J’ai l’habitude d’être dans les médias, surtout dans les sections spécialisées des affaires, du tourisme, de la techno ou du marketing. Mais jamais je n’avais encore été approché par un média de masse de la trempe du magazine Dernière Heure. Je me retrouverai donc sur la table des salles d’attente des dentistes, coiffeuses, garagistes et autres services pour les trois prochaines années. Comme visibilité je ne pouvais rêver mieux. C’est encore plus efficace que les pages jaunes que l’on jette après un an. Dernière Heure, c’est le genre de revue qui a la vie longue! Merci donc à la journaliste Marie-Claude Fillion d’avoir eu l’idée de ce topo de l’un de mes sujets favoris, Second Life et Bienvenue lecteurs de Dernière Heure. Mais avant de plonger dans ce blogue, je vous invite à lire ma MISE EN GARDE . Je vais en faire une page statique d'ailleurs! La vie est ainsi faites, que ce topo, en plus de me réjouir, fait aussi plaisir et surprend mon entourage. Imaginez-vous donc que ce magazine est imprimé par Quebecor. Ce que vous ne savez pas est que ma conjointe a un fils. Il s’appelle Taïgo et travaille depuis plusieurs années à l’imprimerie Quebecor de St-Jean-sur-Richelieu. Comme je suis avec sa mère depuis 15 ans et que nous avons habité ensemble 7 ans, il est devenu le fils que je n’ai jamais eu. C’est son équipe qui a imprimé ce magazine! Qu’elle ne fut pas sa surprise de voir ma face apparaître dans la job d’impression qu’ils devaient faire un soir de cette semaine! Il n’était pas au courant de l’entrevue que j’avais accordée. En outre, dans l’arrière-plan, vous voyez aussi les photos de Maxime et Florence, deux de mes neveux et nièces, qui sont accrochés sur le babillard de mon bureau. Ils seront ravis de la nouvelle même si vous ne les reconnaîtrez pas. Eux se reconnaîtront. C’est ça le principal. Finalement, l’article parle aussi des copains M-C Turgeon et Marc Snyder qui donnent du contrepoids à mon enthousiasme Second Life.
6 réflexions sur “Magazine Dernière Heure Bienvenue aux lecteurs”
Les commentaires sont fermés.
Excellent Michel, vraiment trop fort, on te voit partout!
C’est gentil, merci Vincent
Pour accroître un peu plus votre sentiment de notoriété, sachez que votre nom a été sur toutes les lèvres à Ottawa, du moins à l’Université, suite à un article paru dans La Presse concernant Second Life, où vous étiez cité. J’ai du expliqué les blogs, votre blog, les rencontres Yulblog où je n’ai pas encore mis les pieds… Bref, votre nom circule.
Chère Nathalie,
Vous exacerbez encore plus mon désir de vous rencontrer cet été. À bientôt…
Ping : Magazine Dernière Heure, quiproquo | Michelle Blanc, M.Sc. commerce électronique. Marketing Internet, consultante, conférencière et auteure
Permettez-moi de prendre 5 minutes de votre temps. À l’âge de quinze ans, je suis devenue quadraplégique et muette. Malgré cette épreuve, j’ai été me chercher plusieurs diplômes. Aujourd’hui à l’âge de 37 ans, je suis (…). À l’aide d’un pointeur dans ma bouche, j’ai rédigé ma propre autobiographie.
Mon but en écrivant ce livre, intitulé « L’histoire de Nathalie – Anatomie d’un AVC à quinze ans », est de faire réaliser aux gens que la vie est précieuse et qu’il ne faut pas la prendre pour acquise, car elle peut changer en quelques secondes seulement. Je voudrais aussi pouvoir sensibiliser les gens à la prévention des AVC. S’il est trop tard, j’espère pouvoir aider les autres à faire face aux circonstances quotidiennes des suites d’un AVC, aussi physiquement dévastateur que le mien. La vie continue.
Par l’entremise de mon livre «L’histoire de Nathalie – Anatomie d’un AVC a quinze ans », j’ose espérer me dévoiler davantage aux gens. Je peux vous affirmer que, par la suite, plusieurs jeunes et parents m’ont mentionné que mon livre avaient été pour eux une source d’inspiration et qu’ils étaient arrivés à point dans leur vie. J’ai donc pensé en faire bénéficier un plus large public. Je suis persuadé que cet ouvrage saura inspirer beaucoup de gens qui doivent traverser des épreuves similaires.
Il ne faut pas se laisser décourager par les déceptions ou par les difficultés de la vie. Il faut croire dans son rêve, avoir la passion et, surtout, y consacrer les efforts nécessaires et faire preuve de persévérance. Ils doivent savoir que tout est possible, même s’ils se sentent rejeté, mal aimé ou de trop. Même s’ils ont vécu des histoires de violence, de haine et d’abandon, ils doivent savoir qu’en eux, se trouve une force plus grande que tout et il s’agit simplement de l’espoir! Il faut surtout qu’ils apprennent que chaque malheur peut devenir bonheur et que le soleil ne cesse de briller même dans mes yeux.
Je souhaiterais qu’il soit fait mention de de mon livre dans votre site Web et votre magazine.
Si vous désirez recevoir par courriel la page couverture de l’ouvrage, je peux vous l’envoyer.
Ensemble dans la lutte contre le désespoir,