Statistiques Canada a rendu disponible cette semaine, les graphiques faisant état de la croissance soutenue du commerce de détail en ligne au Canada. Leurs infos sont disponibles dans le rapport Electronic commerce and technology 2006. On y apprend que ça fait déjà cinq ans que la croissance du commerce en ligne fracasse les deux chiffres. Le Web sert aussi d’outil de magasinage qui influera substantiellement sur les ventes hors ligne. D’ailleurs, les commerçants sondés confirment que leur présence Web permet d’aller chercher de nouveaux clients et de mieux coordonner les interactions avec les clients, fournisseurs et partenaires. Finalement, il est aussi intéressant de noter que la portion la plus importante des ventes en ligne canadiennes, sont issues du commerce B2B
Sales from business to business amounted to $31.4 billion, which represented about 68% of total e-commerce by private firms, unchanged from the year before. In 2006, 45% of Canadian firms made purchases online.
Pour ceux qui sont encore hésitant à magasiner ou acheter en ligne, je vous invite à visiter le blogue de La magasineuse, issue d’une jeune retraitée, Francine Jacques, ancienne journaliste du journal Le Canada Français. J’ai déjà eu le plaisir d’être invité en même temps qu’elle à la radio CKAC pour discourir de commerce électronique. C’est que la dame n’achète rien qui n’est pas vendu en ligne. Quand on parle d’aficionado ! Son nouveau blogue est donc une mine de ressources pour qui veulent acheter pratiquement n’importe quoi en ligne, au Canada.
Comment ne pas tomber en bas ma chaise en voyant, écrit noir sur blanc, cette invitation à faire notre magasinage sur le Web? C’est si rare.
Dommage, car les Québécois y gagneraient au change avec les aubaines en ligne, sans compter les économies en temps et en effort.
On peut d’ailleurs tout acheter, ou presque, sur la toile du Québec ou le Web marchand canadien. Il est également possible d’y faire du lèche-vitrine et comparer les prix ou les produits. Les adresses de cyber-commerçants fiables existent, il suffit de les trouver. C’est d’ailleurs à cela que la magasineuse s’emploie depuis un bon moment. On retrouve ces cyber-commerces à la rubrique «Mes Carnets d’adresses».
Et qui ne souhaite pas contribuer au maintien des emplois des gens de chez-nous! Pourquoi irions-nous encourager la cyber-économie américaine (pour plus de 33% des achats en ligne des Canadiens) et au surplus, payer des droits de douanes, taux de change et autres frais connexes?
Je te laisse maintenant Michel pour compléter au plus tôt ce billet sur mon blogue (idéalement, il en faudrait un par jour) et pour faire ensuite l’épicerie en ligne, chez mon IGA préféré. Ils vont même prendre le temps de téléphoner avant la livraison, au cas où leur cybercliente désirerait autre chose!
Merci et la suite… sur la magasineuse,
Francine
Beau placement de produit pour IGA et la Toile du Québec! C’est Foglia qui sauterait une coche…
Michel, je dirais à l’ami Foglia que ça fait assez longtemps que mon fric tombe dans la caisse d’IGA pour que je me sente libre de parler d’eux, en bien ou en mal.
Tu me répondras que justement, c’est là le principe de la patente, en parler.