Conférence Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et être intéressant, plutôt qu’intéressé

Depuis quelques années déjà, je parle de la massive fraude publicitaire numérique qui détourne des milliards de dollars des budgets publicitaires des entreprises, pour enrichir les fraudeurs. Je rappelle que Procter & Gamble a coupe $200M de son budget de publicité numérique, sans que cela n’affecte ses ventes. Y a t-il un problème? Oui, il y a un méchant problème. Mais que peut faire une entreprise si elle n’investit plus dans Facebook et Google qui accaparent à eux seuls la grande majorité des budgets marketing? Elle peut faire du marketing de contenus.

Je rappelle aussi qu’un billet de blogue a une durée de vie de 2 ans alors qu’un statut Facebook a une durée de vie de 2 heures. Je pose aussi la question à savoir pourquoi 75 000 personnes vont faire un tour et payent pour visiter St-Élie-de-Caxton. C’est un village tout à fait ordinaire qui a trois particularités. Une traverse de lutin, un arbre à paparmane et le conteur Fred Pellerin qui a fait rêver les Québécois avec ses histoires toutes plus abracadabrantes les unes que les autres. Il les a fait rêver et les gens se bousculent pour aller ne rien voir et sont heureux de ce qu’ils y voient. Là est toute la magie du marketing de contenus.

Il est très possible de parler d’autres choses que strictement de son entreprise et de ses produits et services (narcissisme communicationnel) et de devenir intéressant plutôt que d’emmerder les internautes/consommateurs avec votre petit « moi » corporatif.

Comment des entreprises comme Lego, Costco, Chasseurs d’épices, Dime Mtl ou Tourisme Terre-Neuve ont-ils réussi cet exploit? Comment Dessins Drummond, Le Festival de Jazz ou Juste Pour Rire sont-ils devenus des sujets? Là est toute la question et en prime, pour certaines de ces entreprises, leur marketing est maintenant une source de revenus plutôt que de dépenses.

Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et être intéressant, plutôt qu’intéressé

La publicité numérique n’est plus ce qu’elle était et le ROI n’est plus au rendez-vous.
-Comment pouvez-vous rejoindre vos clients et les intéresser intelligemment?
-Quels sont les endroits à privilégier si vous voulez faire de la pub?
-Comment être intéressant, plutôt qu’intéressé dans vos communications numériques?
-Comment assurer la pérennité de vos investissements et de vos contenus sur le web et est-il possible que votre marketing devienne une source de revenus plutôt que de dépenses?

Voilà certaines des questions qui seront soulevées dans cette conférence. En outre, de nombreux exemples québécois et international de marketing de contenus efficaces et rentables seront présentés.

Céline Rousseau
Directrice marketing chez Tourisme Centre-du-Québec

Comme toujours, Michelle sait faire réfléchir son auditoire. Nous avons eu le bonheur de la recevoir comme conférencière alors qu’elle nous entretenait sur “Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et d’être intéressant, plutôt qu’intéressé” et tous sont unanimes : Wow! On en veut plus!!! Les questions fulminent, le cerveau est en ébullition, la réflexion est à son comble. Les participants sont motivés au maximum et nous demandent quand aurons-nous le privilège de la recevoir de nouveau.

Merci Michelle et à bientôt!

 

Conférence : Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et être intéressant, plutôt qu’intéressé

C’est mercredi après-midi, après l’AGA de Tourisme Centre-du-Québec que je donnerai la conférence Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et être intéressant, plutôt qu’intéressé. J’y expliquerai comment la publicité numérique est devenue le plus payant et grand crime internet non criminalisé. Je donnerai des exemples d’alternatives à cette forme de publicité, dont le marketing de contenus qui permet une pérennité de vos investissements et qui pourrait devenir particulièrement lucratif à la fois. La conférence se terminera avec des exemples illustrant comment on peut être intéressant plutôt qu’intéressé afin de conquérir ses publics/clients.

 

Comme c’est mon habitude, vous trouverez le PPT de ma conférence plus bas.

 

Pourquoi devriez-vous accepter des gens que vous ne connaissez pas sur LinkedIn?

