LeLab CanalVox, Chronique piratage et gratuité sur le Web

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J’ai débuté des chroniques hebdomadaires à l’émission Le Lab de la chaîne Canal Vox, animée par Philippe Fehmiu. Ma première chronique, tournée de mon lieu fétiche, Le Laika Montréal, porte sur le piratage et le concept de gratuité sur le Web.

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Commentaires

  1. Laurence Poissant

    Bonjour mchelle,

    Félicitations pour cette première chronique au LAB, j’ai beaucoup aimé et j’ai surtout hâte de voir les suivantes.

    N.B. Merci pour tes archives et réflexions diverses sur ton site, très instructif.
    N.B’. VOX a subi un traitement de canal il y a plus de trois ans, maintenant on dit simplement VOX ou la chaîne VOX 😉

    Au plaisir,

    Laurence

  2. Tweets that mention LeLab CanalVox, Chronique piratage et gratuité sur le Web • Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière et auteure -- Topsy.com

    […] This post was mentioned on Twitter by Mari-Annick Boisvert. Mari-Annick Boisvert said: tres intéressant RT @MichelleBlanc: Mon billet: LeLab CanalVox, Chronique piratage et gratuité sur le Web http://bit.ly/sg6Zi […]

  3. ipub

    FYI: les jeunes peuvent se servir à présent des cartes de crédit Cadeau: http://www.visa.ca/fr/personal/prepaidcards/giftcards_faq.cfm et aussi http://www.radio-canada.ca/emissions/la_facture/2009-2010/Reportage.asp?idDoc=87148

    Tout à fait d’accord avec toi pour les nouveaux modèles de distribution/commercialisation. Le groupe Nine inch nails est un excellent exemple de gratuit (objectif diffusé gratuitement la musique et faire venir un max de fans aux concerts), on se souvient aussi de Radiohead en 2007.

  4. Denis Canuel

    Pour faire un lien au piratage et la vente de produits dérivés, j’ai oublié où j’ai lu cela, mais apparemment que l’industrie du cinéma offre les films à perte et que les vrais profits proviennent de la vente de pop-corn. Légende urbaine?

    Donc à quelque part, le piratage ne nuirait pas vraiment aux compagnies de films, mais plutôt aux cultivateurs de maïs…? 🙂

  5. Valérie Gonthier-Gignac

    Bonjour,

    chronique très intéressante : beaucoup d’information exprimée de façon concise et claire!
    Un régal de vulgarisation.

    Merci beaucoup.

  6. Olivier

    A-t-on des chiffres montrant que donner des MP3 fasse augmenter les recettes des concerts ? Quand j’étais jeune c’était le contraire, les artistes prenaient le risque de faire des concerts à perte pour vendre des disques. Vendre du MP3 reste toujours moins risqué que d’investir dans un concert je crois. Pour les jeunes sans carte de crédit : http://www.apple.com/itunes/gifts/

  7. Laurence Poissant

    @Denis Canuel

    Pour avoir travaillé en cinéma pendant longtemps, je peux te dire que c’est “une légende urbaine”. L’industrie du cinéma (et tous les intervenants; distributeurs, exploitants de salles, producteurs etc…) n’offrent pas leurs films à perte. Ceci étant dit, il y a une similitude entre l’industrie du disque et du cinéma face au piratage. À los Angeles par exemple, certains exploitants de salles se basent sur “l’expérience luxe du cinéma” pour attirer les gens. (Cf Les concerts vs perte de revenus des disques).

  8. Danny Lelièvre

    @Mme Blanc. Très bonne chronique et je suis d’accord avec vous quand vous dite que l’ADISQ et autres organismes du genre ne frappes pas à la bonne porte pour contrer le piratage. Et aussi d’accord avec le fait qu’il faut que l’industrie du “disque” trouve un moyen plus efficace pour trouver de faire de l’argent avec la Musik!

    Par contre, si les Artistes qui sont sous un label, communément appelé “major”, garderaient et gèreraient leurs propres droits d’auteur, un problème serait déjà résolu, et l’industrie chialerait beaucoup moins sur leur perte d’argent qu’ils appels “leurs” droits d’auteur!

    Et pour conclure, @ Ipub, si vous avez bien écouté le reportage de la facture à radio canada, le danger de la carte de crédit “cadeau” donne accès à n’importe quel site ou la carte de crédit est demandé ex:gambling (poker) et de sexualité pour nommé qu’eux. J’en déduis que vous n’avez pas d’enfant d’âge de l’adolescence!

    Et concernant les Nine Inch Nails et Radiohead, eux ont les moyens de ce permettent un enregistrement studio de 30, 50 ou même de $70 mille et de donner leurs chansons gratuitement.

    L’artiste ou le groupe émergent qui eux n’ont pas les moyens de ce permettent ce luxe, où vont-ils aller chercher l’argent pour l’enregistrement studio d’un album ou pour leurs produits dérivés? Des shows à $5 l’entrer? Quand tu n’es pas connus, les bars en général ne paient pas gros, pour être dans le domaine je sais de quoi je parle!

    Un petit tour sur MySpace et vous constaterez rapidement qu’il y a de la qualité comme Artiste sur ce réseau (moins bonne aussi je sais) et que l’industrie n’est même pas foutu de leur donner une chance! Ça c’est triste!

    Bonne journée ou soirée à tous!

  9. Pirating of musical works

    […] Blanc’s blog entry pursuant to the above is located here. […]