Pour pouvoir marcher la tête haute de nouveau, stop au #lynchagepublic

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Au Pilorie

Source de la photo : https://en.wikipedia.org/wiki/Online_shaming#/media/File:Pillory_9105377.jpg 

 

De s’expliquer sa douleur, ça fait déjà moins mal et de dénoncer et de vulgariser, ça a le mérite de lentement conscientiser.

L’objectif de ce texte est de vous faire comprendre une portion des ravages de ce que l’on nomme le #Lynchagepublic (public shaming). Des hyperliens sont disponibles en fin de texte. Ce lynchage public est très certainement involontaire ou plutôt inconscient. Autant les internautes que les journalistes (en excluant les trolls qui en sont le carburant), participent à une mascarade d’accusations, tirées de bribes de contenus circonstanciels. Ces bribes sont fournies aux journalistes par des activistes numériques idéologiques dans ce qui est documenté aux USA comme étant des tactiques d’une culture de dénonciation « call-out culture ». J’ai été victime de ce phénomène social, web et médiatique et je le suis encore. Je souhaite que les prochains candidats politiques soient exempts le plus possible de ces plaies et qu’on s’intéresse plutôt aux idées, programmes et solutions. Je suis une rêveuse il faut croire…

On a souvent mentionné mon authenticité, mon expertise et ma soi-disant grande gueule. On a même déjà dit que j’étais un livre ouvert. Pourtant…

Les gens ont l’impression que si je partage cinq minutes de ma vie, ils savent tout sur moi. Ils n’ont cependant aucune idée de ce que je fais des 23 heures 55 minutes du reste de ma journée. Cette proximité et cette authenticité, de même que la quantité volumineuse de mes contenus en ligne, qui vont du badin, comme le partage de ma fameuse sauce aux saucisses, au très sérieux  le plan numérique du Parti Québécois, sont ma marque de commerce. C’est un moyen de permettre aux gens de s’identifier à moi et de m’humaniser (je ne suis pas qu’une freak du numérique). Ça permet aussi de vulgariser des sujets technologiques d’importance, qui bouleversent et bouleverseront notre société. Mais ça aura aussi été mon talon d’Achille. On s’est servi d’une très infime partie de mon corpus, pour l’utiliser hors contexte et me faire dire n’importe quoi.

En fait, depuis un an, je me censure beaucoup. Je continue de partager ma veille en temps réel et j’ai bien écrit quelques billets sur mon blogue. Mais depuis la dernière élection provinciale, je ne suis plus la même. J’ai écrit un très long billet faisant état de ce que j’ai vécu lors de cette campagne et durant les mois qui l’ont précédée. Mais je ne l’ai jamais publié. Je me suis autocensurée. C’est que mes potes avocats, spécialistes de relations publiques ou de la politique, m’ont fortement suggéré de me fermer la gueule. Selon eux, de parler ne ferait qu’alimenter la controverse, qu’elle soit véridique ou pas, et ne ferait que repousser le moment de la reprise économique pleine et entière, de mes entreprises qui ont souffert de ces nombreux reportages, caricatures et viles accusations. J’ai donc une très forte notoriété populaire, à titre de « transsexuelle colorée qui dit n’importe quoi sur les médias sociaux et qui met son parti dans la marde ».

J’ai été très largement calomniée par les médias nationaux durant la campagne électorale provinciale 2018 et je ne me suis jamais défendue. Durant la campagne, j’ai été une bonne soldate et je n’ai rien dit comme me le demandait le parti. Il fallait laisser le spot au chef (que je remercie de m’avoir défendue et de ne pas m’avoir fait l’outrage ultime de m’éjecter de la campagne, malgré l’énorme pression qu’il a subie). Puis après la campagne, on m’a fait comprendre qu’il était suicidaire de s’attaquer aux journalistes qui ont tendance à se protéger et à s’alimenter entre eux. Je me suis donc tut.

