Pourquoi avoir une FAQ (questions-réponses) sur votre site?

La formule “question-réponse” aussi communément appelée FAQ (Frequently Asked Questions) est tout à fait appropriée pour augmenter les visites sur votre site web et améliorer votre référencement.

Souvent les gens ne cherchent pas les réponses (puisqu’ils ne les connaissent pas) mais plutôt, il inscrivent leurs questions dans les moteurs de recherches. Si ces questions se retrouvent dans votre site, que la réponse est adéquate et que de surcroit, votre site a mis en place Schema.org qui est un standard de web sémantiques (qui sont des microdonnées permettant aux robots d’indexation de saisir plus précisément le sens des pages indexées) vous serez bien positionné pour améliorer votre pertinence et donc votre référencement. Au préalable, il est intéressant de vérifier avec vos clients quelles questions ils se posent et de valider à l’aide de recherches de mots clés et d’autres techniques d’investigation web, les questions précisent que recherchent les internautes/clients. Vous pourrez donc adéquatement garnir votre FAQ.

De plus, si chacune des questions, sur la page générale de la FAQ, se trouve à être des hyperliens menant à une page avec son URL propre, dont le titre inclut la question et qu’elle se retrouve de surcroit avec un méta-tag H1, vous venez d’être très efficace pour l’un des nombreux critères favorisant votre bon positionnement dans les moteurs de recherche (comme Google par exemple).

Par ailleurs, si vous parlez de votre sujet ou de votre organisation sur les médias sociaux, il est possible qu’on vous pose des questions, dont les questions qui sont déjà dans votre FAQ. Si vous avez déjà plusieurs URLs de ces questions et que vous pouvez répondre succinctement et y ajoutant votre lien menant vers la réponse sur votre site, vous augmenterez aussi le nombre d’hyperliens externes menant vers votre site. Il s’avère que c’est aussi l’un des autres critères importants d’un bon positionnement web, que d’avoir un grand nombre d’hyperliens signifiants, menant vers votre site.

Ces tactiques d’optimisation de la formule « question-réponse » sont donc à même d’améliorer grandement votre présence web.

C-18 et les médias canadiens ou comment se tirer dans le pied

Bloquage des médias par Meta

C’est à la lecture d’un statut LinkedIn du pote Bernard Prince, que j’ai décidé de moi aussi mettre mon grain de sel dans les discussions autour de C-18 et du boycotte que fait déjà Meta (Facebook) et que fera probablement Google de ces mêmes médias. Mais avant de donner mon point de vue, je rappelle que pas plus tard qu’hier, les médias ont décidé de porter plainte au Bureau de la concurrence pour « abus de position dominante » par Facebook. Donc le nerf de la guerre pour les médias est l’accès à la publicité qui leur échappe depuis l’avènement massif des GAFAM.

Comme je l’écrivais en commentaire sous le statut de Bernard Prince :

Les hôteliers ont eu le même problème en l’an 2000 avec Hotels.com, Expedia et autres. Cependant eux se sont réveillés, pas les médias. Tu as tout à fait raison. Et le plus ironique, est que ces mêmes médias vomissent sur Twitter qui leur fait une pub gratis alors qu’ils valorisent à outrance Threads qui appartient à Meta et qu’une fois levée avec la super belle presse gratis de nos médias, feront comme ils ont fait avec Facebook et les banniras pratiquement de l’accueil des usagers…

Bernard a aussi ce commentaire :

Il y a effectivement un beau parallèle à faire! Un autre point à l’origine je pense, c’est la responsabilité de la plateforme face aux commentaires diffamatoires et les risques de poursuite. Au-delà de leur faire un pub gratis, les Meta, Twitter et autres ont aussi servi de sous-traitants pour la gestion des commentaires sur les nouvelles et chroniques.

Établir clairement le rôle et la limite de responsabilité d’un média VS la responsabilité personnelle de chaque internaute serait aussi une bonne façon pour les gouvernements d’aider ce secteur.

En résumé, tout comme la majorité des entreprises, lors de l’apparition de Facebook, tous disaient « Venez nous voir sur Facebook », plutôt que « Venez nous voir sur notre site web ». Cela a permis à Facebook de devenir gratuitement le Béhémoth qu’il est aujourd’hui. En outre, il est faux de dire que Facebook jouit des contenus médiatiques sur sa plate-forme. Il faudrait plutôt dire que Facebook permettait le partage des hyperliens médiatiques sur sa plate-forme, ce qui obligeait les usagers à cliquer et à aller sur les médias pour lire les contenus. Mais depuis ce matin, il ne m’est plus possible de partager ma revue de presse sur Facebook, qu’elle soit canadienne ou même internationale.

À propos de Google

Google a aussi menacé de retirer les hyperliens des médias canadiens de son engin. Mais au moment d’écrire ces lignes, il ne l’a pas encore fait.

Pourquoi Facebook et Google ont raison dans leurs positions?

L’ensemble des entreprises payent pour apparaître dans l’accueil des usagers de Google ou Facebook. Par contre, s’ils y mettent de l’effort, ils pourront apparaître dans les résultats naturels à l’aide des tactiques de référencement (ce qui n’est pas gratuit). En outre, les médias jouissent dans Google d’une visibilité accrue et gratuite dans la section actualité. Je rappelle aussi que ce sont les usagers de Facebook (et non pas Facebook) qui partagent les contenus des médias via des hyperliens. Ça donne donc du trafic au médias. Trafic qui ne leur coûte absolument rien. Il est donc tout à fait compréhensible que Google et Facebook refusent de payer pour du contenu qu’ils ne partagent pas eux-mêmes et qui de plus, permet une visibilité gratuite aux médias. À l’instar de tout autre type d’organisation qui se doit de payer pour une même visibilité. L’argument des médias est donc fallacieux.

Pourquoi les médias ont raison dans leurs positions?

