Cela va de soi que les innovations technos appliquées à l’entreprise engendrent de nouvelles catégories d’employés. C’est le constat que fait l’atelier (via Ipub) dans son article Le Social Computing cherche ses talents, qui cite une étude de Forrester, How To Staff For Social Computing.
En outre, l’Atelier remarque que le social computing a un impact majeur sur le recrutement.
Hier soir, lors d’un groupe d’intérêt sur le Web 2.0 de l’Association Marketing de Montréal, nous discutions justement de cette réalité d’être capable de faire des erreurs dans la mise sur pied d’activités de réseaux sociaux. La difficulté avec l’acceptation des erreurs possibles est que déjà la simple acceptation de l’expérimentation réseau social, est difficile, alors d’admettre en plus de faire des erreurs en public, est inconcevable! Cependant, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs et on n’innove pas sans expérimenter et sans apprendre de ses erreurs. Mais on peut toujours, comme le font la majorité des entreprises, attendre que toutes les bonnes pratiques aient été identifiées par d’autres et attendre d’apprendre de leurs erreurs, mais dans ce cas, on ne devient certainement pas une entreprise innovante et on perd l’avantage compétitif d’être le premier.