Il y a deux semaines, je rencontrais Josée Blanchette, célèbre chroniqueuse au journal Le Devoir et je vous en parlais dans mon billet De la transparence, de la mise en scène et de la perte de contrôle. Je vous y expliquais ce que madame Blanchette nomme « off the record ». Je viens de lire le portrait de Josée (nous sommes devenues amies d’abord dans Facebook, puis dans la vraie vie grâce à cette rencontre), Michelle ma belle… sont des mots qui vont très bien ensemble. Et j’en suis très, très touchée. Je ne peux m’imaginer un futur portrait qui soit plus attendrissant. Le sujet de ma condition et de ma personne vient d’être traité comme il ne pourra plus jamais l’être. Tout (ou presque) a été dit et il sera bien difficile (voire impossible) à un autre journaliste d’imaginer traiter ce sujet de nouveau. Je vais garder précieusement cette chronique et m’y référer durant les moments de blues. Josée, te dire MERCI ne représente qu’une infime portion de la reconnaissance que j’ai…
La conférence dont Josée parle « Sauvons le Journal de Montréal » est disponible dans mon billet Webdiffusion de ma conférence sur l’avenir des médias.
Michelle,
Oui, un portrait de vous qui est allé au delà des apparences. Mais surtout, elle a mis des mots sur toutes sortes de sentiments qui m’habitaient quand je vous ai rencontrée. Je retiens « son franc-parler typiquement yang allié à la sensibilité yin « , « trouver la passion « , »ne se laise pas arrêtée par le consensus ambiant, les étiquettes » et enfin, « visionnaire », « conférencière un rien baveuse »…
J’ai été émue par la conclusion « permettre à la seule femme qui compte de vivre… » à savoir vous….
Tous les êtres humains n’ont pas ce courage de se choisir.
Très beau et bon portrait d’une grande journaliste, en effet! 🙂
J’ai la larme à l’oeil! Beau texte, en effet.
On peut dire qu’elle a de l’écoute pour comprendre tant de choses en une rencontre. Mais, comme le sujet ne joue pas de jeu, ça aide.
Commentaire frivole: très jolie jupe qui te va à ravir 🙂
Wow! Très touchant (je suis jalouse de l’écriture de cette femme!). En effet, il n’y avait qu’elle je crois pour écrire un portrait si authentique.
La première fois que j’ai su que vous existiez, c’est lors de votre apparition à Tout Le Monde en Parle. J’ai été flabergastée ! J’veux dire, vous n’êtes pas une inspiration, vous êtes un coup de pied au c*l pour n’importe qui, tous genre confondus, mais pour nous, femmes de ce monde.
Depuis ce temps, je vous suis, je vous lit. Vous m’apporter de l’espoir et me pousser à combattre.
Et là, cerise sur le sundae: le texte de Josée. Le lire est troublant, le relire est réconfortant. Merci d’exister, à vous deux, et de nous permettre de nous inspirer de votre force.
c,est un portrait qui est tout à votre honneur, je crois bien!
Je n’avais pas encore pris le temps de le lire, c’est maintenant chose faite. Ça prend du talent pour bien raconter, utiliser les bons mots d’une façon simple, efficace, touchante.
Excellent texte! Une belle rencontre.
Bonjour Michelle,
Voilà un excellent article que Mme Josée Blanchette a écrit à ton propos. Non seulement c’est tout à ton honneur, mais je suis très heureuse pour toi!
Amitiés,
Chantal
Un portrait sympathique, pudique, touchant et inspiré comme seule Josée Blanchette pouvait le faire pour une femme hors du commun. Merci d’être la femme inspirante que tu es.
josée je ne sais rien c est comme une lettre a la mer d abord vous remercier de m avoir fait connaitre tv repere tv vous voir en compagnie de languirand me charme de plaisir merci josée je suis un vieux a qui sa fille le fait de boire dérange au pointque j ai recu un appel d une dame qui voulait pour mon bien me rentrer dans maison de thérapie