Interview réseaux sociaux

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Je suis heureuse de lire le premier article (média traditionnel) auquel j’aie collaboré à titre “d’experte” du Web. Comme vous le savez déjà (si vous êtes assidue de ce blogue) j’ai une certaine couverture médiatique. Or, grâce à l’article En «business» avec les réseaux sociaux! de la journaliste Karine Bouchard de Québec Hebdo, c’est la première fois que l’on réfère à moi, en tant que femme. Encore un autre jalon de traversé pour moi…

Blogues et discussions affluent sur Internet, inspirés de la soudaine popularité des réseaux sociaux. Nombre des participants désapprouvent de tels sites, alors que d’autres les glorifient. «Vie privée en péril», «perte de temps», «inutilité»… Bref, il va sans dire que tous ne tombent pas sous le charme des Facebook, MySpace et Cie.

Pourtant, certains y voient une certaine utilité, dont l’analyste du Web, Michelle Blanc. «Les journalistes regardent ce qui se dit sur les réseaux sociaux. Tu peux facilement créer un événement, et ce, tout à fait gratuitement!», relate-t-elle.

(…)

Or, au dire de Mme Blanc, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Les internautes ne seraient pas plus ciblés que les autres par les fraudeurs. «En fait, 95 % des vols d’identité se font à partir des poubelles, et seulement 5 % sur le web. Et pourtant, on associe énormément le phénomène de la fraude avec Internet.»

Pas plus de fraudes sur Internet qu’ailleurs ne signifie pas que toutes les règles de sécurité peuvent être écartées. «Il y a des gens qui perdent toutes les notions de sécurité de base lorsqu’ils sont sur Internet. Il faut être vigilant quant aux informations mises en ligne. Il faut se demander si on accepterait de divulguer ces détails à plus de 100 000 personnes», de conclure Mme Blanc.

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