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Pourquoi Facebook me fait tant réagir et que j’ai mentionné que c’était de la merde?

Ça fait 10 ans que je fais de la consultation Web. Des promesses de recettes miracles qui donnent des résultats sans effort j’en ai vu, et jamais, au grand jamais, ces promesses (ou plutôt celle que les organisations utilisatrices se font dans leur tête) ne se sont réalisées. Prenons MySpace par exemple. Longtemps ça a été présenté comme le nirvana des musiciens. Allez sur MySpace si vous voulez la chance de devenir une star! Dans les années 70, il n’y avait probablement que 10 personnes sur la planète qui pouvaient faire de vous une star. Grâce à MySpace, vous pouviez désormais les contourner. Le hic est que sur MySpace, vous avez des centaines de milliers de band qui se battent pour l’attention d’une centaine de millions de paires d’oreilles. Comment donc ressortir du lot? Qui plus est, MySpace est une plate-forme propriétaire qui fait SA LOI. Elle décide un beau matin (comme c’est arrivé fréquemment) de changer SA LOI, son interface ou tout autre élément de sa propriété, et vous êtes baisé.
Facebook aussi est une plate forme propriétaire avec SES Règles, SA LOI, SON infrascturure technologique dont vous serez tributaire jusqu’à la fin des temps. Si on compare Facebook à Google ou à Twitter, il est certain que les deux ont aussi leurs conditions d’utilisations qui leur sont propres, que chacun d’eux puisse décider pour une raison ou une autre de vous « interdire de présence » sur leur propriété qui est en fait une porte d’entrée du web. Mais JAMAIS ILS NE POURRONT VOUS EFFACER DU WEB. Comme ils sont des portes d’entrée, ils ne sont pas des « cages dorées ». Vous ne transitez que par eux, vous n’êtes pas chez eux (sauf pour twitter, mais tout de même Twitter fonctionne avec le Web, pas en vas clos et est destiné entre autres à vous envoyer ailleurs sur le Web). Ce qui est tout à fait à l’opposé de Facebook. De plus, il y a toujours l’argument de « Facebook a 500 millions d’usagers ». So fucking what? Facebook a ses usagers, pas vous. Vous ne faites partie que d’une minuscule unité parmi les 500 millions. D’accord vous avez 25 000 fans, vous payez $10 000 par mois en pub afin d’avoir un droit de dialogue avec eux, mais « that’s it ». Comprenez bien que je suis moi-même sur Facebook avec un profil, quelques pages et un groupe. J’en retire des bénéfices d’affaires, mais JAMAIS ma présence Web ne se résumera à Facebook et JAMAIS je ne croirai que c’est une plate-forme miracle comparativement au reste du Web (que visitent les autres 2 milliards d’utilisateurs). Aux entreprises qui se targent de faire du 2.0, ce n’est pas parce que vous êtes sur Facebook et que vous avez mis une tite page que vous faites du web 2.0. Ce sont d’excellents terrains de jeu. Vous pouvez certainement y faire de belles découvertes. Mais dans le web 2.0 il y a le « web » et « 2.0 », dans Facebook il y a le « 2.0 » mais il n’y a pas le Web, il y a Facebook. Facebook se coupe et coupe volontairement ses usagers du reste du Web. Facebook est une plate-forme publicitaire alléchante et performante. Mais il y a une différence entre être dans les pages jaunes et avoir son catalogue. Facebook c’est les pages jaunes, votre présence Web c’est le catalogue. Il ne faudra jamais l’oublier…

P.-S. D’accord Facebook ce n’est pas SEULEMENT de la merde. Oui il y a du positif dans Facebook. Il faut juste relativiser les promesses de succès facile que bien des organisations se mettent dans la tête en croyant Facebook LA CLÉ de leur succès web.

MAJ
Un autre son de cloche de pourquoi il faut être prudent avec Facebook et venant du billet Pourquoi les fans abandonnent les marques sur Facebook, de Mycomunitymanager, tous simplement parce que vous avez acheté des fans avec vos spéciaux et qu’ils vous effaceront dès que la promo sera terminée, parce que vous y parlerez trop ou trop de vous ou parce que vous n’avez strictement rien à dire…

27 réflexions sur “Pourquoi Facebook me fait tant réagir et que j’ai mentionné que c’était de la merde?”

