Depuis mes révélations d’il y a deux semaines [2], pas une journée ne se passe sans que quelqu’un m’écrive ou vienne me parler pour se confier d’un problème, d’une souffrance ou d’une confidence grave. Jamais je n’aurais cru que des gens que je présumais connaître, avaient de si vives angoisses. Ce qu’ils me confient n’a souvent aucun rapport avec ce que moi-même je vis, mais d’avoir pris connaissance de mes propos, semble-leur donner une confiance, un élan et une ouverture vers leur propre liberté, que je n’aurais jamais imaginé possible. Pour ceux qui estiment que mon blogue commence à s’éloigner dangereusement de sa ligne éditoriale initiale, je suis désolé de vous déplaire. Pour les autres, j’écrirai encore plus sur ma passion qu’est le web, mais je ne peux me couper complètement de cette expérience profonde que je vis et que les autres me font vivre maintenant, sur une base quotidienne.
Je ne deviendrai pas pour autant le porte-parole de quelque « cause » que ce soit, si ce n’est celle des grandes-gueules et des esprits libres…