Les réseaux sociaux créent de nouveaux types d’emplois

Pin It

Cela va de soi que les innovations technos appliquées à l’entreprise engendrent de nouvelles catégories d’employés. C’est le constat que fait l’atelier (via Ipub) dans son article Le Social Computing cherche ses talents, qui cite une étude de Forrester, How To Staff For Social Computing.

Don’t try to build and run social applications without the right staff. We’ve identified two key new roles needed for success: 1) the Social Computing strategist, who’ll lead the internal charge, and 2) the community manager, an external customer advocate. Working in tandem, these roles will align Social Computing programs with the business and ensure that community members are happy. Management should agree upon goals and then give the team latitude to get the job done —including embracing mistakes as new programs are tested out.

En outre, l’Atelier remarque que le social computing a un impact majeur sur le recrutement.

Ces évolutions liées au Net soulèvent par extension les questions de recrutement des nouveaux talents. “Le Social Computing est un domaine porteur en terme de recrutement” constate Jean-Stéphane Arcis, fondateur et dirigeant de Talent Soft. Et de continuer : “ces réseaux sociaux ont plus d’un intérêt pour les grands groupes. Les systèmes d’information des entreprises s’inspirent en effet peu à peu des meilleures pratiques des plates-formes de ce type”. Une manière pour les jeunes talents d’exploiter leur maîtrise des sites communautaires et d’être acteurs de leur intégration dans l’entreprise.

Hier soir, lors d’un groupe d’intérêt sur le Web 2.0 de l’Association Marketing de Montréal, nous discutions justement de cette réalité d’être capable de faire des erreurs dans la mise sur pied d’activités de réseaux sociaux. La difficulté avec l’acceptation des erreurs possibles est que déjà la simple acceptation de l’expérimentation réseau social, est difficile, alors d’admettre en plus de faire des erreurs en public, est inconcevable! Cependant, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs et on n’innove pas sans expérimenter et sans apprendre de ses erreurs. Mais on peut toujours, comme le font la majorité des entreprises, attendre que toutes les bonnes pratiques aient été identifiées par d’autres et attendre d’apprendre de leurs erreurs, mais dans ce cas, on ne devient certainement pas une entreprise innovante et on perd l’avantage compétitif d’être le premier.

Imprimez ce billet Imprimez ce billet

Comments are closed.