La limite des communications commerciales dans les réseaux sociaux

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La grande crainte des entreprises, lorsque viens le temps de songer à la communication médias sociaux (notamment avec le blogue qui domine toujours les médias sociaux) est d’être ensevelie sous une avalanche de commentaires. Tout d’abord, avant d’être rendue là, il va falloir que l’entreprise ait une force d’attraction hors du commun, ou qu’elle a réussi, à force de travail, de s’être forgé une communauté d’aficionados fidèles et intéressés, ce qui n’est pas une mince affaire. Comme dans le cas du forum de Cisco, dont j’ai parlé ici à maintes reprises, il est très possible que les lecteurs eux-mêmes deviennent des facilitateurs qui répondent aux autres, à la place de l’entreprise. C’est ce qui arriva dans le forum de Cisco et c’est l’argumentaire présenté dans le billet The Limit of Corporate Relations in Social Media, de Mediabadger, déniché chez ChrisBrogan.

Once you have a large audience with many people commenting and discussing, you become a “Broadcaster” since you are now communicating one to many. The laws of one-to-few or one-to-one change radically. Yet your audience or customers “expect” a personal response. So far, no Social Media tools really exist to enable that to happen, and likely never will. Since well, we’re all different and truly one-to-one requires an intimacy time just wouldn’t permit.

Is this a failing of Social Media? Is it really “Social Media” when you can no longer have a one-to-few “conversation” anymore? Not necessarily, since others can and do, take on the conversation from the original author or company, becoming advocates or enablers. The nature of the conversation changes, but it remains “social” and within a media. Splitting hairs? Perhaps.

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Commentaires

  1. bruno boutot

    Excellente question que se posent beaucoup d’entreprises mais elle est déjà résolue dans nombre de communautés.
    D’abord, il faut s’entendre sur la notion de “personne” et de “social media”. La seule solution pour toute communauté ou forum est d’offrir à ses membres une page personnelle où peuvent se retrouver toutes les participations de chacun. Si les membres n’ont pas d’identité et pas de mémoire, c’est peut-être un média, c’est peut-être social, mais c’est juste du bruit de fond, pas de la communication Web 2.0.
    Mais si les membres ont une vraie identité et une vraie mémoire, ils peuvent se parler entre eux. Je ne comprends pourquoi Crouch (et Brogan) s’excitent tellement sur “Is it really “Social Media” when you can no longer have a one-to-few “conversation” anymore?” Quand on participe, par exemple, à un congrès ou à une conférence, y a -t-il un seul instant où ce n’est plus “social”? Un conférencier – ou n’importe quel participant avec un micro – peut s’adresser à tous et/ou simplement aux 4-5 personnes qui l’entourent. Le congrès reste un “média”, toutes les interactions des participants dans des groupes plus ou moins nombreux restent “sociales”. Aucune différence sur le Web, au contraire: il est plus facile d’être “social” sur le Web en grand nombre que dans un congrès.