Il est vrai que les médias souffrent énormément de la fuite des capitaux publicitaire de leurs plateformes, vers le numérique et en particulier vers Google et Facebook. Il est aussi vrai que le gouvernement se doit de faire quelque chose. Cependant, je ne crois pas que d’attaquer Facebook et Google soit la bonne solution. D’autant plus que l’offre publicitaire des médias est déficiente depuis de très nombreuses années et que comme le mentionne Bernard Prince, leur incapacité à s’adapter aux changements numériques est de leurs fautes, de leurs très grandes fautes. En outre, si jamais Google et Facebook devaient capituler, les médias ne récolteraient que des miettes. Quelques dizaines de millions au plus. Le réel problème de la fuite des capitaux publicitaire vers le numérique est la grande facilité à acheter de la pub et l’adage selon lequel « on peut réellement tout mesurer sur le web ». Cela était tout à fait vrai à mes débuts, il y a plus de 20 ans. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La pub numérique est maintenant gangrenée de fraude à grande échelle. Plus de 50% des pubs numériques ont des vues et des clics frauduleux. Des milliards de dollars de publicité alimentent les réseaux de trafic d’armes, de pédopornographie, de pornographie, de terrorisme et autres problèmes mondiaux majeurs. Google et Facebook ne sont pas responsables de ça, mais ils n’ont aucun intérêt à se couper de 50% de leurs chiffres d’affaires. Car, plus de 50% de la pub numérique est frauduleuse. C’est le plus grand crime internet non criminalisé. Si les médias traitaient intelligemment de cette question et instruisaient les entreprises de cette réalité, les milliards ainsi détournées reviendraient dans leurs propres coffres. Pour cela, il suffirait que le gouvernement criminalise la fraude publicitaire, qu’il développe les outils et processus pour vérifier ces fraudes et qu’il poursuive les auteurs.

Vous croyez que j’exagère?

Il vous suffit de lire ma référence dans le domaine, le Dr. Augustine Fou de NYU. Depuis plus de 30 ans, il traque les pratiques douteuses des fraudeurs et de l’ANA (Association of national Advertisers), des soi-disant entreprises de détection de « bots » et des agences qui joueront les vierges offensées si la question leur est soulevée.

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L’innovation numérique en entreprise : l’expérience utilisateur au cœur des priorités

Article commandité

Plus que jamais, les technologies sont omniprésentes dans notre quotidien. Nous sommes branchés, connectés, interconnectés, et la plupart de nos activités, même les plus banales, font désormais appel au numérique. Il en est de même pour les entreprises. Pour se démarquer, elles doivent s’adapter et innover en développant des solutions numériques qui bonifient l’expérience client. Des produits et services qui répondent aux besoins des utilisateurs doivent être offerts en toutes circonstances, sur différentes plateformes et au moment le plus opportun.

Innovation, adaptation et personnalisation
Pour atteindre leurs objectifs commerciaux, les entreprises n’ont d’autre choix que d’intégrer de nouveaux outils. Or, la mise en place de ces outils entraîne des changements majeurs tant sur le plan des technologies que des processus de travail et de collaboration.

Si la pandémie a démontré l’importance des solutions numériques et en a accéléré la mise en place, elle a aussi illustré que toutes les entreprises avaient avantage à les adopter. À terme, malgré les efforts requis pour modifier leurs pratiques internes et renouveler les relations avec leur clientèle, elles y gagnent une meilleure connaissance de leurs clients ainsi qu’un engagement accru des employés et des partenaires.

En plus d’avoir transformé nos façons de communiquer et de commercer, la technologie permet aujourd’hui d’offrir une expérience utilisateur plus rapide et mieux adaptée grâce à des procédés numériques assurant l’automatisation des processus, la personnalisation des contenus et la sécurisation des informations personnelles.

Un impératif : améliorer l’expérience utilisateur
On sait que les internautes quittent rapidement un site, une application ou toute autre plateforme numérique si l’expérience s’avère laborieuse, sans compter qu’ils partagent souvent cette impression négative avec leur entourage. Les clients connectés ont des attentes élevées et l’expérience client qui leur est proposée doit répondre à leurs besoins. Ces attentes sont d’ailleurs croissantes, c’est-à-dire qu’un client qui apprécie l’expérience utilisateur proposée par une entreprise pour un produit ou un service ne s’attend pas à moins lors des fois suivantes. Les entreprises doivent donc sans cesse redoubler d’efforts pour optimiser leurs pratiques et répondre aux attentes de leurs clients!

L’optimisation de l’expérience utilisateur se révèle le meilleur moyen de retenir les visiteurs et de les convertir en clients. Comprendre, voire anticiper les attentes est dorénavant nécessaire pour accéder à de nouveaux marchés et répondre à des besoins en constante évolution. En plus de contribuer au développement et à la rétention de la clientèle, d’améliorer la crédibilité de l’entreprise et d’optimiser le référencement naturel du site, une expérience utilisateur positive peut réduire les coûts d’acquisition et d’assistance de la clientèle.

Par ailleurs, pour s’assurer de bonnes conversions et ainsi atteindre leurs objectifs, il importe que les entreprises soient proactives, qu’elles s’appuient sur des données pertinentes, fiables et de qualité, et qu’elles suivent de près l’évolution de l’expérience client afin de l’améliorer en continu. Mais pour cela, il faut d’abord avoir amorcé sa démarche d’optimisation numérique.

L’innovation numérique dans le domaine de l’assurance
Malgré la persistance des canaux traditionnels dans le processus de vente d’assurance, une vague d’innovations est en voie de métamorphoser l’industrie généralement plus traditionnelle de l’assurance. La plupart des assureurs ont compris l’importance d’adopter de nouvelles stratégies afin de saisir les opportunités du virage numérique. Ainsi, ils envisagent de nouvelles approches pour développer la relation client et rendre les processus d’achat plus attrayants, efficaces et sécuritaires.

Les nouvelles applications numériques permettent de diversifier le développement de produits, de multiplier les expériences numériques et de transformer diverses fonctions entrepreneuriales. En plus de faire évoluer les assureurs vers un modèle opérationnel plus profitable, de nouvelles technologies permettent même d’envisager le passage d’un mode de vente de produits à un service global de sécurité financière, voire à une approche de gestion des risques grâce à la domotique et à la télématique.

Comme en témoigne une étude réalisée par le CEFRIO, ces nouveaux modèles d’affaires offrent de nombreux avantages pour les entreprises dans un marché confronté à la concurrence croissante de joueurs non traditionnels. Intégrer une approche continue d’innovation numérique profite à tous, assureurs, assurés, employés et partenaires.

L’innovation numérique chez Promutuel Assurance
Promutuel Assurance a déjà largement renouvelé son approche utilisateur en mettant en place un espace client qui regroupe tous les documents d’assurance d’un membre-assuré dans un lieu unique et simple d’accès en plus de permettre les réclamations en ligne. D’entrée de jeu, le site Internet donne un aperçu général clair de l’offre de services et met de l’avant des outils pour demander des soumissions, quel que soit le produit recherché. Promutuel Assurance est également un des premiers assureurs au Québec à avoir lancé le certificat d’assurance numérique pour l’auto, qui vous permet d’avoir en version électronique toutes les informations d’assurance de votre véhicule sur votre téléphone intelligent. Enfin, l’assureur propose l’application mobile APPI, un programme unique de récompenses basé sur l’analyse de la conduite du client.

Par son approche utilisateur innovante, Promutuel Assurance s’assure d’être présent partout, en tout temps pour répondre aux besoins personnalisés de ses clientèles.

