence, la réponse aux besoins du lecteur signifiée par l’intention de la recherche dans Google, la thématique et la qualité des contenus, sont ce qui fera la différence et qui permettra à vos textes d’être repérés et valorisés par les internautes et les moteurs de recherche.

Le marketing et la communication en temps de crise (sanitaire ou autre)

Ce n’est vraiment pas le temps de disparaître de la carte. En effet, l’usage des médias sociaux et du web est en pleine progression ici et ailleurs. C’est donc le temps idéal de fournir à vos clients et clients potentiels des informations pertinentes sur « votre sujet » (pour découvrir SON sujet, lisez mon billet Narcissisme corporatif et publicité ou marketing de contenu) et sur comment votre entreprise s’adapte à la crise que nous vivons tous.

Plusieurs entreprises ont des budgets de représentations pour participer à des foires, congrès et salons. Comme ceux-ci ont été pour la plupart, annulés, il est peut-être judicieux de transférer le budget qui y était dédié, au numérique. Si votre présence numérique et sociale n’est que très rudimentaire, vous pourriez sans doute les améliorer et même commencer à faire du transactionnel en ligne. Pour trouver des ressources pour vous améliorer, vous pouvez consulter les nombreuses références qui sont dans mon récent billet Guides pour le commerce en ligne, travailler avec un expert local ou téléphonez-moi  mes clients sont à la grandeur du Québec.

Profitez-en pour mettre à jour votre présence Google mon entreprise, pour créer et partager plus de contenus sur vos présences Facebook, Twitter, Linkedin, YouTube, Slideshare et autre et pour faire parler vos clients, employés et fournisseurs. Bref, il est temps d’entrer et de faire partie de la conversation.

Cependant, évitez d’avoir l’air de profiter ou de vouloir vous enrichir du malheur des gens. Vous devez plutôt
• reconnaître l’impact de la pandémie sur vos consommateurs,
• être empathique avec eux,
• discuter de l’impact du virus sur leurs vies et sur la vôtre,
• réassurez-les sur le maintien de la qualité des services et produits que vous vendez.

Étant donné que plusieurs entreprises ont diminué leur budget marketing, il serait temps, au contraire, d’augmenter le vôtre pour profiter du vide qu’ils ont laissé et du temps de navigation et du nombre d’usagers numérique qui ont sensiblement augmenté…

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Guides pour le commerce en ligne

En ces temps de confinement, de plus en plus d’entreprises, qu’elles soient B2C ou B2B , qu’elles vendent des produits ou des services, grossistes ou détaillants, s’intéressent finalement à la vente en ligne. Je dirais ENFIN puisque ça fera bientôt 20 ans que je les incite à le faire. Pour ces retardataires, la marche peut être haute. En fonction de la qualité des services internet de leur localité (ce qui est encore loin d’être un acquis en région), des prestataires de technologies Web (ils peuvent toujours sortir de leur région s’ils ne trouvent pas les fournisseurs qui leur conviennent) et de leur propre connaissance du sujet, de très nombreuses questions se poseront. C’est pourquoi j’ai colligé ici, certains des nombreux guides pour le commerce en ligne qui sont disponibles en ligne.

Je rappelle que d’avoir un site Web n’est souvent que le début de la démarche et que de le faire vivre et d’en faire la promotion, contrairement à ce qu’on peut croire, sera le gros du travail et la grosse dépense. Tout comme dans le monde physique, ce n’est pas parce que vous avez loué ou acheté un espace commercial et que vous y avez installé une pancarte magasin que par miracle, les acheteurs arriveront. Il en est de même pour le Web. Ça vous prendra une stratégie marketing, du personnel, une gestion du point de vente et de l’inventaire et un travail acharné pour en retirer des bénéfices. En outre, comme je l’explique lors de mes ateliers Web et médias sociaux, vous pourriez même vendre en ligne sans même avoir votre propre site transactionnel et utiliser des services tels qu’Amazon, eBay, Etsy, Alibaba et autre. D’ailleurs, j’ai déjà fait une émission de radio avec un entrepreneur qui une fois en ligne sur Amazon pour vendre ses antiquités de la IIe guerre mondiale, vendit ses deux magasins physiques pour s’y consacrer et acheta un 2e entrepôt pour satisfaire à la demande qu’il avait créée. Je connais aussi plusieurs entrepreneurs qui grâce à un efficace marketing de contenus sur le blogue et site informationnel, suscitent les ventes hors-ligne qui se feront en magasin ou au téléphone. Tous les modèles sont donc possibles. D’ailleurs, pour des raisons de pérennité de l’investissement marketing, j’ai toujours valorisé le marketing de contenu à la publicité en mentionnant que ce sont de gros efforts qui génèrent des retombées à moyen et à longs terme, mais que pour le court terme, la publicité demeurera un incontournable. Déjà, il y a plus de 10 ans, dans le chapitre du collectif Pourquoi bloguer, je présentais Bloguer pour vendre qui jetais les bases de cette approche du marketing de contenus.