Moi qui ai idéalisé et co-produit le Webothon Haïti pour amasser des sous et aider à la reconstruction après le tremblement de terre, qui aide et donne à De Gamma, qui trouve des emplois aux nouveaux arrivants, qui a été honorée par MédiaMosaïque ( valorisant la diversité dans les médias), qui a été commanditaire du Black Theatre Workshop et du Montreal Jubilation Gospel Choir alors que j’étais à la direction marketing de ABC Sonorisation, qui est ami, qui a des clients et des stagiaires d’une multitude de gens d’origines ethniques différentes, je serais raciste, islamophobe et antisémite? D’ailleurs, un certain lundi, grâce à CIJA, j’avais été invitée à un cocktail avec le consul israélien à Montréal (auquel je n’ai pas participé de peur qu’on m’accuse de prendre parti pro-Israël en période électorale, parce qu’une de mes opposantes étant d’origine libanaise), et selon les médias et le B’nai B’rith, le vendredi suivant j’étais devenue antisémite. Ce, malgré les commentaires positifs à mon égard de CIJA avec laquelle je collaborais.

L’une de mes spécialités est la gestion de crise médias sociaux et on faisait les gorges chaudes à dire que j’avais été en crise durant toute la campagne. Au Bye-Bye 2018 on me présenta comme la bouffonne des médias sociaux qui passe ses clients au travers les murs. Lors d’un certain Tout le monde en parle, une critique politique réputée disait que la pire gaffe du PQ lors de la campagne était de m’avoir recrutée comme candidate. Encore il y a deux semaines, The Gazette, dans un éditorial fustigeant la laïcité du PL-21, donnait de nombreux exemples de soi-disant racisme québécois, dans lesquels mon nom apparaissait encore. Et cette fin de semaine encore, Radio-Canada en remettait une couche elle aussi.

Mon honneur, mon intégrité morale, mon sens de la justice et mon nom ont été largement et sont encore bafoués. Ça a eu pour effet de nuire profondément à mon sommeil, à ma santé, à ma quiétude, à mon humeur et même à ma stabilité émotionnelle. Je me suis découvert, depuis, des comportements colériques qui ne me ressemblent pas. Lorsque je conduis ma voiture ou dans la vie de tous les jours, je ne suis plus la même. Des peccadilles qui nous arrivent à tous, peuvent parfois me faire perdre mon sang froid. Cette colère est en fait le couvert qui est mis sur ma profonde tristesse, pour m’en protéger, d’avoir été ainsi indûment calomniée. J’ai vécu une profonde injustice au nom de la « liberté de presse » d’avoir eu le culot, moi, une « égérie de ces vilains médias sociaux » et une « femme transsexuelle », de me présenter en politique pour ce que je croyais être le bien de ma société. J’ai travaillé d’arrache-pied pour développer un plan numérique dont on n’a pratiquement pas parlé, préférant plutôt, reprendre des contenus hors contexte, qu’alimentaient deux trolls d’extrême-gauche aux journalistes. Ironiquement, depuis les derniers mois, les scandales de l’infonuagique du gouvernement, de vols d’identité, de fibre optique et même dans une certaine mesure, de l’adaptation des médias au numérique, étaient abordés dans ce plan numérique devenu invisible.

J’ai tenté d’exprimer mon désarroi à certains amis qui me disaient immanquablement, je t’avais prévenu que la politique c’était un abattoir. Tu savais qu’ils te déchireraient, pourquoi venir te plaindre? Alors c’est ça. Si tu fais la folie d’aller en politique, attends-toi à devenir médiatiquement un trou de cul et tu n’auras que toi à blâmer. Si on te traite de tous les noms sur les médias sociaux en citant les médias traditionnels, ce sera la faute des méchants médias sociaux. Si jamais tu fais une dépression, que tu te tires une balle dans la tête, que ton couple explose, que ta famille soit tourmentée, que les résultats de Google continuent de propager les calomnies des années après ou que tu disparaisses, ce sera bien fait puisque selon « l’opinion des chroniqueurs et les « faits » tronqués des journalistes » tu méritais sans doute tout ça et ce sera un bon débarras.