Article rédigé en collaboration avec Promutuel Assurance

Comment doubler son chiffre d’affaires en moins d’un an grâce au web?

C’est la très inspirante histoire d’un jeune entrepreneur (client) Sébastien Choquette et de ses entreprises de béton, Choquetteetfils.com et Blocsdebeton.com. Les résultats qu’il a obtenus sont très certainement spectaculaires. Ils sont cependant la résultante de deux facteurs. Un environnement compétitif numérique très favorable et un travail d’analyse et de mise en place d’une stratégie de contenus méthodique et soutenu. Sébastien a très rapidement compris qu’il était important d’identifier ce que ses clients cherchaient sur le web. Il a donc commandé une analyse de l’environnement numérique dans lequel il évoluait et une analyse des mots-clés utilisés par ses clients. , Il fallait par la suite construire un site web qui répondrait spécifiquement à ces besoins exprimés par les recherches sur les moteurs.

Il a mis de nombreux efforts à monter ces sites, s’est servi de l’analyse de mots-clés pour stimuler une campagne Addwords performante pour l’attraction client à court terme, afin de pouvoir compter sur le référencement naturel, une fois que le site deviendrait performant. Il a aussi investi les médias sociaux pour commencer à parler des gens qui travaillent dans l’entreprise, des réalités de la construction routière et de son industrie et a mis plus « d’humanité » dans ses présences sociales, plutôt que strictement faire du narcissisme corporatif. Il a ainsi augmenté sensiblement son taux d’engagement et été à même de rediriger les internautes vers son site web.

Voici ce qu’il avait à dire :

Comment propulser son chiffre d’affaires en choisissant la bonne personne?

En 2021, j’ai voulu comme beaucoup de gens revoir ma stratégie de Marketing afin d’élever mon entreprise à un prochain niveau. Croyez-moi, trouver la bonne personne n’a pas été simple. Des experts en marketing web il y en a énormément et tous se vante haut et fort d’être les meilleurs. Le sont-ils tous vraiment? Moi sincèrement je crois que non. Certains me parlaient que le plus important était de faire le plus beau site web visuellement parlant, de faire de belles photos avec des photographes professionnels, etc. Il est certain que ça ne peut pas nuire, mais ce n’est pas la clef du succès. J’ai eu la chance de rencontrer Michelle Blanc d’Analyweb. Elle a su me faire voir les choses différemment. Elle m’a fait comprendre qu’à la base, un site web c’est comme une autoroute et ce qu’on veut y faire, c’est de générer du trafic. Ce trafic doit suivre un entonnoir, exactement comme ce que les cônes orange font dans la ville de Montréal. Nous voulons créer un bouchon de circulation pour permettre à notre site web d’accueillir des gens qui auront le temps de bien lire les panneaux publicitaires aux abords de la route (ceci est de toute évidence une métaphore). Elle m’a fait comprendre que sur le web, les mots sont plus importants que les images. Tout simplement parce que sur Google, ce que vous recherchez, ce sont des mots. Ça ne vous empêche pas d’avoir de belles images. Mais ce seront les mots qui vous y amèneront. Si vous comprenez ça, vous comprenez tout. Michelle a su, en bon québécois, me donner un bon coup de pied au cul et me motiver à écrire. Il n’y a pas de magie. C’est énormément de travail et de textes rédigés par moi-même, afin d’avoir un bon contenu textuel sur mon site Web www.choquetteetfils.com. Après tout, qui connaît mieux mon entreprise que moi-même? Je vois également les réseaux sociaux différemment. Nous devons y avoir une présence très forte. La nouvelle génération carbure avec Facebook, Instagram, Twitter, LinkedIn, etc.

J’apprends avec Michelle Blanc comment écrire avec une plume de type marketing de contenu. Depuis 12 mois déjà que je travaille avec elle et je n’ai que des résultats positifs. Mon chiffre d’affaires a doublé, j’ai 90 nouveaux clients qui s’ajoutent à mes 315 actuels et l’achalandage sur mes sites ne cesse de s’accentuer (je dois par contre observer que ces résultats exceptionnels sont aussi tributaires de l’environnement du marché numérique très propice, dans lequel j’évolue. Comme me l’a souligné madame Blanc). Je réalise que plus on y met du jus de bras, plus les résultats sont exponentiels.

Je conseille fortement Michelle Blanc pour vos divers projets de marketing numérique. Elle saura bien vous conseiller et vous aidez à croitre de façon rapide. Mais vous devrez y mettre les efforts guidés par cette « réelle » experte.
Vous devez voir ses services comme un investissement, rien de moins.

MERCI Michelle de ton aide précieuse et du plaisir que j’ai à apprendre de toi, à mettre en pratique tes enseignements et à récolter les bénéfices tangibles de mes efforts.

Niche Scribes, ou comment pérenniser vos dépenses publicitaires

Depuis deux ans, avec une soixantaine de rédacteurs indépendants, NicheScribes rédige des billets de blogues pour les entreprises, avec des contrats annuels. Voici l’offre de service de marketing de contenu de NicheScribes. Un service clé en main permettant de pérenniser vos investissements publicitaires.