Quel que soit l’approche de commerce en ligne que vous privilégierez, la mesure de rendement ultime sera toujours faites-vous des ventes ou pas? Après 12 mois vous pourrez mesurer si effectivement l’investissement que vous avez fait en vaut la peine ou pas. Cependant, il est aussi bon de rappeler que même Amazon, a attendu 10 ans avant de commencer à être rentable. Alors il faut regarder les objectifs à long terme, évaluer la justesse des décisions et des stratégies qu’on a prises afin de ne pas se conforter à croire « que le Web c’est de la marde parce que j’y ai investi sans retombée» alors que les raisons d’échecs peuvent être multiples.

Voici donc certains guides qui pourraient vous être utile

Bloguer pour vendre

10 étapes pour réussir son entrée Web

Le guide de création de crédibilité d’un site Web de Standford

Comment mettre en place une initiative d’achat local dans sa région ou sa localité?

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Y a-t-il encore des lecteurs pour le blogue?

C’est la curieuse question que se pose la journaliste Lise Ravary sur Facebook. Mais c’est aussi la question que se posent des présidents d’entreprises ou des patrons marketing. La question subséquente qui devrait être aussi posée est « Est-ce encore pertinent et encore plus, est-ce rentable? ».
Y a-t-il encore des lecteurs pour le blogue?

Ces questions sont tout à fait légitimes et reviennent sporadiquement depuis au moins dix ans. Les réponses sont oui, oui et oui. Dans mon billet de 2008, Le blogue est immortel, je parlais d’un article de Wired qui avait décrété la mort du blogue et qui soulignait que le blogue « était tellement 2004 ». Ironiquement, dans ce même billet, je citais aussi un article de ClickZ qui lui ,affirmait que c’était le blogue qui avait le plus d’impact dans la décision d’achat… Study: Blogs Influence Purchases More Than Social Sites.

Mais que voulez-vous, que ce soit en 2004, en 2008 ou en 2019, le blogue n’est pas la solution facile. Le blogue demande du travail. Le blogue demande des ressources et ces ressources on doit les trouver. Il est tellement plus facile d’engager à l’externe pour se faire faire une campagne publicitaire traditionnelle, une campagne Adwords, Facebook,  YouTube ou d’engager des gestionnaires de communautés que de réellement créer des contenus. Mais comme je l’ai démontré dans mon récent billet La pourriture marketing web Partie 2 (fraude par clic), vous tirerez votre argent par la fenêtre sans jamais atteindre la pérennité de votre investissement et la permanence de vos contenus comme cela est possible avec le blogue.

À mes débuts, il y a de nombreuses années, on parlait déjà de 20% des budgets de publicité numériques qui étaient en fait de la fraude. Puis on parla plus récemment de 30 puis de 50%. La blague étant même “que 50% des budgets de placement de publicité numériques sont de la fraude, mais on ne sait pas lequel des deux 50% est le bon”. C’est tout dire. Mais avec l’avènement de la programmatique, selon le Dr. Fou, ce pourcentage de dépenses frauduleuses monterait maintenant à 90%, dans certains cas.

Mais pour revenir aux questions spécifiques relevées en début de billet, y a-t-il des lecteurs pour le blogue en 2019?

Chez Optinmonster on présente que :

Each month, approximately 409 million people view more than 20 billion pages.
77 million new blog comments are generated by readers each month.
Websites that also have a blog are shown to have 434% more indexed pages.
77% of internet users read blogs.
Internet users in the US spend 3X more time on blogs than they do on email.

