Pour les très grosses entreprises qui ont encore peur du code source ouvert, qui aiment payer pour ce qui est gratuit ailleurs ou encore qui ne jurent que par leurs intégrateurs, vous serez ravi d’apprendre qu’IBM se lance dans le Web 2.0. Selon Silicon.fr, IBM lance une initiative qu’elle nomme ‘Web 2.0 Goes to Work’. En fait, c’est une initiative qui vise directement les développeurs et tous les fournisseurs attitrés IBM. Ils mettent en ligne un sous-répertoire dédié à cet effet (www.ibm.com/web20) .
Selon Silicon.fr
Une couche de Web 2.0 sur les produits phares d’IBM
L’initiative ‘Web 2.0 Goes to Work’ s’accompagne du déploiement des technologies Web 2.0 sur trois lignes de produits d’IBM :– IBM Lotus Collections : la solution réseaux sociaux et de collaboration d’IBM dispose désormais d’une suite de cinq composants Web 2.0 ;
– IBM Lotus Quickr : un outil de travail collaboratif ;
– IBM WebSphere Commerce : pour l’intégration de contenu riche sur les sites d’e-commerce, avec de nouvelles fonctionnalités intégrées dans la solution WebSphere Commerce Web 2.0 Store Solution.
Merci Philippe pour le tuyau
Pour compléter ton information : IBM en avait fait l’annonce en janvier dernier à Orlando et en avril dernier, ici à Montréal : http://emergenceweb.com/blog/?p=130
Microsoft se lance elle aussi dans la mêlée : http://emergenceweb.com/blog/?p=201
Michel,
J’ai eu droit à une présentation presque complète des outils de Web 2.0 d’IBM. J’ai été assez impresionné. J’ai hâte de voir dans la réalité. Nous aurons une autre présentation en laboratoire au cours de juillet. De plus, nous essayons d’avoir certains de ces outils dans un pilote avec un petit groupe de personnes. À suivre…
« Pour les très grosses entreprises qui ont encore peur du code source ouvert, qui aiment payer pour ce qui est gratuit ailleurs ou encore qui ne jurent que par leurs intégrateurs »
–> C’est bien une remarque de prestataire ça 😉 ! Tu pourrais dire aussi :
Pour ceux qui n’aime pas le risque, qui n’aime pas les solutions aux supports inexistant, qui n’aime pas payer 40 prestataires à plein temps pour maintenir et faire évoluer de manière expérimentale un code source pas prévu pour.
He Dom, je ne suis pas prestataire dans le sens que je ne fait pas de Techno. Juste du conseil. Je n’implante et n’intègre rien et je ne fait pas de production. En outre, mon mémoire de maîtrise portait sur les Web services (dans le sens de SOAP, UDDI et. al.). Que le client choisissent une solution ou l’autre, je m’en fou… Je fais juste le conseiller