Pitch NicheScribes
1. Par Michelle Blanc M.Sc. David Martin OFFRE DE SERVICE MARKETING DE CONTENU
2. SOMMAIRE Les statistiques Contextes d’utilisation ROI Risques SEO vs SEM Problématique des ressources Notre méthode Notre offre
3. Source : http://www.emarketer.com/Article.aspx?R=1008816&ecid=a6506033675d47f881651943c21c5ed4
4. DURÉE DE VIE D’UN CONTENU Source : https://socialmediaonlineclasses.com/21-ways-to-extend-the-life-of-your-content-infographic
5. CONTEXTE D’UTILISATION EN ENTREPRISE (EXTERNE) Les blogues externes sont principalement utilisés pour RP/marketing (61%) Et pour partager la vision des dirigeants (61%). Plus de 40% ont rapporté avoir un blogue du CEO et 35% utilisent les blogues pour les communications régulières avec les clients et partenaires Source : Blogging for enterprise, a GuideWire Group market cycle survey, oct. 2005
6. BÉNÉFICES DES BLOGUES EXTERNES Améliore la reconnaissance de la marque (78%) et Les communications externes (78%), Un véhicule pour recueillir les commentaires clients (66%). Quelques répondants s’attendent à générer des revenus (20%), Mais plusieurs s’attendent à améliorer leur référencement (58%). Source : Blogging for enterprise, a GuideWire Group market cycle survey, oct. 2005
7. ROI DU BLOGUE Source : https://www.michelleblanc.com/2007/01/25/calcul-roi-blogues-affaires/ et http://www.forrester.com/Research/Document/Excerpt/0,7211,41064,00.html
8. Source : hhttps://contentmarketinginstitute.com/2016/11/content-marketing-rising-stock/
9. Source: https://www.michelleblanc.com/2012/04/24/gerer-commentaires-negatifs-facebook/
10. AVANTAGES SEO Pérennité de l’investissement SEM Résultats à court terme
11. DÉSAVANTAGES SEO Résultats perceptibles à moyen terme Rédiger du contenu de qualité prend du temps Difficile de rédiger du contenu intéressant et en même temps performant pour le web Difficile d’éviter l’appropriation de ressources à l’interne SEM Enchères, contrôle des coûts difficile sur de plus en plus de mots Plus un secteur ou mot-clé est compétitif, plus il est dispendieux pour avoir un impact de conversion décroissant Comme dans la publicité traditionnelle, dès qu’on cesse d’investir, on disparait
12. PÉRENNITÉ DE L’INVESTISSEMENT Le marketing de contenu est très avantageux parce qu’il offre contrairement au SEM une pérennité de l’investissement. En effet, comme le contenu reste éternellement disponible sur le web, tout nouveau contenu ajouté s’additionne au contenu précédent, ce qui contribue à multiplier sa valeur et les résultats en autant que vous vous soyez doté d’une stratégie solide et que vous soyez réaliste sur les résultats et le temps nécessaire pour atteindre des résultats probants. Le marketing de contenu valorise l’attraction client, plutôt que la réclame.
13. PROBLÉMATIQUE DE L’APPROPRIATION DES RESSOURCES À L’INTERNE Le problème pour les entreprises qui réalisent l’avantage du marketing de contenu est le manque de temps. En effet, produire du contenu prend du temps. Et souvent engager un employé pour rédiger du contenu semble la solution idéale. Notre expérience nous démontre que dans la majorité des cas au bout de quelques mois à cause de l’accaparement des ressources, votre nouvel employé est bien plus sollicité par l’entreprise pour d’autres tâches connexes que pour la rédaction. L’investissement dans une ressource qui devait à elle seule générer deux à quatre billets de blogue de qualité par semaine n’a de temps que pour en rédiger 3-4 par mois et de moindre qualité. De plus, les employés qui ont les connaissances et qui pourraient rédiger des articles pertinents, ont rarement le temps, l’intérêt ou l’expérience de rédaction pour faire ce travail
14. NOTRE MÉTHODE
15. VOUS RESTEZ EN CONTRÔLE Vous avez décidé d’externaliser la production de votre marketing de contenu. Mais soyez assuré que vous resterez aux commandes à toutes les étapes du processus et ce pour toute la durée du contrat. Le processus que nous utilisons vous permet de rester impliqué, de la planification jusqu’au contrôle final en y consacrant un minimum de temps. Vous aurez un éditeur qui sera dédié à votre entreprise et qui coordonnera avec vous et vos employés toutes les étapes, communications, planification des rencontres ou autres sujets d’intérêt. Ce point de contact unique est important pour nous. Il évite à nos client de perdre du temps ou des attentes inutiles. Voici donc en détail les étapes du processus de production de la planification jusqu’à la mise en ligne des billets :
16. DÉTERMINATION DES OBJECTIFS DU CLIENT POUR LE BLOGUE (MARKETING ET/OU RELATIONS PUBLIQUES) Nous prenons avec vous le temps de bien cerner vos objectifs de communication avec vos clients actuels, les clients potentiels, le public en général et dans certains cas les médias. Nous pouvons aussi vous conseiller pour mieux identifier vos objectifs primaires et secondaires.
17. ANALYSE DES MOTS CLÉS ET DES SUJETS À PUBLIER POUR LA DURÉE DU CONTRAT C’est l’analyse des mots clés qui nous aidera à élaborer une stratégie éditoriale et qui permettra de valoriser certains des sujets à aborder tout au long de l’année.
18. DÉVELOPPEMENT DE LA LIGNE ÉDITORIALE À ÊTRE APPROUVÉE PAR LE CLIENT La ligne éditoriale permettra de déterminer les types de contenu, le ton et les valeurs que nous utiliserons au travers les différents contenus que nous rédigerons.
19. PRÉPARATION POUR ADOPTION PAR LE CLIENT D’UN CALENDRIER DE PRODUCTION DES ARTICLES DE BLOGUE La préparation du calendrier de production est une étape importante. En effet, c’est là que nous nous assurons que les contenus répondent aux moments importants de votre organisation et la publication des articles suit une logique que respecte vos objectifs communicationnels, la hiérarchie de l’importance des mots clés qui a déjà été déterminée et permet d’atteindre les objectifs.
20. RECHERCHE DE CONTENU DANS L’INTRANET DU CLIENT Votre intranet et le contenu de vos serveurs sont remplis d’informations pertinentes pour vos clients, vos partenaires, vos clients potentiels et le public en général. Malheureusement, ce n’est accessible qu’à l’interne. Nos recherchistes vont parcourir votre intranet et les différentes informations corporatives, à la recherche de contenu à être utilisé comme base de travail pour nos rédacteurs. Lorsque c’est possible, nous publierons le billet en reconnaissant la paternité du contenu à l’employé qui a produit ce contenu dans l’intranet. Favoriser l’engagement de vos employés dans ce processus est important pour nous.
21. PRODUCTION DE X BILLETS DE BLOGUES DE 500 MOTS EN MOYENNE (LA LONGUEUR DES BILLETS POURRA VARIER DE 250 À 2000 MOTS POUR UNE MOYENNE SUR LA TOTALITÉ DU PRÉSENT CONTRAT DE 500 MOTS PAR BILLET) Nos rédacteurs web vont rédiger des articles pertinents qui intéresserons vos lecteurs cibles qui auront été identifiés lors de l’étape de détermination des objectifs. Nous nous assurerons que vos objectifs, les mots clés identifiés, la ligne éditoriale et le calendrier de production seront respectés par nos rédacteurs web. De plus, nous préférons utiliser plusieurs rédacteurs différents pour chacun de nos clients pour s’assurer d’une diversité de ton et de style d’écriture. Cette diversité est importante pour maintenir l’intérêt des lecteurs d’un article à l’autre. Elle favorise la fidélisation de ceux-ci.
22. INTERVIEW POUR CERTAINS CONTENUS D’EMPLOYÉS, FOURNISSEURS, PARTENAIRES ET/OU CLIENTS PAR NOS RECHERCHISTES POUR LA RÉDACTION D’ARTICLES DE BLOGUES. LA SIGNATURE DU BLOGUE SERA CELLE DE LA PERSONNE INTERVIEWÉE. Comme votre intranet, vos employés, vos fournisseurs et souvent vos clients sont une excellente source d’informations pertinentes à être publiée. Nos rédacteurs-recherchistes interview ceux-ci par un simple appel téléphonique déjà planifié. Ensuite, ils utilisent cette interview, les mots clés et la ligne éditoriale pour rédiger un article. Cet article est ensuite envoyé à la personne interviewée pour approbation. Cette approbation est importante puisque l’article sera signé par la personne interviewée. Cette stratégie favorise le repartage des articles sur les réseaux sociaux par la personne interviewée et son propre réseau de contacts. L’objectif est ici d’élargir votre auditoire et de personnaliser et d’humaniser votre organisation.
23. VALIDATION DU CONTENU PAR LE CLIENT C’est la dernière étape avant la mise en ligne. L’éditeur vous contactera dès les premières semaines pour parcourir avec vous les articles ainsi proposés et identifier avec vous les sujets utilisés, mots clés, ligne éditoriale, pertinence du propos, choix des photos et/ou tout autres sujets. Il s’assurera de faire effectuer des modifications si nécessaire et de répondre à toutes vos questions et prendra note de vos commentaires pour la production des futurs billets.
24. MISE EN LIGNE DU CONTENU Lorsque la version finale a été approuvée par le client. Le billet est mis en ligne par celui-ci ou par nous, selon l’entente
25. RENCONTRES DE SUIVI AVEC LE CLIENT Une rencontre de suivi téléphonique ou réunion selon le cas sera planifiée après le premier mois du contrat puis aux trois mois pour s’assurer de la satisfaction du client, discuter avec lui de la progression du projet et s’il y a lieu, adapter la stratégie pour maximiser le retour sur investissement. C’est aussi lors de ces rencontres que nous pourrons adapter la stratégie à de nouveaux services ou produits offerts par l’entreprise pendant la durée du contrat.
26. UN CHOIX GAGNANT Contrôle tout au long du processus Des objectifs clairs et une ligne éditoriale respectés à la lettre Le respect du budget et des délais de production Toute une équipe de professionnels avec un point de contact unique qui communique avec vous régulièrement et est disponible pour répondre à vos questions Investissez dans votre propre média et laissez-nous raconter les histoires qui vont captiver votre auditoire et augmenter votre notoriété. Un investissement durable et rentable.
27. NOTRE OFFRE
28. DES OFFRES TARIFAIRES ADAPTÉES À VOTRE ENTREPRISEGrille tarifaire PLAN 1 PLAN 2 PLAN 3 PLAN 4 SERVICES : √ √ √ √ Détermination des objectifs Avec client Avec client Avec client Avec client Analyse des mots clés et des sujets à publier Inclus Inclus Inclus Inclus Développement de la ligne éditoriale à être approuvée par le client Inclus Inclus Inclus Inclus Préparation pour adoption par le client d’un calendrier de production des articles de blogue Inclus Inclus Inclus Inclus Recherche de contenu dans l’intranet du client √ √ √ √ Interview pour certains contenus 5 12 20 35 Production d’articles de blogues de 500 mots en moyenne 50 120 194 300 Nombre de mots 25 000 60 000 97 000 150 000 Nombre de photos inclus 15 40 75 150 Validation du contenu par le client Inclus Inclus Inclus Inclus Mise en page des billets Inclus Inclus Inclus Inclus Mise en ligne du contenu Exclus Exclus Exclus Exclus Prix 30 000$ 60 000$ 90 000$ 120 000$