Est-ce que le blogue est encore pertinent? Pour répondre à cette question, je prendrai le détour de vous demander si le contenu est toujours pertinent? La réponse est certainement oui. Le blogue est un outil, voire un support de communication, mais c’est aussi une philosophie communicationnelle valorisant entre autres le partage. Il y a d’ailleurs plus de dix ans, avec plusieurs autres blogueurs, nous publions l’ouvrage Pourquoi bloguer dans un contexte d’affaires? (vous pouvez encore vous le procurer chez Amazon) Pour ma part, j’avais rédigé le chapitre bloguer pour vendre (qui est toujours en ligne). Selon mes collègues blogueurs, vous pouvez bloguer pour :

Influencer
Informer
Réseauter
Se souvenir
Apprendre
Se définir
Être vu
Communiquer
Provoquer
Et finalement pour vendre.

Toutes ces motivations étaient pertinentes il y a plus de 10 ans, et elles le sont toujours. De surcroit, on se demandera si c’est rentable. Toujours chez Optinmonster, on apprend que :

Marketers who prioritize blogging are 13x more likely to have a positive ROI on their efforts.
64% of B2B marketers outsource blog copywriting.
57% of marketers say they’ve gained customers specifically through blogging.
B2B marketers who have blogs get 67% more leads than those who don’t.
72% of online marketers describe content creation as their most effective SEO tactic.

Et dans le rapport State of inbound 2018 de Hubspot, après le référencement, le blogue est la 2e priorité des marketeurs. Or, le blogue est justement l’outil de référencement le plus efficace.

priorités marketing inbound des CMO

Alors devriez-vous bloguer? Très certainement. Comment mettre en place un blogue, développer les diverses politiques nécessaires à une pratique de contenu efficace, développer une stratégie éditoriale et de contenu et savoir écrire pour le blogue et toutes les autres questions relatives au blogue? Visitez dans mes archives qui regorgent de réponses à ses questions (entre-autres visitez ma catégorie blogue). Vous pouvez aussi me contacter pour que je vous accompagne. Finalement, depuis peu, j’ai aussi fondé une nouvelle entreprise, NicheScribes, dont la mission est de fournir des contenus de niche à des clients organisationnels. Avec nos 65 rédacteurs/journalistes, avant même d’avoir débuté notre mise en marché, nous avons déjà un contrat annuel avec un premier client du secteur médical. Alors, n’hésitez pas à me demander une présentation de nos services de rédaction de billets de blogue.

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Le blogue est mort, vive le blogue ! Depuis des années déjà, on prédit la mort du blogue. Ironiquement, depuis des années aussi, les dirigeants marketing reconnaissent le blogue comme l’un des outils les plus performants de l’arsenal du marketing numérique. Mais contrairement à Facebook, le blogue ne peut être donné à rédiger au petit dernier stagiaire qui vient d’arriver. C’est que sur le blogue on doit savoir de quoi on parle pour être pertinent et que le blogue « c’est du travail ».

Avec la chute drastique de la portée naturelle des statuts des pages Facebook et la récente pluie de scandales des données personnelles de ce même outil, il est peut-être temps de se reposer les bonnes questions ? Il est peut-être temps de se retrousser les manches et d’ENFIN être « maitre chez soi » et de miser sur la pérennité de son investissement ? Contrairement à Facebook, vos contenus auront une vie après leur mise en ligne, même plusieurs années plus tard.

D’ailleurs, c’est en 2012 que j’écrivais le billet Le paradoxe des blogues d’affaires chez les fortunes 500 ou Le blogue demeure l’outil média social le plus efficace, mais encore mal aimé des CMO. On peut y comprendre qu’il est plus facile de se dédouaner de ses responsabilités en payant de fortes sommes d’argent pour « qu’une agence » les prenne à notre place. Mais les résultats seront éphémères, dispendieux et on pourra toujours dire que c’est la faute de l’agence si les résultats n’y sont pas. On pourra aussi se gargariser du nombre d’abonnés de notre page Facebook et de la soi-disant portée de nos statuts. Sur votre blogue, les données Google Analytics de trafic et de conversion elles ne seront pas des créations de l’esprit…

Comme je l’expliquais déjà dans ces billets, (Malgré le temps les constats restent pas mal les mêmes, seules les statistiques varient un peu) les patrons marketing reconnaissent l’apport inestimables du blogue et observent que les médias sociaux ont un impact exagéré comme on peut encore le voir dans le document State of inbound 2017, dont les tableaux ici-bas sont tirés (notez aussi que les deux premières priorités, le référencement et le blogue, sont en fait un peu la même chose puisque le blogue est le meilleur outil pour améliorer le référencement).