  1. Comme tu le dit souvent il faut pas mettre tout ceux oeufs dans le meme panier.

    Pour sur Facebook est un outils, indispensable…peut-être pas des réseaux sociaux il arriver et reparte.

    2010 sont les années Facebook (surement pour un certain bout) jusqu’à ce qu’un autre le remplace, qu’une autre génération prennent la place et change le web.

    Tu pense quoi du move de SidLee pour avoir dit qu’il « allais full pine sur Facebook? »

  2. Bonjour Michelle (si je peux me permettre),
    Cette fois-ci je suis entièrement d’accord, ce sont des vérités bonnes à dire et à répéter. Mais pour les petites entreprises, qui n’ont pas les moyens de multiplier leur présence web par manque de ressources (pas le temps, pas les gens, pas l’argent), Facebook reste un bon moyen de démarrer dans un environnement plutôt totalitaire, certes, mais aussi assez rassurant pour apprendre. Et personne ne peut leur voler ce qu’elle auront appris.
    Très cordialement,
    Catherine

  3. Effectivement, mettre Facebook au centre de sa stratégie de marketing internet est pure folie. Ayez au moins votre propre blog pour les ramener dans votre cour. D’ailleurs, vous n’avez plus d’excuses, c’est si facile partir un blog…et c’est pas cher!

  4. Ping : Tweets that mention Pourquoi Facebook me fait tant réagir et que j’ai mentionné que c’était de la merde? • Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière et auteure -- Topsy.com

  5. Louis Veillette

    Je ne suis pas d’accord avec l’argument que FB soit de la merde.

    Les ambitions démesurées des marketeurs et promoteurs en tous genres, c’est bien plus cela qui transforme FB en de la merde.

    Autrement, FB, c’est une application comme toutes les autres et il me semble que ce fait n’échappe à personne sauf aux boomers. FB a ses utilisations, pour lesquelles il est non seulement extrêmement bien adapté et utile, c’en est presque révolutionnaire. Je dirais même que c’est parfois tout ce dont certaines personnes ou petites compagnies pourraient avoir besoin pour se faire connaitre.

    Mais dans la plupart des cas, il serait idiot de s’attendre ou de prétendre que FB peut tout faire. Et dire que FB est de la merde dans ce cas, me semble aussi inapproprié que de dire qu’un marteau c’est de la merde, alors qu’on aurait plutôt besoin d’un marteau…

    C’est un peu comme la foutue querelle Mac vs PC… En réalité, quand on voit cela sous l’optique d’applications, il me semble que tout se simplifie et que tout n’est pas mutuellement exclusif. Par exemple, si je devais bourrer un garde-robe d’une «ferme» d’ordis ultra rapides pour faire un serveur. Je prendrais certainement des ordis sous Windows ou Linux. Mais si on parles d’un ordi que j’ai dans ma face toute la journée et avec lequel je vais presque au lit, donnez moi un Mac !!!

  6. Michelle, je suis d’accord avec toute tes affirmations. Il y a eu et il y aura des dizaines d’autres saveurs du moment sur la planète web et oui il fût un temps où MySpace était doooooonc hot. Dans toutes les industries, il y des entreprises qui ne savent pas se ré-inventer quand la concurrence arrive, quand les besoins et les modes changent. MySpace fait partie de celles-là.

    Et oui, on sait que nous ne sommes pas chez nous chez Facebook et que nous devons être le plus en contrôle de nos présences web. Aussi, toute entreprise devrait avoir son blogue et y pondre 3-4 billets par jour, avoir son gestionnaire de communauté qui suit tout ce qui se dit sur l’entreprise et engager la conversation sur Twitter. Sans oublier, produire et diffuser des vidéos sur YouTube. Tout cela est vrai dans un monde idéal. Malheureusement, ce n’est pas le monde d’une majorité d’entreprises, grandes ou petites.

