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Le Web 2.0 est une avenue prometteuse pour les retombées commerciales de nos entreprises?

C’est le débat que j’entreprends demain avec le collègue stratège de la Fédération des Caisses Desjardins Mohamed Kahlain, dans le cadre d’un petit déjeuner de l’AMMWeb. Malheureusement, il semble que cela soit déjà complet, mais pour les retardataires qui veulent en savoir plus sur ma position (je suis convaincu qu’il y a d’énormes retombés d’affaires) vous pouvez télécharger mon introduction qui s’intitule Qu’est-ce que le Web 2.0 (PDF).

4 réflexions sur “Le Web 2.0 est une avenue prometteuse pour les retombées commerciales de nos entreprises?”

  1. Interessantes slides.

    Je suis un peu perplexe sur quelques points. Pas besoin d’y repondre.

    1/ *Controle* d’une base de donnee -> Web 2.0 implique diffuser une partie de l’information de la BD pour fournir de la valeur ajoutee.

    2/ Les exemples fournis, MySQL, Linux, RH (un peu redondant), apache (implicitement httpd), comme codeveloppements sont des infrastructures et non des exemples de collaboration entre outils.

    3/ Utilisation de l’effet multiplicateur : interessant (faire parti -> faire partie)

    4/ Merryl Lynch – la notion d’integration predate le Web 2.0. Utiliser le Web 2.0 implique comme tu dis des interfaces legeres, mais il n’y avait surement rien de leger.

    Comme je te l’ai dit, c’est a prendre ou a laisser.

  2. 1- La citation est : »Le contrôle d’une base de données unique, qui s’enrichit à chaque utilisation et usager supplémentaires  » en d’autres mots, Amazon est parti de la BD ISBN et l’a enrichi de l’input de millions d’utilisateurs. Aujourd’hui, les libraires du monde entier se réfèrent à la BD d’Amazon plutôt qu’à l’ISBN pour savoir si un livre existe, s’il est bon et quels autres livres sont dans le même courant. La BD d’Amazon est tellement une référence que Barnes & Noble ne pourront pas les rattraper de si tôt…
    2-L’idée est le codéveloppement du code par les utilisateurs et la communauté de geek de même que le codéveloppement commercial par cette communauté qui pousse les produits auxquels ils s’identifient et partagent les valeurs, en d’autres mots, le mouvement open source
    3-merci pour les coquilles
    4-Pour Merryl Lynch, il s’agit d’intégration Web Services eh oui aussi légère qui fait parti des observations de ce qu’est le Web 2, dans le sens de ce qu’observe O’Reilley. Voici la référence http://www.infoworld.com/cgi-bin/fixup.pl?story=http://www.infoworld.com/articles/op/xml/02/08/19/020819opnoise.xml&dctag=webservices

  3. Sur une note un peu moins sceptique, voici le courriel d’Yves William:

    Bonjour Michel,

    Pour compléter la « préparation » de tes lecteurs à ta « causerie » de demain, j’ai mis deux vidéo sur le web 2.0 sur mon blogue :

    http://www.yveswilliams.com/blogue/2006/10/31/web-20-cours-dintroduction-101/

    J’aurais bien aimé y être mais les petits déjeuners, ce n’est pas toujours évident avec de jeunes enfants…

    Bon débat….

    Yves Williams, Président
    Netsym communication inc

  4. 1- Je n’ai pas ete clair. Mon commentaire pour Amazon etait sur le terme « controle ». Justement, le sens de controle d’une BD utilisateur dans un contexte traditionnel et Web 2.0 est different. Traditionnellement, la BD utilisateur representait de l’information controlee avec aucun acces externe (donc cachee), dans le 2.0, elle est utilisee pour creer de la valeur. Le terme « controle » dans ces 2 contexte est different.

    2- Je ne comprends pas ton commentaire. Les exemples de developpements OS que tu mentionnes sont finances majoritairement par des companies ou par de la consultation. Le Web 2.0, tout comme le Web pre2, est un phenomene inclusif pour permettre a des non-informaticiens de programmer. Mais, peut-etre que je ne saisi tout simplement pas la nature de la relation de la nature de codeveloppement.

    3- Pas de pb 🙂

    4- Pour faire du SOA via WS, il y a peu de situations ad hoc. La raison d’etre du SOA est un besoin d’interop dans un environnement heterogene, donc il implique une multitude de standards qui peut couter tres cher (e.g. implementation, formation du personnel). C’est loin de la philosophie du Web 2.0.

    de ton article:
    « Merrill Lynch was able to accomplish an application integration project originally priced at $800,000 for $30,000 »

    Tu n’es certainement pas serieux. En 2002, le hardware et la plateforme aurait coute autant et j’exclus la main-d’oeuvre. C’est impossible ne peuvent pas être les chiffres réels, ils ont du etre « interpretes ».

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