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Encore une fois tu montres l’exemple en donnant tes présentation à tous. Bravo pour la transparence, c’est bien la preuve que c’est « payant ». Je prépare quelque chose pour novembre et suivrai ton exemple. Parlant matériel, on fait quoi pour mettre la main sur votre livre collectif sur les blogues? Pas vu en ligne chez R.Bray, Archambault ou Amazon…
c’est gentil
Pour le livre, il est presqu’épuisé. Nous discutopns en ce moment de l’opportunité d’en faire une deuxième édition et je vais demander à l’éditeur comment on peut trouver ceux qui restent encore…
Il m’en reste quelques copies si c’est le seul inventaire disponible, offert au prix coûtant! 🙂
Je spécifie ce que prix coûtant veut dire, dans le contexte…
http://www.afroginthevalley.com/fr/2007/11/09/pourquoi-bloguer-une-question-a-100/
Je crois qu’il nous reste quelques exemplaires chez Opossum. Un petit courriel et notre adjointe administratif pourra vous poster un de ces «bijoux» de bouquin…
@Sylvain Carle: Bien que l’offre soit alléchante je vais plutôt espérer que je puisse te poser des questions « over a drink » au podcamp ou à un yulbiz quelconque…
@Mario: Je vous envoie un courriel de ce pas!
@Patricia : oui, bonne idée, en plus tu risques d’avoir Michelle pas trop loin et peut-être même quelques autres auteur(e)s dans les parages, un excellent deal selon moi, encore meilleur que mon offre initiale!
Au contraire. Il reste des centaines d’exemplaire.
Mais je crois que le système de l’édition papier a une façon bien étrange de fonctionner (du moins pour nous, du web). Au lieu d’être sur les tablettes, ils se trouvent dans des entrepôts quelque part.
En le commandant du libraire, il est possible de le recevoir.
@Martin Et malheureusement cette étrange façon de fonctionner ne correspond pas bien avec mon tempérament impatient 😉 Les libraires en ligne auraient au moins pu en avoir en stock sur leur site transactionnel. Il semble que le blogue de Michelle ait été plus efficace! Je poursuis donc avec Opossum.
@Patricia, oui, malheureusement, ma solution est de loin la moins performante. Et c’est ce qui me peine, car je crois que les libraires sont passés en mode « zéro inventaire » et « best-seller » pour faire tourner les stocks. Exit les niches.
Ce qui me dépasse le plus — et que je trouve complètement incompréhensible– c’est la « rupture de stock » en ligne.
Que Amazon annonce que le livre n’est pas disponible montre à quel point les distributeurs et les éditeurs n’ont rien compris: en laissant Amazon s’approvisionner par elle-même, c’est croire qu’elle joue le rôle de libraire.
Amazon doit être vu par les distributeurs et les éditeurs comme un outlet qu’ils doivent approvisionner coûte que coûte.
Avec un simple programme branché sur les API, il leur est possible de savoir quels livres manquent et les approvisionner sur une base hebdomadaire.
@Martin Je suis tout à fait d’accord. Une autre option est d’y aller avec l’approvisionnement « just in time ». Ce n’est quand même pas nouveau comme concept. Le livre apparaîtrait toujours dispo chez Amazon et dès qu’un client passe une commande, celle-ci est transmise automatiquement au distributeur de l’éditeur qui achemine au centre de distribution d’Amazon qui envoi au client final. Transparent pour le client.
@tous
c’est passionnant comme sujet mais ça commence à être un peu hors propos. Conclusion, on a un sérieux problème de distribution et notre éditrice, tète le distributeur pour qu’on puisse trouver nos bouquins. Voilà et c’est d’une tristesse…