Les priorités du marketing entrant

Les tactiques marketing exagérées

D’ailleurs dans un autre document, Blogging Statistics and Trends: The 2017 Survey of 1000+ Bloggers on apprend que :

« We are spending more time creating content and more money promoting it, and the investment is paying off. Bloggers are reporting stronger results from content marketing.
When asked to report on the effectiveness of their efforts, almost 30% of respondents reported “strong results.” The vast majority of bloggers are seeing rewards from their efforts and meeting their goals, whatever they might be.
Less than 1 in 5 bloggers answered “I don’t know” or reported disappointing results. »

Et finalement, pour ceux qui sont peu enclins à l’effort (et souvent les résultats iront avec), l’article New Blogging Trend: Short Form Blogging présente qu’à l’instar du célèbre Seth Godin, vous pourriez rédiger de courts billets et avoir tout de même un certain impact puisqu’il semble que ce soit une nouvelle tendance. Par contre, cet autre article Les tendances du blogging en 2017 expose exactement le contraire, les blogueurs écriraient des articles de plus en plus longs.

longueur d'un billet de blogue

C’est d’ailleurs l’une des questions les plus fréquentes de ma clientèle. Quelle est la longueur d’un billet de blogue ? Ma réponse est : Utilisez la longueur nécessaire à votre pertinence. Dans certains cas ce pourra être quelques lignes et dans d’autres, plusieurs pages. Par contre j’ajoute aussi « la longueur standard d’un article journalistique est de 750 mots. Donc si vous faites un billet de 1500 mots, divisez-le en deux en utilisant titre/partie1 et titre/partie 2 et insérez un billet d’un autre sujet entre les deux pour forcer le clic.

En conclusion, le blogue reste indubitablement l’un des outils social et marketing les plus performants pour les entreprises et le blogue, quoique beaucoup moins à la mode, est certainement à considérer pour une saine présence web, générant des retombées trébuchantes et sonnantes…

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Ces entrepreneurs qui croient faire une bonne affaire en payant pour la promotion de leurs contenus sur Facebook

C’est via un statut Google+ du pote Philippe Martin que j’ai pris connaissance de l’article de webmarketing-com.com, Pourquoi vous ne devriez PAS promouvoir votre page Facebook. J’ai moi-même déjà écrit sensiblement la même chose en 2015 Comment payer Facebook pour être de moins en moins visible. La tristesse avec ce sujet est que soit les gestionnaires ne nous lisent pas ou pire, qu’ils ne comprennent pas qu’ils tirent « littéralement » leur argent pas la fenêtre. Chez webmarketing-com.com on peut lire :

Facebook est avant tout un réseau social où on se divertit, pas un marché.
Reprenons notre histoire. Ayant constaté une corrélation positive entre le nombre total de mentions J’aime sur sa page et la portée organique de page, Neil Patel a investi dans la publicité pour :
• Avoir plus de fans ;
• Et donc augmenter la portée naturelle de sa page Facebook.
Au total, il a investi 400 000$ en publicité Facebook (booster ses posts, lancer des campagnes de mentions j’aime) et possède maintenant 900 000 fans sur sa page.
Au début, ses efforts ont payé.
La portée organique naturelle de sa page a fortement augmenté. Neil explique qu’il avait 240 000 visiteurs sur son site web provenant de sa page Facebook rien qu’en publiant ses derniers articles sur sa page.

6_Pointless_Marketing_Metrics_to_Avoid_at_All_Costs
Source : neilpatel.com
La suite de la courbe :

6_Pointless_Marketing_Metrics_to_Avoid_at_All_Costs-1
Source : neilpatel.com
Pour reprendre les mots de Neil : les fans sur Facebook et les mentions J’aime finissent par perdre leur valeur avec les changements perpétuels de l’algorithme de Facebook.
En gros, plus il avait de fans sur sa page et plus la portée organique de ses publications diminuait. Avoir 900 000 fans avait moins de valeur qu’en avoir 100 000 !
Donc si un marketeur aussi fort que Neil a dépensé 400 000$ pour au final avoir une portée naturelle encore plus basse au final, alors ne faisons pas la même erreur !
Retenez ceci : L’algorithme de Facebook joue en votre défaveur. Facebook veut que vous fassiez de la publicité !