Florilège de la diversité des questions pour lesquelles j’ai eu des mandats ou les problèmes que je règle avec mon expertise

Lors de mes études de maîtrise en commerce électronique à HEC Montréal, notre formation se faisait dans les trois grandes écoles que sont HEC Montréal, le DIRO (Département d’informatique et recherche opérationnelle) et la faculté de droit de l’UdeM. Chacun de nos cours, que ce soit, l’analyse stratégique, le marketing, l’économie, le droit des technologies, le développement logiciel ou autre, était strictement dirigé vers le web, le numérique ou le commerce en ligne. Mon mémoire était d’ailleurs sur le développement logiciel. L’idée des créateurs de cette maîtrise était donc de développer une vision multidisciplinaire des enjeux numériques, chez chacun des futurs diplômés. Ajoutez à ça près de 20 ans de consultation dans une grande variété de secteurs économiques et de grosseurs d’entreprises et vous avez un florilège particulièrement riche d’apprentissages, d’observation et d’expérience acquise par une seule personne. C’est pourquoi il m’est toujours difficile d’expliquer aux gens ce que je fais exactement. La variété est si large et tout à fait complémentaire à la fois, qu’elle pourrait se résumer à: du conseil et des conférences de gestion du web, des stratégies internet, du marketing et du commerce en ligne. Mais même cette définition est très réductrice. C’est pourquoi je vous présente ici quelques-unes des très nombreuses questions auxquelles j’ai répondu dans ma pratique.