Effet Réseau
(Source: Wikipedia https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_de_r%C3%A9seau#/media/Fichier:Network_effect.png )

Lors d’un récent cours de marketing numérique au MBA de l’Université de Sherbrooke, j’ai montré à mes étudiants comment je faisais une demande systématique à tous ceux qui venaient voir mon profil LinkedIn. Une de mes étudiantes, une brillante spécialiste de la gestion du changement, me fit part de son désaccord. Elle me disait qu’elle préférait avoir un réseau de contacts de gens qu’elle avait déjà rencontrés et qui représentaient « la cible » des gestionnaires qui pourraient éventuellement avoir besoin de ses services ou qui pouvaient lui être utiles si jamais elle avait besoin d’un avis de « son réseau ». Elle fit valoir que la qualité d’un réseau était plus forte si on discriminait à l’entrée des gens qui en ferait partie. C’est un argument très commun qui est d’ailleurs cautionné par LinkedIn qui suggère :

Nous vous conseillons vivement d’accepter uniquement les invitations à se connecter des personnes que vous connaissez dans la mesure où les relations de 1er niveau ont accès aux informations affichées sur votre profil.

Un autre argument qui est souvent présenté, est que vos renseignements personnels ont de la valeur et que l’accès à votre réseau personnel devrait être protégé des malotrus qui pourraient vouloir s’en servir pour vous faire du tort ou pour vous voler des clients. Ça pourrait aussi vous protéger de recevoir du spam de vendeurs qui pollueront votre boîte de messagerie. Tous ces arguments sont intéressants et vous ferez bien ce que vous voudrez de votre compte LinkedIn et si cette stratégie est satisfaisantes et sécurisantes pour vous, pourquoi pas!

Mais vous me permettrez d’être profondément en désaccord.

Pourquoi devriez-vous vous connecter avec des inconnus?

Tout d’abord, il est important de noter que LinkedIn est une entreprise dont le modèle d’affaires est entre autre de faire payer les usagers pour avoir plus d’accès aux autres membres du réseau. Ils ont donc tout intérêt à limiter le plus possible la croissance « naturelle » et gratuite de ce réseau. Par ailleurs, ce que l’on nomme « un effet réseau » est drôlement pertinent pour une présence sociale, soit-elle sur LinkedIn, Facebook, Twitter ou autre.

Un effet de réseau est le phénomène par lequel l’utilisation d’un bien ou service par de nouveaux utilisateurs augmente la valeur de ce même bien ou service pour les utilisateurs déjà existants.

Ainsi, on peut prétendre que le nombre d’opportunités d’affaires potentielles venant de son réseau sera accru en fonction de la croissance du nombre de membres à ce réseau. Cela est certainement vrai pour la valeur de LinkedIn comme entreprise, mais cela sera aussi vrai pour le nombre d’abonnés ou de contacts que peut avoir un profil ou une page d’entreprise sur LinkedIn.

Pour revenir à la question sécuritaire mentionnée plus haut, avec plus de 16K abonnés et relations sur ce média social, je n’ai eu que très peu de spam. Aussi, ce n’est pas parce que vous voyez que je suis en relation avec plusieurs présidents de grandes entreprises, qu’ils accepteront de facto d’être en relation avec vous. Vous ne connaitrez pas non plus la nature de la relation que nous avons ensemble. Peut-être n’est-ce que l’un de très nombreux contact que je peux avoir, mais peut-être est-ce aussi un pote avec qui je vais à la pêche? Vous n’en savez strictement rien. Aussi, les informations qui sont colligées sur mon mur LinkedIn, sont pour la plupart, de nature inoffensive. Vous n’y trouverez pas mon adresse, le nom de ma conjointe ou ceux de notre fils ou de notre petit-fils. En outre, les nombreuses références que vous y trouverez ont été données librement par mes nombreux clients satisfaits. Dans bien des cas, vous ne saurez pas par contre ce que j’ai fait spécifiquement pour eux. Et pour ce qui est de l’argument qu’un inconnu me fasse du tort, mon expérience me démontre que c’est beaucoup plus souvent les gens que je connais qui m’ont fait des jambettes dans ma carrière, que de parfaits inconnus !