Moi-même je disais

Payer pour être invisible sur Facebook
Toute chose étant égale, le Edge Rank calcule le ratio nombre de fans/nombre d’interactions des fans afin de déterminer quels contenus seront visibles sur l’accueil des usagers. Plus vous augmentez votre nombre de fans, moins le ratio d’interactions sera grand donc moins vous serez visibles dans l’accueil des usagers.
En d’autres mots (ceux de Techcrunch)

In other, hopefully less confusing words, an Object is more likely to show up in your News Feed if people you know have been interacting with it recently. That really isn’t particularly surprising. Neither is the resulting message to developers: if you want your posts to show up in News Feed, make sure people will actually want to interact with them.

L’ironie de l’incompréhension

Ce matin j’ai discuté avec un de mes clients qui m’informe que l’entreprise a décidé de payer une agence pour faire la promotion de leurs contenus Facebook. Je faisais un retour avec lui, sur une rencontre d’il y a deux semaines à propos du marketing de contenu. Cette entreprise est positionnée avec des produits pour une niche très spécifique avec une clientèle particulièrement bien définie qui de surcroit, se regroupe déjà à travers des « clubs de passionnés » à la grandeur du Pays. Mais l’un des nouveaux jeunes employés, diplômé depuis un an d’une grande école de commerce française, prétend que le référencement est mort et que Facebook est la voie de la conversion.

De plus, lors de nos conversations, les gens de l’entreprise réalisent que le marketing de contenu c’est du travail. C’est beaucoup de travail. Par contre, peu d’organisation réalise qu’une portion importante du travail est déjà fait et qu’elle dort dans les serveurs de l’entreprise. Ils ont déjà des masses d’informations qu’ils croient à tort, d’aucun intérêt pour l’externe. En outre, si chaque employé est habilité à devenir un créateur de contenu une fois de temps en temps, la roue tournera d’autant plus rapidement. De surcroit, il y a une pérennité à investir dans du contenu original en ligne puisqu’il persistera à exister contrairement à la pub qui disparaît une fois l’argent dépensé. Mais bon, payer pour faire faire du travail par d’autres en se croisant les doigts, c’est la facilité. D’ailleurs, si on prend $100 000 en publicité, une fois qu’elle est apparue, elle fera partie de nos souvenirs (si elle a été vue parce que de plus en plus de gens font de l’aveuglement volontaire aux publicités ou qu’ils utilisent des bloqueurs de publicité). Par contre, si vous prenez le même $100 000 et que vous engagez deux rédacteurs professionnels qui vous font des contenus durant un an, ces contenus seront toujours en ligne, améliorerons votre référencement et perdureront une fois l’argent dépensé.

Mais bon, plusieurs pro du marketing web et moi-même disons sans doute n’importe quoi alors n’hésitez pas à continuer de tirer votre argent par la fenêtre et à croire à la « magie de la facilité »…

MAJ
À lire: LES PLUS GROS MENSONGES AUTOUR DE L’INDUSTRIE DIGITALE

D’abord quand Google a permis de parier sur les noms de marque et donc d’obliger les marques à surenchérir sur leur propre marque, ce qui n’a pas de sens en réalité si ce n’est pour Google qui génère beaucoup de revenus sur ces termes.

Côté Facebook, clairement, les pages de marques ont été de vrais chevaux de Troie pour Facebook.

En jouant sur l’égo des marketers, les marques ont fait beaucoup de pub pour dire « rejoignez-nous sur Facebook » et ont ainsi crédibilisé Facebook, rendu plus populaire aussi pour finalement voir leur edgerank (capacité à toucher leurs fans) tomber à 0 si ce n’est en faisant de la publicité.

Sans parler d’Amazon bien sûr, qui est en train de lancer ses propres produits qui rentrent totalement en concurrence avec les marques.

Puis comme je le mentionne sur les médias sociaux

Observation: Ce contenu n’a pas été “sponsorisé” sur Facebook et il “cartonne” assez bien 🙂

MAJ2

Les sites web parallaxe, une autre mode contreproductive

Après vous avoir parlé des problèmes associés aux sites Faites-le vous-même (FLVM) (et ici où je m’attardais spécifiquement à Votresite.ca), je vous parle aujourd’hui de cette autre mode (que je souhaiterais passagère, mais trop de gens d’affaires aiment le beau au détriment de l’efficace) qu’on voit depuis quelques années, les sites web parallaxe.