-Comment puis-je vendre en ligne?
-Quelle technologie dois-je utiliser pour vendre en ligne?
-Quelle technologie dois-je utiliser pour faire mon site web?
-Comment mon modèle d’affaires va-t-il changer à cause du Web?
-Comment augmenter mes revenus en ligne?
-Qu’est-ce que le web sémantique?
-Je veux développer une nouvelle technologie de facturation complexe, comment dois-je faire?
-Quelqu’un de notre organisation s’est fait accuser en ligne de harcèlement sexuel. Comment devons-nous gérer ça?
-Comment une municipalité devrait-elle être en ligne?
-Que devrais faire mon hôtel, restaurant, compagnie aérienne, association touristique en ligne?
-Quels sont les réussites et les échecs de votation électronique dans le monde et comment pourrions-nous développer ça?
-Devrais-je développer une application mobile?
-Comment faire le marketing de mon application sur Google App Store et l’App Store?
-Je n’aime pas vraiment écrire, comment trouvé quelqu’un qui le fera pour moi?
-J’aimerais me présente aux élections. Que dois-je faire ne ligne?
-Quelle stratégie numérique mon parti devrait mettre en place?
-Quels sont les mots-clés importants pour mon entreprise? En mettre quelques-uns sur mon site web est-ce suffisant pour que je sorte en première position sur Google?
-Que dois-je inclure dans mon appel d’offres pour trouver un fournisseur web?
-Quelle fonctionnalité dois-je considérer pour mon prochain site web?
-Qu’est-ce que le marketing de contenus et comment dois-je m’y prendre?
-Comment les municipalités et les élus politiques peuvent-ils gérer des crises sur les médias sociaux?
-Comment les forces de l’ordre peuvent-elles utiliser les médias sociaux dans un processus d’enquête ou pour dialoguer avec la population?
-Comment les médias sociaux peuvent-ils être utiles en psychiatrie ?
-Comment puis-je augmenter le nombre d’abonnés de ma page Facebook?
-Qu’est-ce qu’une ligne éditoriale et comment en faire une?
-Comment le BI peut-il être utile pour les médias sociaux?
-Comment peut-on utiliser le blogue comme intranet?
-Quels sont les profils sociodémographiques des usagers médias sociaux?
-Comment écrire pour le web?
-Comment les médias sociaux affectent-ils les médias traditionnels?
-Qui doit s’occuper de ma page Facebook dans mon organisation?
-Comment recruter en ligne?
-Est-ce que les médias sociaux peuvent avoir une utilité dans le secteur de l’assurance et des services financiers?
Qu’est-ce que le référencement et combien ça coûte?
-Est-ce une bonne idée d’acheter de la pub sur Facebook?
-Est-ce important d’être sur Google mon entreprise et si oui, que doit-on y faire?
-Qu’est-ce que mon organisation doit faire en ligne si nous n’avons rien à vendre?
-Je me fais harceler/menacer en ligne, comment faire une plainte et faire condamner mon agresseur?
-Pouvez-vous parler de mon entreprise sur les médias sociaux et combien ça coûte?
-Comment faire un sondage auprès de nos clients?
-Comment faire une politique éditoriale des médias sociaux?
-Sur quels médias sociaux devrais=je mettre mes efforts?
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-Pourquoi dois-je avoir une politique de vie privée?
-Les infolettres est-ce encore pertinent?
-Pourquoi et comment faire un blogue d’affaires?
-Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir de positif avec les gens qui critiquent mon entreprise en ligne?
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-Si je suis sur Facebook, ai-je besoin d’avoir une autre présence web?
-Comment se fait l’acquisition de client sur le Web?
-Est-ce possible de publier sur votre blogue?
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-J’ai déjà payé $50 000 pour ma présence web et le téléphone ne sonne pas, pourquoi?
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-Comment vendre l’importance des médias sociaux à mon président?
-De quoi devrait-on parler sur les médias sociaux?
-Comment faire une politique d’utilisation du web et des médias sociaux pour les employés?
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-Comment rejoindre les jeunes en ligne?
– Mes vidéos YouTube n’ont presque pas de vue, que faire?
-Quelles sont les notions d’économie numérique qui sont importantes pour mon organisation?
– Le marketing de contenus est-ce pour le B2C ou le B2B?
-Qu’est-ce que le « social »?
-Que pensez-vous des répertoires et de l’achat local?
-Quelle est la différence entre le marketing des médias sociaux et le marketing de contenus?
-Quels sont les types de mots-clés que vous devez rechercher dans une stratégie de référencement?
-Comment le secteur des résidences pour personnes âgées doit-il utiliser le web et les médias sociaux?
-Dois-je investir dans le remarketing et le retargeting?
-J’ai l’impression que ma publicité numérique n’attire que des robots, suis-je parano?
-Comment vendre en ligne dans un contexte B2B
-Je suis victime de sextorsion. Que puis-je faire?

La pensée magique du commerce électronique

Je discutais avec un pote de longue date qui comme moi, est impliqué dans le Web, de ces entrepreneurs qui veulent un site transactionnel. La Covid-19 a poussé plusieurs commerces à tout d’un coup, vouloir faire le saut sur le Web. Il leur demande combien ils ont de produit, de photos, de catégories, de texte et autres questions de base. La plupart du temps, ils n’ont rien. Ils veulent vendre en ligne, mais n’y ont pas encore vraiment pensé. De plus, ils veulent ça pour presque rien. Ce genre de demandes pullule.

Ce qui n’aide pas est qu’ils se font dire qu’aller sur le web est facile (ce qui est relativement vrai), qu’ils ont l’habitude d’aller sur Facebook et que de faire un site de commerce en ligne ça ne doit pas être si compliqué puisqu’il pullule des offres de site web gratuit.

La réalité est très différente. D’abord, le coût d’un site web n’est que le début de l’aventure et de l’investissement. Il faudra par la suite le garnir et le faire vivre. C’est-à-dire de produire des contenus sur une base régulière.

Oui il existe du gratuit pour le commerce en ligne

J’ai déjà parlé de Google Mon entreprise qui est gratuit et que toute entreprise, quelle qu’elle soit, devrait utiliser. Surtout que sa présence Google mon Entreprise est plus performante que les Pages Jaunes qui sont payantes. Vous pourriez aussi décider d’aller vendre sur Amazon, Etsy ou d’utiliser Shopify. Cependant, ils sont loin d’être gratuits. Vous paierez à la transaction et en fonction de votre volume de vente, ça peut représenter un joli magot. En outre, vous ne serez pas chez vous et ne contrôlerez pas parfaitement votre environnement. Et quoi qu’il en soit, d’être sur ces plates-formes va requérir aussi un travail régulier de mise en ligne de vos contenus. On n’en sort pas. Vous pourriez décider de choisir un Faites-le vous même. J’ai déjà parlé de ces choix dans mes billets Sur le Web, la magie et les miracles, ça n’existe pas, Les problèmes avec Wix, Web.com, Votresite.ca Liki.com et autres faites-le vous-même et Votresite.ca et François Charron vs Michelle Blanc. À la lecture de ces billets, il vous apparaîtra évident qu’une saine présence web et transactionnelle ne passe pas nécessairement par ce genre de baguette magique.

La réalité du commerce en ligne

Comme vous êtes une personne d’affaires, vous savez déjà que votre commerce de détail « brique et mortier » comporte son lot d’investissement en temps, effort et argent. Vous devez payer votre loyer (ou vous faire construire), le meubler, acquérir un inventaire, l’entreposer, décorer votre commerce, faire la publicité et payer les employés qui y seront durant vos heures d’ouverture. Faire du commerce en ligne est sensiblement la même chose. Si vous payez un loyer, ce sera le centre d’achat qui fera la promotion de l’emplacement. Si vous avez pignon sur rue, ce sera à vous de faire cette promotion. Il est évident que dans un centre d’achat et sur une rue commerciale, il y aura des passants. C’est loin d’être évident sur le Web étant donné les milliards de pages qui s’y trouvent. Vous devrez donc travailler à acquérir « ses passants virtuels » avec ce que l’on nomme le référencement et les médias sociaux. J’écrivais d’ailleurs que ce travail de référencement est une activité régulière et capitale d’une présence en ligne dans mon billet Le référencement, c’est comme le jardinage.