Par contre, ce sont souvent de parfaits inconnus qui après avoir suivi mon profil et mes contenus, qui ont décidé de faire le pas et de me donner des mandats et dans certains cas de très gros mandats. Ils se sont convaincus de mon expertise et ont décidé d’acheter mes conseils sans que j’aie même besoin de le solliciter. C’est ce que l’on nomme le « pull marketing » et l’un des nombreux bienfaits du marketing de contenus. Dans ces cas, la dynamique client/consultante est de facto positive parce que c’est le client qui vous a choisi et que vous n’avez pas à le convaincre qu’il a fait un bon choix. Il s’est convaincu lui-même. Ça fait toute la différence.

Par ailleurs, dans la vie, même si vous lisez un profil LinkedIn, ou Facebook ou autre, vous ne connaissez et ne connaîtrez vraiment pas qui sont réellement ces personnes avant d’avoir passé un certain temps avec eux. Vous ne savez pas non plus qui sont les gens sur qui ils ont une influence. Vous ne saurez pas non plus quel sera le processus décisionnel dans lequel ils pourraient être impliqués pour requérir vos services. Ainsi, il est arrivé plusieurs fois qu’on achète mes services sous la recommandation de quelqu’un que je ne connais pas, mais qui dit me connaître et dont la position hiérarchique ne semble pas prédestinée pour conseiller à quelqu’un d’acheter mon service.

Incidemment, si vous allez à un souper de chambre de commerce et que quelqu’un vous tend sa carte d’affaires, vous ne direz pas non merci. Vous la mettrez dans votre poche et une fois à la maison, vous prendrez le temps de la lire attentivement. Vous découvrirez que cette personne est un vendeur de planches en bois et ne travaillant pas en construction, vous n’avez aucun besoin de planche en bois. Six mois plus tard, vous décidez d’agrandir votre terrasse et ce vendeur de planches en bois pourrait alors vous être très utile. Ainsi, lors d’une rencontre de chambre de commerce je me suis lié d’amitié avec un agriculteur, acériculteur et producteur laitier. Nous n’avons absolument rien en commun au niveau des affaires. Il s’avère pourtant qu’il m’a donné de nombreux seaux et becs verseurs pour que je puisse tirer de l’eau d’érable de ma propriété. Il m’a invité à visiter sa ferme laitière avec mon petit-fils. J’ai aussi découvert qu’il était conseiller municipal avec une municipalité qui m’a donné des contrats, il est aussi impliqué en développement économique et dans l’Union des Producteurs agricoles et que finalement, en plus de m’être fait un ami intime, j’ai aussi un contact qui pourrait m’aider a percer plusieurs marchés différents de ma région.

Bref, vous ne savez jamais comment un inconnu peut vous aider si vous refusez de facto qu’il soit dans vos relations parce que soi-disant, vous ne le connaissez pas et qu’il ne ressemble pas au profil du client idéal que vous vous êtes fait mentalement…

Je préfère donc de loin le « Bar-open » au « club sélect ». Mais c’est à ça restera votre choix de mettre des barrières à l’entrée ou d’avoir les portes grandes ouvertes aux opportunités que vous n’imaginez même pas encore…

Transformation numérique des organisations, statut quo et résistance aux changements dans l’automobile

Depuis quelques années, j’observe que certains secteurs industriels sont réfractaires à la numérisation de leurs activités. Souvent, ce n’est pas par mauvaise volonté. C’est par peur du changement, peur de la réaction du patron, peur de perdre des acquis ou par confiance démesurée envers des fournisseurs qui en profitent allègrement.

 

J’ai déjà traité dans mon billet Comment l’immobilier résidentiel et les concessionnaires automobiles se font bouffer par la transformation numérique, pourquoi ces secteurs sont en retard et qu’ils se font « manger la laine sur le dos parce que bien qu’ils soient en ligne, ils y sont d’une manière déficiente et étant dépendant des pressions externes qui sont exercées sur eux. »

 

Voici donc quelques exemples qui mettent en contexte ces problèmes, en particulier dans le secteur de l’automobile. Un gestionnaire intermédiaire qui a suivi mes formations est maintenant au fait des graves problèmes de la fraude publicitaire et de l’arnaque de la « programmatique » en publicité. (vous pouvez lire L’alternative à l’endémique fraude par clic, La pourriture marketing web Partie 2 (fraude par clic), La fraude publicitaire en ligne est le crime numérique le plus payant ou aperçu de la cybercriminalité ou La pourriture marketing web Partie 1)    Durant une rencontre à plusieurs gestionnaires avec une « très grosse agence de publicité » qui gère leur compte de plusieurs centaines de milliers de dollars, il ose poser la question :

