IGA Un innovateur en ligne qui me fait chier (Ils sont aussi sur Pinterest et Google+)

Je ne suis vraiment pas contente d’IGA. Ils sont si innovateurs en ligne et sur les médias sociaux que ça me fait royalement chier qu’ils ne soient pas mes clients. Je ne peux donc pas me vanter d’être impliquée dans leur processus décisionnel et d’avoir fait quoi que ce soit pour eux. Bon je me sens mieux maintenant que c’est dit. Je peux cependant noter et apprécier le talent et l’audace qu’ils mettent sur leur présence en ligne. C’est l’un des beaux cas québécois de réussite sur les médias sociaux.

Ça ne date pas d’hier d’ailleurs. Déjà à la fin du dernier millénaire (ça me fait tout drôle d’écrire ça hehehe) IGA innovait avec le premier commerce alimentaire québécois en ligne. À l’époque, le site avait coûté $300K et il avait été calculé qu’avant de vendre une seule boîte de conserve, il avait déjà rapporté pour $800k de retombés médiatiques positives.

Je vous parle de ça parce que la semaine dernière, je reçus un courriel pour m’informer de leur nouveau Wikibouffe (Infopresse de même que rezopointzero en parle). Ce wiki est d’ailleurs judicieusement positionné en sous-domaine de IGA.net, question d’aider au maximum le positionnement naturel dans les moteurs de recherche du domaine IGA.net. Il est vraiment très bien fait et plusieurs entreprises peuvent certainement s’inspirer de cette excellente idée, dans leur domaine respectif.

Leur compte Twitter est intéressant et on note qu’ils discutent avec les internautes et influenceurs . Leur page Facebook est aussi très animée. Mais c’est lorsque je les ai vu débarquer sur Pinterest, sans en avoir encore parlé et expérimenter intelligemment avec le nouvel outil média social (qui rejoint particulièrement les femmes et qui est très versé dans l’alimentaire) que j’ai compris qu’ils étaient réellement hot. C’est pour ça que je suis frustrée qu’ils ne soient pas mes clients = grrrrrr

Ha oui! ils sont aussi déjà sur Google +

MAJ

Ha oui, tout la journée j’ai eu dans la tête la toune « Ma vie c’est d’la marde » de la chanteuse Lisa Leblanc qui était hier à l’émission Tout le monde en parle. Merci madame Leblanc de redonner ses lettres de noblesse au mot “marde” et d’avoir indirectement inspiré les titres scatologiques de mes deux derniers billets. Quoique pour être franche, mon côté scato est là depuis bien longtemps. D’ailleurs, l’un de mes chefs d’œuvre que je récitais l’an dernier au Festival Voix d’Amérique lors de la soirée du Combat contre la langue de bois : Pour toi Serge, c’est avec fierté que je te chie un poème 🙂