Ironiquement, les journalistes et chroniqueurs se gargarisent que les partis n’ont plus d’idées et que les politiciens font jouer « la cassette ». Mais lorsque les idées sont présentées, ils n’en parlent pas et ils font tout pour que les novices deviennent des cassettes ambulantes. On m’a aussi suggéré de poursuivre en diffamation l’un de mes trolls. Je devrais payer un $30 000 pour peut-être gagner contre quelqu’un d’à peine solvable. Je pourrais aussi faire de nombreuses plaintes au « tribunal d’honneur » des journalistes, le Conseil de Presse, et me battre des mois durant, pour peut-être avoir la satisfaction « qu’un blâme », leur soit donné. J’ai vécu une situation scandaleuse, dégueulasse, d’une malhonnêteté intellectuelle aberrante et mes recours sont de prendre mon trou et de vivre avec.

J’ai beau être résiliente, mais c’est tough en tabarnak. Mon amour a beau m’aimer, mais c’était déjà extrêmement pénible pour elle d’être témoin de toute cette médisance et c’est difficile en maudit d’angoisser sur ce que je pourrais dire et comment cela pourrait être interprété et quel impact catastrophique ça pourrait encore avoir sur ma vie, ma santé ou mon chiffre d’affaires. De continuer de me fermer la gueule et d’être témoin des calomnies continuelles m’est insupportable et d’en parler pourrait être suicidaire. Je suis retournée voir l’un de mes anciens psychologues qui a déjà lui aussi été très médiatisé. Il comprend ma douleur. C’est déjà ça. Mais il ne sait quoi me dire de ce dilemme kafkaïen.

Au moins mes anciens clients connaissent ma valeur et sont outrés de la couverture médiatique nationale que j’ai reçue. Une chance que l’expertise que je leur offre, ainsi que ma réputation professionnelle soit si bien établie, parce que je n’ose penser ce qu’il pourrait advenir aux autres personnes ayant vécu une situation semblable et qui n’ont pas ma chance.

Je me relève les manches et je continue de foncer. Mais je ne serai plus jamais la même. On dit que pour faire de la politique, il faut avoir les reins solides. Or, je subissais une néphrectomie radicale du rein droit le printemps dernier. Il faut croire que je n’étais pas faite pour ça. Via une certaine médecine alternative qui prétend que « le mal a dit », on pourrait croire que mon corps me parle mais, qui est vraiment fait pour se faire chier dessus de manière si intense pour avoir osé vouloir améliorer la vie de ses concitoyens?

Certains disent que les médias sont le dernier rempart de la démocratie. J’ai plutôt l’impression qu’ils en sont parfois devenus le premier mur… Un adage dit que « nous avons les politiciens qu’on mérite ». Je pense que de plus en plus, nous avons plutôt les politiciens sur lesquels les médias s’acharnent le moins… Les idées, bof, on s’en fout. C’est trop compliqué et ça ne fait pas assez de clic et de clip…

P.-S. Avant la course, le PQ perdait trois conseillers et on titrait « Le PQ en déroute ». Le parti Libéral lui, perdait vingt ministres et députés. Le titre était « Le PLQ se renouvelle ». Ça donne juste une petite idée du traitement des « faits » et de cette sacro-sainte neutralité journalistique disons…

P.-S. 2

Hier j’ai mis ce statut en ligne :

Voici des statuts Twitter sans contexte de journalistes très connus. J’espère qu’ils ne se lanceront jamais en politique… Bien que j’ai des copies d’écrans de tout, je ne les nomme pas pour ne pas inciter au #lynchagepublic. Détruire des réputations, ce n’est pas mon fonds de commerce.