 

« Il semble qu’il y a 20 ans, la fraude par clic était de 20% et qu’elle serait maintenant de 50%. Que faites-vous pour contrôler ce problème? »

 

La réponse de l’agence :

 

« Êtes-vous en train de remettre en question l’intégrité, la probité et le professionnalisme de notre agence? »

 

Il s’en suivit un silence et un froid à couper au couteau. Le supérieur hiérarchique du gestionnaire mis un terme à la question et invita l’agence à continuer de présenter comment ils envisageaient de dépenser les centaines de milliers de dollars de publicité en programmatique.

 

Un autre de mes clients travaille dans le secteur de l’automobile. C’est une personne qui est issue d’un autre secteur économique et qui a une compréhension fine et aiguisée du web, de la publicité numérique et de l’importance des données clients pour croitre le chiffre d’affaires et faire la 2e, 3e ou même la 4e vente. Il me dit être scandalisé par l’ineptie du manufacturier (il travaille pour une chaîne de concessionnaires) et les différentes arnaques dont il est témoin envers celui-ci, tant par les agences publicitaires que par les intermédiaires de marché. Mais le secteur automobile est extrêmement conservateur et souvent, les gestionnaires du manufacturier, de l’association des concessionnaires ou des concessionnaires eux-mêmes, n’ont aucune formation pratique ou une compréhension en web ou en publicité numérique. Ils sont donc dépendants de ce que peuvent leur dire les nombreuses agences avec qui ils travaillent. De surcroit, bien souvent, les décisions seront prises au niveau du manufacturier qui imposera celles-ci aux concessionnaires, qui devront suivre les directives au risque de se voir couper des nombreuses primes au rendement ou pire encore, de voir leurs inventaires amputés au profit d’un autre concessionnaire qui sera plus enclin à suivre aveuglément les directives du manufacturier. C’est donc une situation plutôt délicate et pour le concessionnaire et pour le gestionnaire marketing de celui-ci qui serait le moindrement conscient de l’importance de la transformation numérique auquel fait face l’industrie tout entière.

 

Ajoutons à ça que dans l’industrie automobile, c’est le concessionnaire qui a le contact avec le client. Le manufacturier n’a pratiquement aucune donnée sur sa clientèle directe. En outre, ce sont très souvent des intermédiaires (dont plusieurs ont été nommés dans mon précédent billet, comme, disons Autotrader) qui collecteront les données clients et les utiliseront comme levier marketing pour leurs propres places de marchés de ventes d’automobiles neuves et usagers. Donc pour y vendre des voitures neuves ou usagers, les concessionnaires (qui sont leurs clients) devront payer de nouveau ces intermédiaires, pour rejoindre leurs propres clients (le consommateur). En outre, certains manufacturiers dans « un esprit de conformité et d’uniformité» exigeront que les concessionnaires cèdent à une agence externe unique, le contrôle total de leur publicité, des statistiques de leurs présences web et pire encore, de leurs données clients. En plus de revendre aux manufacturiers l’analyse que l’agence intermédiaire fera de ces données, ils les utiliseront à leur profit pour compétitionner les concessionnaires sur leur propre place de marché. Vue de l’extérieur, ça saute aux yeux à quel point c’est ridicule.

 

Quelques opportunités manquées.

 

La durée de vie d’un client dans le contexte que je viens de vous expliquer est donc dont très courte. Pourtant, un consommateur moyen achètera probablement 7 voitures dans sa vie. En outre, il fera de nombreux entretiens et réparations et dans certains cas, il pourrait même être un adepte de la personnalisation de son véhicule, ce qui est particulièrement payant pour un concessionnaire. Aussi, le consommateur sera peut-être aussi le propriétaire d’une entreprise qui pourrait vouloir acheter de nombreux véhicules pour celle-ci (pour la livraison de pizza par exemple), ou sera peut-être un parent attentionné qui voudra un véhicule pour célébrer la réussite académique de son enfant.