Des employés

Dans votre magasin « physique », vous avez des employés qui sont des vendeurs, gérants, étalagistes, employés d’entretien, manutentionnaires et autres. Vous avez peut-être aussi travaillé avec des architectes, décorateurs, livreurs, spécialiste de l’approvisionnement, marketeurs, gestionnaires, éclairagistes, paysagistes, comptables, avocats et une foule d’autres professionnels. En outre, vous deviez faire de la publicité, participer à des salons, chambres de commerces et congrès divers. Sur le Web, c’est sensiblement la même chose. Ce n’est pas parce que le web permet la dématérialisation que tous ces spécialistes indispensables à un commerce physique à succès n’existent plus pour le virtuel. Ils doivent aussi prendre part à vos activités numériques. Il est évident que dans bien des cas, vos employés actuels pourront ajouter des activités numériques à leurs activités traditionnelles. Cependant, ça devra faire partie de leurs descriptions de tâche, être payé pour ça et le temps qu’ils investiront dans le numérique ne sera pas disponible pour vos activités courantes.

Des chiffres

Si vos coûts d‘opération sont actuellement de disons $500K pour faire fonctionner votre commerce de détail physique, comment pourraient-ils n’être que de 5, 10 ou 20K pour faire fonctionner un commerce en ligne? C’est entre autres là que la pensée magique ne fonctionne pas. J’ai déjà dévoilé que la première plate-forme de vente en ligne d’IGA avait coûté $300K et qu’avant la première vente en ligne, ils avaient eu pour $800K de retombées médiatiques. C’était il y a des années et ce genre de stunt de relations publiques est très difficile maintenant, l’effet d’être le premier, étant passé. Par contre vous serez sans doute surpris d’apprendre que IGA en ligne vend ce que deux magasins physiques vendent (et ce avant la pandémie). En outre, il avait été démontré que les acheteurs de IGA en ligne étaient principalement des habitués d’autres bannières qui allaient faire leurs commandes en ligne pour leur chalet et qu’ils passaient prendre leur commande en arrivant à destination. J’ai aussi un client dont la présence médias sociaux se résume à Instagram et il vend pour plus de 5M$ dans 40 pays. J’ai un autre client qui lors de sa première année en ligne sur le marché américain, pensait vendre ses produits d’épices et d’herbes au gramme et qui finalement vend plutôt au kilo. Disons que j,aurais bien aimé être payé à pourcentage plutôt qu’à mon taux horaire pour l’avoir aider 🙂

Quoi qu’il en soit, le message est que oui il y a de tes nombreuses histoires à succès dans les commerces de détail (et de gros) sur le web, mais que ces histoires viennent avec bien du travail et avec les ressources financières, humaines, stratégiques et de créativité qui sont indispensable à la réussite. Si vous pensez aller en ligne parce que vous n’avez pas le choix, pensez-y encore et prenez le temps de planifier , de budgétiser, de travailler votre concept et soyez conscient que d’aller en ligne, c’est comme si vous décidiez d’ouvrir une deuxième succursale physique…

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Commerce de détail en ligne

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Slow Content ou comment revenir au Web d’antan qui était plus positif pour tous

Lorsque j’ai commencé ma pratique, le web était loin d’être celui que nous connaissons aujourd’hui. Facebook n’existait pas encore et son prédécesseur MySpace (et avant lu Friendster) n’avait pas la portée que Facebook a aujourd’hui et ses contenus étaient surtout musicaux et les contenus textuels étaient plus étoffés et consistants. C’était aussi les belles années des blogues. Google valorisait les contenus qui avaient plusieurs hyperliens externes, ce qui était une sorte de validation externe de la qualité des contenus. Nous parlions alors (terme de Martin Lessard) de l’effet de percolation de la qualité. En 2005 il écrivait :

1. (to verify the accuracy of the information) Les carnets sont reconnus pour citer leurs sources.

2. (a real organization) Le carnet est géré par une personne qui est généralement identifiable.

3. (Highlight the expertise) Le carnet de qualité regroupe des billets sur des sujets que l’auteur maîtrise.

4. (Show honest and trustworthy people) L’auteur signe chacun de ses billets.

5. (Make it easy to contact you) L’auteur laisse souvent son courriel ou permet les commentaires sur ses billets.

6. (Design your site) Les blogues, plutôt simple dans leur design, a donné lieu a une nouvelle esthétique.

7. (Make your site easy to use) Dur d’être plus simple qu’un carnet, avec un système d’archive par date, et les billets à la queu-leu-leu sur une même page.

8. (Update your site’s content often). La fréquence de mise à jour raprochée est une condition sine qua non d’un carnet.

9. (restraint with any promotional content) L’écrasante majorité des bloggeurs ne pourront / voudront pas avoir de la pub.

10. (Avoid errors of all types) Ça, par contre, je ne sais pas…

Peut-être avons nous là un mobile supplémentaire de penser que l’engouement pour les blogues ne soient pas une mode passagère mais bien une composante structurelle non conjoncturelle.

Par effet de percolation, les blogs, en ayant les attributs listés ici, ont acquis, par eux même, cette crédibilité car ils correspondaient à l’attente du public.

Il existait donc une certaine forme de standard de qualité des contenus sur le web. Puis, nous avons connu l’explosion sans précédent des contenus et des usagers. Avec le Web 2.0, tout le monde pouvait maintenant partager des contenus et participer au Web. J’étais la première à en être enthousiasmée. Cependant, au fil des ans, les contenus se sont vus raccourcir en termes de longueur et s’appauvrir en qualité. La « percolation de la qualité » dont parlait Martin s’est amoindrie très sensiblement. À tel point que maintenant, l’opinion d’un prix Nobel est l’équivalent de celle d’un quidam. Même le sacro-saint establishment journalistique est désormais qualifié de « fake news » et étant donné les difficultés de financement des médias, le journalisme d’enquête, qui a toujours été le socle de la crédibilité journalistique, n’est plus que l’ombre de lui-même.

Comme pour le fast-food, nous avons maintenant les snack-content, ces contenus brefs à digérer rapidement. L’analyse rigoureuse, la citation des sources, la nuance, les démonstrations complexes, l’identification des auteurs et l’absence de publicité sont désormais pratiquement inexistants et plus difficilement mises en pratique. Cet âge d’or des contenus a disparu. Mais, comme c’est souvent le cas des phénomènes sociaux, le balancier pourrait bien favoriser un retour en arrière. C’est qu’un mouvement de Slow content fait son apparition.

Qu’est-ce que le Slow content?