    La réalité est qu’une majorité d’entreprises ne peut pas se permettre une présence optimale sur toutes ces plate-formes.
    Et quand je vois des données récentes comme:
    http://www.marketingcharts.com/direct/facebook-leads-top-website-engagement-16009/

    http://www.marketingcharts.com/direct/facebook-growth-dramatically-outpaces-other-socnets-15077/compete-socnet-figures-oct-10-nov-2010jpg/

    je trouve cela un peu fort d’affirmer « Facebook c’est le la merde » ou que « Twitter est supérieur à Facebook dans une optique de marketing » sans trop appuyer ses dires sur des données solides.

    Tout comme Catherine F, je suis d’avis que Facebook, malgré ses règles et conditions et sa relative perméabilité au reste du web demeure un excellent point de départ pour faire ses premières armes dans les médias sociaux et est même un incontournable.

  7. Voici deux citations issues de je-sais-plus-où, mais que j’avais trouvées très intéressantes, tout comme ton billet d’aujourd’hui :

    « Being on Facebook isn’t a Facebook strategy »
    « Facebook doesn’t have a Facebook strategy »
    « Being 2.0. doesn’t mean having a company Facebook web »

    C’est donc dire que ce n’est pas tout d’être sur Facebook : il faut savoir l’utiliser stratégiquement, dans un mix-communication balancé.

    C’est aussi dire que d’être sur Facebook ce n’est pas l’ultime « move » qui va te propulser dans l’univers du web 2.0. Ça peut être très inutile pour certaines compagnies d’être sur Facebook.

    C’est enfin dire que Facebook est un noeud du web, autour duquel gravitent beaucoup de plateformes dont les contenus sont aspirés sur Facebook.

    Par contre, je ne suis pas complètement d’accord que Facebook fonctionne en vase clos plus que Twitter. Facebook est un organe qui est relié à pratiquement tout ce qui se fait comme contenu sur le web, et il n’est pas impossible de publier des liens qui emmènent en dehors de Facebook. Twitter, quant à lui, est un interface qui reçoit du contenu en « pushing » et dont le contenu peut aussi être « pushé » vers d’autres médias sociaux ou portails web… mais enfin, je ne trouve pas que FB ou TW soient plus l’un que l’autre en vase clos. Ils sont au contraire très ouverts et c’est ce qui fait leur succès!

    Mais, je vous poserais une question suite à cela : selon vous, quelle est la meilleure structure de donnée ou de graphisme à adopter, pour ne pas trop faire sa propre loi, comme MySpace et Facebook, dont les interfaces ont changé radicalement récemment?

  8. Il faut tout simplement savoir doser, non ?

    Faire de Facebook son centre névralgique pour sa promotion sur le web est bien une grave erreur et je pense qu’à ce moment dire que Facebook « c’est de la merde» est fondé !

    Par contre, à bon usage, je reste convaincu que Facebook peut être un atout complémentaire dans une démarche publicitaire…

    C’est pourquoi lorsque l’on me sollicite pour mettre en place un profil facebook, j’avise mes clients qu’il ne faut pas en faire une stratégie centrale et que c’est un ensemble de « services web 2.0 » et médias sociaux qu’il faut envisager pour une communication publicitaire efficace sur le web.

    En ce qui concerne MySpace, l’interface est très agressive, d’une autre époque et loin d’aider le visiteur à s’y retrouver ! On à l’impression d’aller au marché aux puces. Mais avouons que pour certain cela fut une aubaine incontestable, encore aujourd’hui.

    Maintenant faut arrêter les pronostiques de « durée de vie » de tel ou tel service ! Profitons-en temps que le train roule. Plus on dénigre un service, plus on parle d’atteinte à la vie privée et plus les gens se connectent ! Les derniers bastions de résistance que je fréquente viennent de céder et se sont créés des profiles Facebook… soit disant par curiosité, pour voir de quoi on y parle tant ou parce qu’ils se sentent comme sur la touche!

    Mais encore une fois ton article est des plus intéressant, je profites de ce commentaire pour te dire que c’est un vrai plaisir que de suivre ton actualité…

  9. Louis Veillette

    2.0… ça décrit surtout la qualité actuelle du web de pouvoir servir du contenu dynamique, en interaction complexe et en temps réel avec les utilisateurs. Par opposition au « web 1.0 », qui consistait surtout en du contenu servi de façon « statique », à des utilisateurs, dont la principale interactivité consistait à suivre des hyperliens.