Qu’est-ce qu’un site web parallaxe
La définition de ce qu’est le design parallaxe est difficile à saisir pour le commun des mortels. Mais en gros, vous avez tous en mémoire ces sites qui ont une image fixe (image de fond) et qui lors du déroulement, se transpose en plusieurs autres images superposées. Lors du défilement sur le site, vous observerez que vous êtes toujours sur la même page. En fait, les sites Parallaxe sont une très longue page web avec différentes sections accessibles par des hyperliens sur la même page. Les premiers sites faits avec ce type de design web étaient très invitants parce qu’on n’avait encore jamais vu ça. Mais 10 000 sites Parallaxe plus tard, l’effet de nouveauté n’y est vraiment plus, disons.

C’est un type de site qui a la cote auprès des firmes de communication. On peut facilement y attacher un « concept » et les boites de comm aiment ça les concepts. La beauté des concepts est qu’une fois livrés, on peut facturer et passer à autre chose. Tout comme pour la mode des sites avec la technologie Flash, les sites au design Parallaxe, ont un début et une fin.

Malheureusement pour leurs clients, le web ne fonctionne pas tout à fait comme ça et un site qui est livré avec un début et une fin, est un site qui va sans cesse reculer dans les résultats de Google, et cela, même s’il arrive à s’y installer, ce qui est loin d‘être évident.

Pourquoi les sites au design parallaxe sont poches en référencement

Comme je vous l’ai mentionné plus haut, ces sites sont de long site d’une page. Il sera donc difficile pour un moteur de recherche d’identifier le ou les mots-clés présents dans cette page. Par ailleurs, les hyperliens qui sont dans cette page auront tous un # pour identifier les sous-sections de la page. Or, Google ne verra pas ces sous-sections comme des pages différentes. D’ailleurs, plus u site est volumineux et donc plus il a de pages, plus il risque d’être pertinent pour des requêtes particulières. Plus il est mis à jour fréquemment, plus il sera aussi pertinent.

Par ailleurs, un positionnement web efficace comporte aussi son lot d’hyperliens externes spécifiques. Plus vous avez d’hyperliens profondément dans le contenu de votre site (un hyperlien vers « site.com/quelquechose par opposition à site.com », plus il sera encore une fois jugé pertinent. Or un site avec seulement une page ne pourra, vous donnez ça.

Tout comme c’était le cas avec les sites en Flash, on pourra vous dire qu’on fait un site miroir de votre design parallaxe afin de satisfaire les besoins des engins de recherches. On pourra aussi y inclure un blogue spécifiquement pour ça. Mais ce seront là des solutions alternatives à un problème évident de manque de visibilité naturelle dans les moteurs de recherches.

Lorsque je rencontre un client qui me dit à quel point le « beau » et le « trendy » est important pour lui et son entreprise, je lui demande tout le temps s’il est déjà allé sur eBay, Amazon, Zappos ou autre et s’il trouve que ces sites sont beaux. Je lui fais remarquer qu’ils sont loin d’être « design et trendy » mais qu’ils rapportent plusieurs milliards de revenus. Alors quel est l’objectif premier d’un site? Plaire à son concepteur ou être trouvé?

Voici ce que Matt Cuts de Google


25 sites utilisant un effet de parallaxe original

Dans Wikipedia Parallax scrolling in web design

Web designers began incorporating parallax scrolling in 2011, using HTML5 and CSS3. Advocates argue it is a simple way to embrace the fluidity of the Web.[16] Proponents use parallax backgrounds as a tool to better engage users and improve the overall experience that a website provides. However, a Purdue University study, published in 2013, revealed the following findings: “… although parallax scrolling enhanced certain aspects of the user experience, it did not necessarily improve the overall user experience”.[17]

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MAJ
On me fait remarquer à quelques endroits, dont dans les commentaires ici, que je confond site Parallaxe et one pager. En fait, la majorité des sites qui utilisent l’effet parallaxe s’adonnent aussi à être des “onepagers”. Mais il est vrai qu’un site puisse utiliser cet effet et avoir aussi plusieurs autres poges indépendantes, un blogue ou plusieurs autres contenus avec des URLs spécifiques. Voilà