Commentaires potentiellement diffamatoires de la saga Ste-Adèle

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En fouillant un peu, voici des commentaires potentiellement incriminants et diffamatoires du blogue de monsieur Bérard, dans la continuité de la saga de Ste-Adèle :

http://bloguenotes.blogspot.com/2006/10/lettre-au-maire-de-sainte-adle.html#comment-116077137526164747

http://bloguenotes.blogspot.com/2006/10/modration-des-commentaires.html#comment-116000517855768366

http://bloguenotes.blogspot.com/2006/10/modration-des-commentaires.html#comment-116001172643490931

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Commentaires

  1. philippe.paradigma

    Hou là là, ça sent mauvais tout ça.

  2. Administrator

    C’est pourquoi je suis heureux d’être modéré dans mes remarques et le traitement de cette affaire. Par contre, la question intéressante et potentiellement nouvelle en matière légale, est de savoir la responsabilité d’un blogueur pour les commentaires laissés par quelqu’un d’autre. Il a sans doute un certain devoir de vigilance, mais si les commentaires ne sont pas modérés par défaut, qu’en est-il? Se doit-il de dénoncer le libelle qui peut apparaître? Je ne suis pas juriste et je doute fortement qu’il y a jurisprudence en la matière. C’est tout de même un beau cas d’espèce et je continue de croire que la chose aurait et peut être géré différemment que par la voie judiciaire. M’enfin … on verra bien la suite des choses.

  3. mroussin

    C’est, vu de France un peu triste de voir une commune de ” la Belle Province” réagir de manière si stéréotypée

    En effet la réaction de la commune est diffusée de la même manière quelque soit le médium ou le blog cible (erreur de communication de crise je ne saurais le dire) mais tactiquement c’est impardonnable .

    En France il y a aussi des procès entre blogueurs et mairies , nous sommes loin d’être parfait mais je dois vous avouer que je ne connaissais pas Sainte Adèle avant la réaction du magistrat de celle ci

    et ma première impression (peut être à tort) est que si je dois faire un saut au Canada ce n’est pas forcément la bas que j’irai

    my two cents from France

    Michel Roussin