    Donc, Facebook est une application typique du Web 2.0, mais c’est tout ce que c’est. D’autres systèmes définissent tout aussi bien la « norme » 2.0, car ils auraient été difficilement possible « dans le bon vieux temps » du web 1.0 (Twitter, eBay, la plupart des services/applications Google, etc…)

    Et nous sommes déja en train de mettre en place 3.x… (ex. http://www.realsoftware.com/ )
    qui sera une étape où tout deviendra une application, y compris les fichiers musicaux (http://www.wired.com/epicenter/2011/01/every-song-can-be-an-app/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+wired%2Findex+%28Wired%3A+Index+3+%28Top+Stories+2%29%29&utm_content=Google+International) et où tout « vivra » dans le « cloud » (un ensemble de serveurs interreliés de façon globale, tel les services Amazon Cloudfront).

    Ce ne sera probablement pas une étape très agréable pour ceux et celles qui vivront encore sans une connexion haute vitesse, ou 3 ou 4G. Ce qui veut dire, de nombreuses zones rurales du Québec entres autres…

  10. Ca fait du bien de lire de la vraie prose lucide et franche…
    C’est marrant, j’ai entamé le même genre d’offensive à propos de myspace il y a pas mal de temps : http://geek.juraver.net/2009/04/myspace-sucks/

    Oui, je suis d’accord, les gens qui parlent d’avoir « un site » juste parce qu’une fanpage est créee, ça hérisse le poil de tous les concepteurs. Maintenant, on est là dans l’évangélisation, et on est pas si nombreux que ça.

    Bon courage

  11. @Eric Pourriez-vous être moins clair? Avec les fautes, la syntaxe anémique, on comprend pas trop…

  12. @Catherine Frybourg et @Etienne Chabot ont un point assez intéressant. De la même manière nous essayons tous d’instruire nos clients que d’avoir une présence sur le Web via un site Web c’est bien, mais encore faut-il que nous le fassions vivre CE site Web (via un blogue, etc.). Trop souvent, par manque de connaissance ou par manque de temps, nos clients croient que de simplement avoir une présence sur le Web (site Web vitrine, et ici, une page Facebook) viendra tout régler et qu’ils se retrouveront numéro dans les résultats de Google.

    Je crois que peu importe le moyen, que ce soit Facebook ou autre, il est important pour les compagnies de s’immerger dans le Web 2.0 pour en comprendre son sens. Si c’est en se créant une page Facebook que les yeux de mes clients s’ouvrent pour enfin comprendre la notion de «Social» dans réseau social, alors je dis tant mieux et bravo. Cela sera déjà un plus! Car peu importe si leur stratégie n’est pas optimale présentement, nous pourrons tout de même dire qu’il y a une ouverture et qu’ils font parti de la minorité des entreprises québécoises qui ont osé s’y aventurer.

  13. Ping : 11 objectifs professionnels pour 2011 | Diane Bourque

  14. Robert Bergeron

    Ce que je comprend finalement c’est qu’en ce qui concerne internet comme toutes autres plate-formes d’ailleurs, il n,y rien de parfait. Les opportunités d’affaires qu’on y voit sont toujours en fonctions d’objectifs visés. Cibler ressemble de plus en plus au chasseur qui entre dans la forêt avec un mitrailleuse, vide le chargeur et regarde ce qu’il a tué.Tout ce que je lis sur internet depuis des mois m’amène à penser que l’intuition complète idéalement n’importe quelle analyse de marché puisque tout va trop vite et ce qui est « in » aujourd’hui deviendra « out » dans une heure.

  15. Jerome Saucier

    Bonjour,

    Je vous lis avec intérêt, mais…

    Pourriez-vous, s’il vous plait, éviter de « crier » dans vos billets…

    Personnellement, je n’utilise JAMAIS 😉 des mots ou des phrases tout en majuscule…

    À moins que je me trompe quand à la « netiquette »?