Sur Twitter, ces journalistes ont déjà écrit

• asshole,
• Hitler était un bon gars aussi, au fond, les trains arrivaient à l’heure sous les nazis, injuste qu’il n’ait pas de statue… Right?
• Je viens de rouvrir Twitter. Je peux-tu juste dire : hosties de tabarnak de calisse d’hostie de christ de débiles d’islamistes de sacraman
• À une semaine de Noël, on se cotise et on paie un aller simple à tous ceux, les barbus surtout, qui détestent le Québec. Get the fuck out.
• Yeah you’re right. fuck these frogs.
• Pourquoi dire « la fillette » ? C’est quoi le but ? Parce que Therrien est gay ? S’il était noir, dirait s’tie d’nèg ?
• j’oubliais qu’Obama est un communiste téléguidé par l’islam radical pour detruire les Usa de l’interieur!
• The #STM driver of the 161 westbound Van Horne bus is an asshole who wouldn’t wait 10 seconds for the light to change for a pregnant woman.
• I was a fuck up in college so I tried working for a living
• Ceux qui dissent qu’il n’y a pas de problèmes à dire « mongol » : on peut donc dire fif, plotte et nègre maintenant? Ben coudonc…
• These people that died in mass shooting, do they make political donations? No, fuck’em then.
• RDI va évidemment en pause publicitaire ! Sublime d’efficacité! #caca
• Hier, j’ai reçu en cadeau du caca d’éléphant sauvage #Ganeshpuri #inde #prisavecuneestiedegrossemottesèche
• En effet, super bon livre… Va être dur à battre. Mais l’homme blanc de GG va rencontrer mon « Nègre » !
• Nègre, cachez ce vilain mot
• #CEIC … Mon sacromètre est en train d’exploser. #tabarnak #Câlisse #osti #wongwong

OBSERVATION:
Ne faites pas le même jeu que ces journalistes. Vous ne connaissez rien du contexte de chacun de ces statuts et de crucifier des gens pour des statuts hors-contexte, c’est ça qui va trop loin et que je dénonce…

MAJ

Pour illustrer le ridicule du procédé journalistique de #Lynchagepublic, voici dans son intégralité, la Conférence de presse du Parti Québécois sur le Plan Numérique, septembre 2018. Vingt-quatre minutes de questions dont seulement deux, portent sur le plan numérique qui était présenté. À partir de 27.17

 

Quelques hyperliens choisis.

NYTimes: The Cruelty of Call-Out Culture How not to do social change.

Sociallite: THE PERILS OF PUBLIC SHAMING, CROWD PSYCHOLOGY & SOCIAL JUSTICE

Psychologietoday: The Impact of Public Shaming in a Digital World
How humiliation tactics are being used and confused for activism.

ReutersInstitute: media and public shaming drawing the boundaries of disclosure

Salon.com: Fake news and online harassment are more than social media byproducts — they’re powerful profit drivers

Pew Internet: Stories From Experts About the Impact of Digital Life
While many technology experts and scholars have concerns about the social, political and economic fallout from the spread of digital activities, they also tend to report that their own experience of digital life has been positive

Glenn Beck: Journalists are ceding their roles to the SJW mobs and are paying the price

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Commentaires

  1. Pierre Longpré

    Michelle

    Est-ce que je peux vous aider ?

  2. Michelle Blanc

    Partager ce billet m’aidera beaucoup et participera à la conscientisation qui devient de plus en plus essentielle

  3. Nadia Levesque

    J’ai été approché quelques fois, j’y ai pensé et voulu me lancer quelques fois mais provenant de ce milieu, je savais le prix à payer et j’ai toujours fini par refuser de faire le saut; par amour propre et pour l’amour des miens qui n’auraient pas manqué d’en payer le prix. J’ai eu beaucoup d’admiration pour votre campagne, j’ai lu et analyser avec beaucoup d’intérêts votre plan numérique pour le Québec et je demeure convaincu que vous avez une expertise et une expérience majeure à offrir au Québec dans le domaine mais comme vous, je constate le désintérêt des gens pour les faits au profit des « scandales » fabriqués ou réels. Chapeau madame, votre voix a été entendu 🙂

  4. Michelle Blanc

    Merci madame Lévesque

  5. Guylaine Desbiens

    Je suis atterrée parce que vous avez subi.En suivant les campagnes électorales depuis longtemps, le biais des médias à l’encontre de ceux qui sont hors du cadre ou simplement indépendantistes est tellement évident.

    Je souhaite de tout mon coeur que cette épreuve se transforme un jour en forces vives pour vous permettre de continuer votre vie dans la joie.Amitiés

  6. Michelle Blanc

    merci de vos bons mots Guylaine

  7. Leclerc Michel

    Madame, je me fous de ce que vous êtes ; je m’intéresse à ce que vous faites. Le Québec a besoin de gens compétents.

