L’industrie des TI est-elle schizophrène

Voici une opinion qui se raffermit de jour en jour. Pourquoi l’industrie des TI a t-elle cette fixation à parler de vol d’identité? Cette industrie est-elle schizophrène?  Le vol d’identité n’est pas un problème lié au Web. J’ai déjà dit que c’était de la faute des journalistes si on associait le vol d’identité au Web. Mais de plus en plus, je crois que c’est plutôt de la faute de l’industrie des TI elle-même si monsieur et madame tout-le-monde, croient que le vol d’identité est un phénomène Web. En fait, moins de 5% des vols d’identités se font sur le Web. 95% de ces vols se font dans vos poubelles, dans vos cases postales et dans votre récupération. Pourtant, à ma connaissance, jamais ces industries qui sont responsables de ces vols n’ont fait les manchettes avec ce fléau. Ils n’ont pas de comités sur le sujet, ne font pas de journées d’informations sur le sujet ou ne tiennent pas de colloques pour suggérer comment gérer ce problème. Alors pourquoi l’industrie des TI continue t’elle de crier au loup même si ces vols sont en décroissance constante au Canada depuis 3 ans? Est-ce que la portion de l’industrie qui s’occupe de sécurité et qui a avantage à créer des peurs est trop puissante? Je ne sais pas, mais je sais qu’en continuant d’alimenter la peur l’industrie des TI handicape grandement une autre portion non négligeable de son secteur d’activité, celui du commerce en ligne. Je trouve ça carrément schizophrène.

Scussez-la mais des fois je suis comme ça et je saute une coche…

Sécurité informatique et entretien de fausse peur

Entrevue Canal Argent sur le vol d’identité

Les criminels menacent la cyberéconomie? Non ce sont les journalistes qui le font

Primeur Marketing littéraire 3.0

Le monde de l’édition n’est pas connu pour son marketing internet des plus innovants. Cette donnée va maintenant changer grâce à la créativité et au flair marketing du copain Sébastien Provencher (c’est l’un des instigateurs de Praized). Sébastien étant quelque peu imaginatif, a décidé de donner un coup de main à sa conjointe Annie Bacon, auteure de son premier roman pour enfant. Elle est elle-même issue de la sphère Web, ayant travaillé chez Mon mannequin virtuel et petitmonde.com.

Son roman :

Le roman s'intitule « Les naufragés de Chélon », et c'est le premier volume de ce qu’elle j'aimerais être une série, et qui s'intitulera « Terra Incognita ». Ce sera une série d'aventure pour les 9-11 ans qui se passe à l'ère de la piraterie (18e siècle approx.) dans un monde similaire à celui de Gulliver ou de Sinbad, soit un monde terrestre réaliste, mais parsemé d'îles fantastiques. Le premier roman raconte l'histoire d'une dizaine d'enfants naufragés sur une île déserte, et des décisions qu'ils doivent prendre alors que leur refuge est menacé par l'éruption d'un volcan.

Le marketing littéraire 3.0

Le plaisir des petites maisons, c'est qu'elle te laisse beaucoup de liberté! Sébastien et moi avons donc pris sur nous de faire un peu de marketing en ligne. On s'est d'abord rendu compte, en achetant des url, que les romans jeunesses ne sont pas très présents sur le web. À preuve, nous avons acheté les url "romanjeunesse.com" et "romanjeunesse.ca" qui étaient libre!

C'est alors que Sébastien a eu l'idée du Machinima, médium dont il avait déjà entendu parler, et a activé son réseau pour trouver un fournisseur, Via Linkedin. (…)

Forte de mon expérience en jeux vidéos, j'ai fait le story-board de la bande annonce. Celui-ci est d'ailleurs, dans sa structure, bien plus proche des « trailers » de jeux vidéos que des « previews » de film! À mon grand plaisir, seules une ou deux scènes ont du être retravaillées pour cause de complications technologiques (il semblerait que les personnages de Second Life ne tirent pas du lance-pierre!). (Notre fournisseur) nous a même fait une île-volcan sur mesure pour servir de décor!

En plus de compter sur la bande annonce, la stratégie marketing du livre comprend un site Internet, un groupe Facebook ainsi qu'une page MySpace.