  16. Je suis bien d’accord avec le fait que Facebook n’est pas une plateforme miracle. Une simple fan page n’apportera pas de valeur ajoutée à la marque et bien souvent, si elle n’est que promotionnelle, les utilisateurs risquent de la quitter (comme le graphique le démontre si bien).Cela se produit seulement si l’entreprise « push » de l’info sans interagir avec le consommateur. Toutefois, les médias sociaux permettent le dialogue et l’interactivité, et peuvent parfois amener beaucoup de valeur ajoutée à la marque. Je pense d’ailleurs à la campagne d’IKEA pour l’ouverture de son nouveau magasin a Malmo en 2009: l’entreprise a vraiment su créer de l’interactivité et apporter de la valeur ajoutée en donnant les articles de ses showrooms aux premiers utilisateurs a se taguer dessus. Mon avis est donc que Facebook n’est pas magique et qu’il n’entraînera pas de changements majeurs s’il est utilisé en mode push seulement, mais que lorsqu’il est utilisé originalement et en impliquant le consommateur, il peut vraiment générer du capital conversationnel et de l’attachement envers la marque.

  17. Ne pas avoir de stratégie Facebook serait comme affirmer qu’on n’a pas besoin de pratiquer son attaque à 5 au hockey car l’objectif est de gagner la partie, pas de dominer pendant 2 minutes.

    Je parlais justement de stratégie médias sociaux hier avec un client (artiste musical) qui me disait que pour lui, Facebook servait à « accepter des demandes d’amitié » et qu’il ne voyait pas en quoi ça pouvait aider sa carrière, et que ce serait bientôt dépassé, comme MySpace. Une dizaine de minutes de discussion l’ont encouragé à changer son point de vue et à voir comment il pouvait utiliser Facebook.

    Je vois une différence majeure avec MySpace, soit le fait que Facebook ne se limite pas aux artistes et à ceux qui veulent les découvrir, et aussi par le fait qu’avec des applications, on peut être plus intéressants pour nos fans sur Facebook.

    Oui, Facebook fait partie d’une stratégie médias sociaux plus large, comme les médias sociaux s’inscrivent dans une optique marketing web, qui entre dans le marketing et les RP en général, qui entre dans les impératifs de croissance d’une entreprise. Ça ne veut pas dire qu’on en peut pas avoir une stratégie Facebook précise, une autre Twitter, une blogue, une Youtube, etc., et que ces stratégies ne soient pas distinctes tout en étant inter-reliées. Mais je crois que c’est pas mal ce que le billet disait (même si on sent une aversion pour le contrôle que Facebook exerce sur ses abonnés).

  18. Je sais pas si Facebook c’est de la merde mais par pitié, aérez votre prose. Là c’est pas très web 2.0. 🙂

  19. Ping : Daily, Yahoo et Michelle Blanc

  20. Belle discussion. On a tous une opinion sur la question et je crois fortement au côté pédgogique de ces échanges. Merci Michelle de fournir la plateforme, les sujets et aussi le lectorat de qualité qui permet d’élever le débat. Il faut aller au delà des futurologues. Malgré, ce qu’on en pense, je crois que Facebook est là pour rester encore un petit moment…

    Ces dernières stats vont dans ce sens:

    http://www.marketingcharts.com/direct/facebook-surges-other-socnets-gain-traction-16092/

    Facebook est devenu « mainstream » et gagne des adeptes plus jeunes et plus vieux. Il sera de plus en plus difficile à déboulonner car il s’ancre dans les habitudes de vies de ses utilisateurs. Ce qui mettra fin a Facebook, ce ne sera pas un autre réseau machin trucs comme Facebook avec plus de bébélles; ce sera une technologie pertubatrice (Disruptive technology). Comme les CDs ont mis fin aux cassettes… l’histoire se poursuivra.

  21. Certes, c,est étonnant comment plusieurs compagnies ne savent pas comment utiliser les médias sociaux de façon intelligente. C’est pour ça que des professionnels comme Michelle sont si importantes. Plus de gens devraient lire, comprendre et apprendre sur les sujets présentes dans des billets et blogues comme celui-ci.

    Possiblement on porte encore des couches même après tous ces années de web-marketing.

  22. Ping : Nouveaux arguments sur pourquoi Facebook c’est de la merde dans un contexte d’affaires • Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière et auteure

  23. Ping : Facebook, la fin du concours de kekette gratuit • Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière et auteure

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