  8. Nicole Moreau

    j’avais lu quelques articles sur vous lors de la campagne électorale et je pressentais les difficultés que vous pouviez rencontrer, mais je n’aurais jamais crû que vous ayez dû affronter autant de mesquineries de la part du milieu des médias.

    j’imagine que tout ça tient aussi de votre position en faveur de la laïcité lors du débat sur la Charte présentée par Bernard Drainville, votre position était étoffée et très courageuse.

    bon courage pour la suite des choses, je suis de celles qui croient en votre grande expertise.

  9. Guy Audet

    Merci beaucoup Michelle d’avoir pris le temps d’exprimer cette colère et cette frustration tellement justifiées! De vous dire que vous avez totalement raison ne vous apportera sûrement le baume qui permettra de diminuer la douleur qu’on vous a infligée. Je ne sais pas quoi en penser… Doit-on abdiquer et laisser la place à tout ce mépris? Doit-on persévérer et être crucifié sur la place publique pour peut-être une majorité qui n’en a rien à foutre? Je suis un idéaliste mais qui s’éteins peu à peu en constatant que la stupidité l’emporte plus souvent qu’à son tour. Merci d’avoir voulu améliorer les choses et sincèrement désolé que vous ayez à en payer le prix fort!

  10. Lise Parent

    Michelle, merci d’en parler et de continuer d’en parler. Ce type de lynchage a non seulement un effet d’intimidation et de castration, mais c’est aussi le poison du monde : chacun se referme dans son silo, s’atomise, se pixelise et nous perdons ainsi ce qui fait notre humanité, à savoir la capacité d’interagir pour mieux agir (soit le monde). N’oubliez pas que nous sommes aussi plusieurs à vous apprécier et à vous aimer.

  11. Michelle Blanc

    merci Lise

  12. Agathe Lamontagne

    Marcher la tête haute,veut aussi dire avoir la colonne vertébrale solide!
    Bravo pour rester debout!

    J’ai presque terminé la lecture du livre de Hillary Rodham Clinton; Ça s’est passé comme ça, publié en 2017.

    Vous êtes toutes deux des femmes admirables ayant vécu d’horribles conséquences pour des communications véhiculées dans les journaux et amplifiées dans les médias sociaux par des personnes manipulatrices qui ne cachent souvent même pas leurs agendas personnels.

    Leurs objectifs personnels les privent d’un jugement ils posent des gestes nuisibles et dangereux pour la démocratie et le bien être de leurs concitoyens.

    Heureusement qu’il y a des personnes droites et compétentes comme vous pour nous prémunir des futures guerres qui seront dorénavant menées sur le planète Web. Merci de continuer à partager votre savoir!

  13. Michelle Blanc

    Merci de ce très gentil, et j’ose ajouter pertinent commentaire chère Agathe.

  14. Francine

    Chère Madame Blanc,
    La mauvaise foi journalistique est nettement en contrôle de la soi-disant information depuis longtemps et ça n’ira pas en s’améliorant malheureusement! Il faut vendre de la copie, il faut des cotes d’écoute et au diable l’intégrité des personnes attaquées !! Avec les réseaux d’information en continu,il faut de la “nouvelle”, n’importe quoi;il faut la travailler de sorte qu’elle fasse réagir, pour pouvoir en reparler demain, et après-demain on va y revenir encore un p’tit peu….jusqu’à plus soif !
    Nos journaleux, commentateux et chroniqueux du dimanche donnent finalement raison à Trump de se méfier d’eux…
    Poursuivez votre route, les gens sains d’esprit voient clair et savent bien qui vous êtes et connaissent votre grande valeur !
    Que du bonheur pour vous chère Michelle!!
    (avec un gros HUG !!) xx

  15. Michelle Blanc

    merci Francine

  16. eroprofile

    Violences contre Michelle Blanc : La horde des aboyeurs autour du petit inspecteur : une epidemie de peste noire ! Pour pouvoir marcher la tete haute de nouveau, stop au