Le pote Martin Lessard sur le blogue de Radio-Canada, dans son billet Un déclin pour G+? note à juste titre que Google + vit une certaine diminution :
Malgré les 25 millions d’adeptes qui se sont joints au réseau en un mois, il semble que le rythme s’essouffle après un trimestre : il y aurait 41 % moins de commentaires publiés publiquement sur G+ qu’au début, selon la firme 89n. Comme toujours, il faut prendre avec des pincettes les chiffres. Ici, ils ne prennent pas en compte les commentaires privés. Mais on se pose tout de même la question : où est allé tout ce monde qui avait quelque chose à raconter?
I am writing to second Tassi’s declaration: Google+ is dead. At worst, in the coming months, it will literally fade away to nothing or exist as Internet plankton. At best, it will be to social networking what Microsoft’s Bing is to online search: perfectly adequate; fun to stumble onto once in awhile; and completely irrelevant to the mainstream web.
To be clear, I do not buy the beta argument anymore. G+ still being in beta is like Broadway’s “Spiderman: Turn Off the Dark” still being in previews. It has premiered. Months have passed. Audiences have tried it. Critics have weighed in. It is a show — just not a very entertaining one.
-if the influencers still pay attention (unlikely) like they’re doing for Google+ because it’s Google, they will trash you has Dan Reimold just did. And many others did the last two weeks. It’s like becoming fashionable to trash Google+ these days, just to be different, just because it will get eye balls, just because it’s cool to say Google will fail, again, on social.
That’s the “influencers verdict” moment. When the influencers start either not paying attention or trashing you. That’s when you are really testing your service against normal users because you have just completely reached 99.99% of the influencers and they wrote everything they could possibly write about Google+ so all there is left to them is to trash it.
(…)It’s a great reminder on how to launch a new service: it’s not about the tech bloggers and writers, it’s about normal people and wether they will adopt it or not. Forget the influencers, the history is packed with services that succeeded when the influencers said it would fail and vice-versa.
No, Dan, your opinion doesn’t matter. It’s the other millions of users that matter, you might be right, but only time will tell. You’re trashing Google+ just because it will get you some attention today. update: it looks like you don’t even use Google+.
Apparté : Loïc Le Meur dit sur son mur Facebook can you guys kick my butt when I don’t blog anymore? I enjoy it but I get lazy. I’m trying to get back to a daily post. Serait-il en train de réaliser ce que je disais dans mon billet Le blogue, retour aux sources ???)
Incidemment, c’était hier que Google + ouvrait les vannes pour le grand public. Nous verrons donc dans les prochaines semaines si Google + relève le défi de la croissance et de l’adoption massive des « usagers ordinaires ». Pour ma part, j’ai confiance que Google + deviendra un joueur majeur de la sphère des médias sociaux, mais pas nécessairement parce que c’est un média social. Ce sera plutôt parce que c’est une plate-forme centralisatrice qui fédère sous un même point, tous les services de Google et que c’est la porte d’entrée de ce que nous nommons aussi l’informatique dans les nuages, tel que je l’expliquais déjà dans mon autre billet Google + n’est peut-être pas un média social ?
MAJ
Question de jouer les trouble-fêtes de ceux qui prédisent la mort de Google +, il connaît une croissance exponentielle depuis qu’il a ouvert les vannes. Chez plusheadlines.com :
Here is a quick look at the estimated total users on Google+ at the specific dates below, using Paul Allen’ssurname model:
• July 4th – 1.7 million users
• July 9th – 4.5 million users
• July 12 – 10 million users
• September 9th – 28.7 million users
• September 22nd – 43.4 million users
Allen has also indicated that in the past 2 days alone, since the beta launch of Google+, the user base has increased a dramatic 30%.
P.-S. Vous êtes de toute évidence invitez à me suivre aussi sur Google+ 🙂
Article publié le mercredi, 21 septembre 2011 sous la rubrique Google +.
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Parmi les nombreuses présentations de haut calibre de l’édition 2010 de la conférence LeWeb de Loïc Le Meur, l’une de celle que j’attendais avec impatience était celle de Jeremiah Owyang de Altimeter Group. L’élément de la présentation qui a le plus attiré mon attention est la pyramide du ROI. Il est en effet évident qu’il faut parler de ROI, avec le langage et les mesures qui conviennent au niveau hiérarchique auquel on s’adresse.
Le hic de cette approche, est que pour ce faire, les médias sociaux, leurs objectifs et l’atteinte de ceux-ci via les mesures de rendements, se doivent d’être présents. Ce qui est encore trop rare dans nos marchés. Par exemple, si on veut mesurer l’impact des médias sociaux sur les ventes (comme le suggère le graphique) il faut déjà que les outils de mesure de la conversion soient installés, que la présence médias sociaux soit suffisamment importante, en terme de volume et de durée dans le temps et que la maturité de tous ces éléments soit effective. Ce dont je rêve, mais que je n’ai malheureusement pas encore rencontré dans ma pratique. J’ attire aussi votre attention sur la diapo qui illustre les différents modèles de mise en œuvre des médias sociaux en entreprise.
De même que sur celle qui explique les moyens que les entreprises sondées par Altimeter Group, mettent à la disposition de leurs ambitions d’atteindre la maturité d’une présence sur les médias sociaux.
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