 

Par ailleurs, certains manufacturiers ont une gamme de véhicules très étendus à des prix très variables. Malheureusement, plusieurs de ceux-ci ont des gestionnaires de marques dont la fonction première est de faire la gestion et la promotion de la marque. Pas de suivre l’évolution de la santé financière d’un client et de partager avec ses collègues, les données qui permettraient aux manufacturiers de vendre des voitures de plus en plus dispendieuses, d’une marque différente du même manufacturier, en fonction de l’évolution des besoins et des capacités financières du client.

 

Une vue unique du consommateur et l’intégration des différentes bases de données avec des tableaux de bord pour suivre la vie du client seraient fondamentales pour identifier les opportunités de ventes additionnelles. Une division marketing performante avec des spécialistes de publicité numérique, de marketing de contenus, de placement média et d’analyse de marché à l’interne du manufacturier avec transfert de connaissance vers les concessionnaires éviterais de se faire pomper des millions par les agences publicitaires et les agences web et leurs places de marchés automobiles qui concurrences directement les concessionnaires avec leurs propres données et leurs propres inventaires. Il y a 20 ans je trouvais scandaleux que les hôteliers se fassent laver par les Expedia et hotels.com de ce monde. 20 ans plus tard, les intermédiaires de l’automobile sont encore pires (ou plus astucieux) que ne l’étaient les sangsues du domaine hôtelier…

 

Entretemps les nouveaux joueurs comme TESLA communiquent directement avec le client et ne sont pas empêtrés dans les dédales structurels historiques des anciens joueurs de cette industrie…

 

Pour en savoir plus sur la fraude par clic, vous pouvez visiter le profil LinkedIn d’un spécialiste mondial de la question, le Dr. Augustine Fou, et lire les nombreux articles qu’il partage sur le sujet.

Vous pouvez aussi prendre connaissance des acétates de mon cours Qu’est-ce que le marketing de contenus et pourquoi la publicité coute cher et que le contenu est ROI


Les métavers, réalité virtuelle, augmentée et mixte

Voici le onzième et dernier cours de Marketing Entrepreneurial que j’enseigne à HEC Montréal. Il traitera de:

  • Réalité virtuelle, Réalité augmentée, Réalité mixte
    Les métavers
    Second Life vs Horizon World
    Second Life et comment on a oublié le passé et fait table rase de ses nombreuses innovations
    Considérations marketing et entrepreneuriales
    Hyper réalité

  • Le 1er cours qui est une revue sociodémographique des médias sociaux est ici
    Médias sociaux et le web pour les entrepreneurs (le web ce n’est pas une question de budget, mais de philosophie)

    le 2e cours
    Qu’est-ce que le marketing de contenus et pourquoi la publicité coute cher et que le contenu est ROI

    le 3e cours
    Rédiger pour le web et les médias sociaux de façon stratégique

    le 4e cours
    Monitorage, veille et comment chercher sur le web

    le 5e cours Analyse compétitive web

    le 6e cours VALEURS, NICHE, MODÈLE D’AFFAIRES, ANALYSE STRATÉGIQUE WEB, BASE DE L’ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

    Le 8e cours DISTRIBUTION DES CONTENUS ET PROMOTION DE CEUX-CI

    Le 9e cours Médias sociaux et relations publiques

    Le 10e cours Les étapes d’une présence web et sociale réussie

    Les étapes d’une présence web et sociale réussie

    Voici le dixième cours de Marketing Entrepreneurial que j’enseigne à HEC Montréal. Il traitera de:

  • Phase 1 : Écoute et monitorage
    Phase 2 : Création de ses profils et de son image de marque
    Phase 3 : Création de contenus
    Phase 4 : Distribution des contenus et promotion de ceux-ci
    Phase 5 : Création d’une communauté
    Phase 6 : Mesurez, analysez et ajustez le tir

  • Le 1er cours qui est une revue sociodémographique des médias sociaux est ici
    Médias sociaux et le web pour les entrepreneurs (le web ce n’est pas une question de budget, mais de philosophie)

    le 2e cours
    Qu’est-ce que le marketing de contenus et pourquoi la publicité coute cher et que le contenu est ROI

    le 3e cours
    Rédiger pour le web et les médias sociaux de façon stratégique

    le 4e cours
    Monitorage, veille et comment chercher sur le web

    le 5e cours Analyse compétitive web

    le 6e cours VALEURS, NICHE, MODÈLE D’AFFAIRES, ANALYSE STRATÉGIQUE WEB, BASE DE L’ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