Le slow content est une pratique de marketing de contenus valorisant les textes plus longs, plus fouillés et avec une fréquence de publication moins frénétique. C’est une réaction aux microcontenus des médias sociaux. D’ailleurs, lorsque je donne des ateliers à propos des médias sociaux et du Web, on me demande toujours qu’elle est la longueur idéale d’un blogue. Ma réponse est toujours que c’est la longueur qui est nécessaire à la pertinence. Ça peut être de 200, 500 ou même 300 mots. Dans mon propre blogue, en fonction des sujets traités, vous trouverez une grande diversité de texte. Par contre, on observe que de plus en plus, les longs textes ont maintenant la cote. Comme le présente l’article de SEM Rush, Quelle est la longueur idéale d’un texte pour se positionner en SEO ? plusieurs études démontrent que les textes de 2000 mots et plus ont un excellent score de référencement. Mais tout comme je viens de le faire, il note aussi que la pertinence, la réponse aux besoins du lecteur signifiée par l’intention de la recherche dans Google, la thématique et la qualité des contenus, sont ce qui fera la différence et qui permettra à vos textes d’être repérés et valorisés par les internautes et les moteurs de recherche.

Le marketing et la communication en temps de crise (sanitaire ou autre)

Ce n’est vraiment pas le temps de disparaître de la carte. En effet, l’usage des médias sociaux et du web est en pleine progression ici et ailleurs. C’est donc le temps idéal de fournir à vos clients et clients potentiels des informations pertinentes sur « votre sujet » (pour découvrir SON sujet, lisez mon billet Narcissisme corporatif et publicité ou marketing de contenu) et sur comment votre entreprise s’adapte à la crise que nous vivons tous.

Plusieurs entreprises ont des budgets de représentations pour participer à des foires, congrès et salons. Comme ceux-ci ont été pour la plupart, annulés, il est peut-être judicieux de transférer le budget qui y était dédié, au numérique. Si votre présence numérique et sociale n’est que très rudimentaire, vous pourriez sans doute les améliorer et même commencer à faire du transactionnel en ligne. Pour trouver des ressources pour vous améliorer, vous pouvez consulter les nombreuses références qui sont dans mon récent billet Guides pour le commerce en ligne, travailler avec un expert local ou téléphonez-moi  mes clients sont à la grandeur du Québec.

Profitez-en pour mettre à jour votre présence Google mon entreprise, pour créer et partager plus de contenus sur vos présences Facebook, Twitter, Linkedin, YouTube, Slideshare et autre et pour faire parler vos clients, employés et fournisseurs. Bref, il est temps d’entrer et de faire partie de la conversation.

Cependant, évitez d’avoir l’air de profiter ou de vouloir vous enrichir du malheur des gens. Vous devez plutôt
• reconnaître l’impact de la pandémie sur vos consommateurs,
• être empathique avec eux,
• discuter de l’impact du virus sur leurs vies et sur la vôtre,
• réassurez-les sur le maintien de la qualité des services et produits que vous vendez.

Étant donné que plusieurs entreprises ont diminué leur budget marketing, il serait temps, au contraire, d’augmenter le vôtre pour profiter du vide qu’ils ont laissé et du temps de navigation et du nombre d’usagers numérique qui ont sensiblement augmenté…

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Guides pour le commerce en ligne

En ces temps de confinement, de plus en plus d’entreprises, qu’elles soient B2C ou B2B , qu’elles vendent des produits ou des services, grossistes ou détaillants, s’intéressent finalement à la vente en ligne. Je dirais ENFIN puisque ça fera bientôt 20 ans que je les incite à le faire. Pour ces retardataires, la marche peut être haute. En fonction de la qualité des services internet de leur localité (ce qui est encore loin d’être un acquis en région), des prestataires de technologies Web (ils peuvent toujours sortir de leur région s’ils ne trouvent pas les fournisseurs qui leur conviennent) et de leur propre connaissance du sujet, de très nombreuses questions se poseront. C’est pourquoi j’ai colligé ici, certains des nombreux guides pour le commerce en ligne qui sont disponibles en ligne.

Je rappelle que d’avoir un site Web n’est souvent que le début de la démarche et que de le faire vivre et d’en faire la promotion, contrairement à ce qu’on peut croire, sera le gros du travail et la grosse dépense. Tout comme dans le monde physique, ce n’est pas parce que vous avez loué ou acheté un espace commercial et que vous y avez installé une pancarte magasin que par miracle, les acheteurs arriveront. Il en est de même pour le Web. Ça vous prendra une stratégie marketing, du personnel, une gestion du point de vente et de l’inventaire et un travail acharné pour en retirer des bénéfices. En outre, comme je l’explique lors de mes ateliers Web et médias sociaux, vous pourriez même vendre en ligne sans même avoir votre propre site transactionnel et utiliser des services tels qu’Amazon, eBay, Etsy, Alibaba et autre. D’ailleurs, j’ai déjà fait une émission de radio avec un entrepreneur qui une fois en ligne sur Amazon pour vendre ses antiquités de la IIe guerre mondiale, vendit ses deux magasins physiques pour s’y consacrer et acheta un 2e entrepôt pour satisfaire à la demande qu’il avait créée. Je connais aussi plusieurs entrepreneurs qui grâce à un efficace marketing de contenus sur le blogue et site informationnel, suscitent les ventes hors-ligne qui se feront en magasin ou au téléphone. Tous les modèles sont donc possibles. D’ailleurs, pour des raisons de pérennité de l’investissement marketing, j’ai toujours valorisé le marketing de contenu à la publicité en mentionnant que ce sont de gros efforts qui génèrent des retombées à moyen et à longs terme, mais que pour le court terme, la publicité demeurera un incontournable. Déjà, il y a plus de 10 ans, dans le chapitre du collectif Pourquoi bloguer, je présentais Bloguer pour vendre qui jetais les bases de cette approche du marketing de contenus.

Quel que soit l’approche de commerce en ligne que vous privilégierez, la mesure de rendement ultime sera toujours faites-vous des ventes ou pas? Après 12 mois vous pourrez mesurer si effectivement l’investissement que vous avez fait en vaut la peine ou pas. Cependant, il est aussi bon de rappeler que même Amazon, a attendu 10 ans avant de commencer à être rentable. Alors il faut regarder les objectifs à long terme, évaluer la justesse des décisions et des stratégies qu’on a prises afin de ne pas se conforter à croire « que le Web c’est de la marde parce que j’y ai investi sans retombée» alors que les raisons d’échecs peuvent être multiples.

Voici donc certains guides qui pourraient vous être utile

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CEFRIO Guide de référence sur les processus d’affaires et les équipes à mettre en place pour sa boutique en ligne

BDC : Guide commerce électronique : Livre numérique gratuit: réussir en commerce électroniqueDécouvrez comment augmenter vos ventes grâce au commerce électronique

Poste Canada : La vente en ligne au Canada en 2020, Les facteurs qui maximisent l’expérience client

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