Martin Ouellet de Provokat, ne fait pas dans la dentelle. C’est entre autres pour ça que je l’aime. Il vient de mettre un virulent billet en ligne, qui explique les méandres des bannières : Les bannières, ça coûtent la peau du cul.
Disons que votre objectif est comblé entièrement une fois que les consommateurs arrivent sur votre site, peu importe ce qu’ils font. Disons toujours que votre bannière est ultra efficace et qu’elle donne un rendement 3 fois supérieur à la moyenne nationale [ces jours-ci, elle oscillerait autour de 0,25%], alors chacune de vos visites vous coûteront 4 $.
Si vous vendez une voiture, ce prix peut être amorti. Si vous vendez une carte de crédit aussi. Si vous voulez faire que de l’image, à vous de juger. Mais, à ce prix-là, on a le droit de chercher des alternatives.
Les régies publicitaires [ceux qui représentent une belle grappe de sites] offrent des alternatives. Du ROS, ROC et du RON.
Pour comprendre le ROS, le ROC et le RON, allez voir Provokat. Ça en vaut la peine.