    Le 8e cours DISTRIBUTION DES CONTENUS ET PROMOTION DE CEUX-CI

    Le 9e cours Médias sociaux et relations publiques

    Médias sociaux et relations publiques

    Voici le neuvième cours de Marketing Entrepreneurial que j’enseigne à HEC Montréal. Il traitera de

  • Les médias ne sont plus ce qu’ils étaient
    Les risques communicationnels de divers médias sociaux
    Le communiqué de presse pour le web
    La gestion de crise médias sociaux
    Études de cas

  • Le 1er cours qui est une revue sociodémographique des médias sociaux est ici
    Médias sociaux et le web pour les entrepreneurs (le web ce n’est pas une question de budget, mais de philosophie)

    le 2e cours
    Qu’est-ce que le marketing de contenus et pourquoi la publicité coute cher et que le contenu est ROI

    le 3e cours
    Rédiger pour le web et les médias sociaux de façon stratégique

    le 4e cours
    Monitorage, veille et comment chercher sur le web

    le 5e cours Analyse compétitive web

    le 6e cours VALEURS, NICHE, MODÈLE D’AFFAIRES, ANALYSE STRATÉGIQUE WEB, BASE DE L’ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

    Le 8e cours DISTRIBUTION DES CONTENUS ET PROMOTION DE CEUX-CI

    VALEURS, NICHE, MODÈLE D’AFFAIRES, ANALYSE STRATÉGIQUE WEB, BASE DE L’ÉCONOMIE NUMÉRIQUE

    Voici le sixième cours de Marketing Entrepreneurial que j’enseigne à HEC Montréal. Il traitera de:

  • La valeur et le modèle d’affaires,
    Le « pense-bête » stratégique web
    bundling, versioning, longue traîne, modèles open source
    Le pitch
  • Le 1er cours qui est une revue sociodémographique des médias sociaux est ici
    Médias sociaux et le web pour les entrepreneurs (le web ce n’est pas une question de budget, mais de philosophie)

    le 2e cours
    Qu’est-ce que le marketing de contenus et pourquoi la publicité coute cher et que le contenu est ROI

    le 3e cours
    Rédiger pour le web et les médias sociaux de façon stratégique

    le 4e cours
    Monitorage, veille et comment chercher sur le web

    le 5e cours Analyse compétitive web

    Analyse compétitive web

    Voici le Cinquième cours de Marketing Entrepreneurial que j’enseigne à HEC Montréal. Il traitera de:

  • Analyses primaire et secondaire
    Identifier le marché et les compétiteurs
    Analyser leurs présences web
    Analyser ceux qui communiquent avec eux
    Comprendre ce qu’ils offrent et à quel coût
    Faire des tableaux comparatifs
  • Le 1er cours qui est une revue sociodémographique des médias sociaux est ici
    Médias sociaux et le web pour les entrepreneurs (le web ce n’est pas une question de budget, mais de philosophie)

    le 2e cours
    Qu’est-ce que le marketing de contenus et pourquoi la publicité coute cher et que le contenu est ROI

    le 3e cours
    Rédiger pour le web et les médias sociaux de façon stratégique

    le 4e cours
    Monitorage, veille et comment chercher sur le web

    Monitorage, veille et comment chercher sur le web

    Voici le Quatrième cours de Marketing Entrepreneurial que j’enseigne à HEC Montréal. Il traitera de:

    • Les types de veille
    • Monitorage organisationnel
    • Les outils de monitorage et de veille
    • Monitorage collaboratif
    • Les « sites d’autorités »
    • Les influenceurs du secteur
    • Cas DessinsDrummond


    Le 1er cours qui est une revue sociodémographique des médias sociaux est ici
    Médias sociaux et le web pour les entrepreneurs (le web ce n’est pas une question de budget, mais de philosophie)

    le 2e cours
    Qu’est-ce que le marketing de contenus et pourquoi la publicité coute cher et que le contenu est ROI

    le 3e cours
    Rédiger pour le web et les médias sociaux de façon stratégique