Un Canada plus compétitif doit améliorer l’utilisation des technologies de l’information et des communications

Le World Economic Forum a lancé le 28 septembre dernier un rapport (The Global Competitiveness Report) qui évalue la compétitivité des pays dans le monde. Une économie plus compétitive est appelée à connaître une croissance plus rapide. Le Canada se classe ainsi au 14ème rang des pays compétitifs pour l’année 2005, en progression d’un rang par rapport à 2004. Voici par ailleurs le classement des 10 pays les plus compétitifs :

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Les divisions entre utilisateur et non-utilisateur américains d’Internet se précisent

Pew Internet and american life, sort une nouvelle étude sur le profil des internautes américains. On y apprend que

Les deux tiers des Américains vont en ligne
En date de mai-juin de cette année, 68 % des adultes américains utilisent Internet. Ce qui représente une croissance de 63 % par rapport à l’an passé. Les groupes principaux qui font parti des 32 % qui ne vont pas en ligne incluent les gens de 65 ans et plus, les gens de couleur noire, et les gens moins éduqués.

Précisons
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Les hôteliers améliorent leur positionnement Web?

Jean-François Renaud, mon ex-associé d’Adviso Conseil, écrit ce matin dans le blogue Bénéfice.net que les hôteliers américains reprennent le contrôle de leur destinée sur le Web. Il cite un article d’USA Today à l’effet que :

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Pourquoi les blogues sont-ils avantageux pour une stratégie de positionnement Web ?

D’après un papier blanc de la firme morevisibility(1) les blogues sont la technologie idéale pour apparaître dans les premières places des moteurs de recherches tels que Google, Yahoo ou MSN. Est-ce que ces moteurs choisissent délibérément d’avantager ce type de plate-forme plutôt que le traditionnel site Web ? Je ne le crois pas. Bien que les blogues soient très en vogue et qu’une récente thèse de maîtrise sur le sujet(2) qualifie cette technologie de « prochain boom internet », ce serait plutôt les qualités intrinsèques de ce média, qui l’avantagent sensiblement par rapport aux sites que l’on qualifiera désormais de « traditionnels ».

Quels sont les éléments qui favorisent les blogues ?

Depuis toujours, les moteurs de recherche privilégient les sites à contenu plutôt que les sites d’images. Les algorithmes de recherches sont en effet basés sur les mots et la signification de ces mots. De plus, l’un des critères qui favorisent le positionnement dans les résultats des moteurs est la fréquence et la date (récente ou non) des mises à jour. Ainsi, pour un même mot donné, un contenu qui aurait été mis en ligne il y a deux ans se verrait déclassé par rapport à un contenu apparu la semaine dernière. De plus, un autre concept prisé par les moteurs de recherche est celui de la densité des mots-clés. Comme souvent les blogues sont à caractère spécialisé, ces contenus sont souvent très denses pour parler sensiblement de la même chose et avec les mêmes mots-clés et ses variantes. Ces différentes caractéristiques les favorisent donc.

D’autres raisons nous permettant de comprendre l’ascendant des blogues dans les résultats de recherches sont l’utilisation massive qu’ils font, des liens contextuels. Ce sont, en effet, d’autres éléments qui pèsent lourdement dans les classements des moteurs de recherche. On pourrait aussi ajouter le fait que les blogues sont aussi affublés de la technologie RSS qui permet de facilement multiplier le nombre d’hyperliens externes et de références qui pointent vers une adresse de blogue précise. Ces hyperliens externes sont comptabilisés par les moteurs de recherches comme des votes de confiance des internautes envers une adresse URL précise et le contenu de mots-clés qu’elles contiennent. Encore an autre avantage des blogues. Finalement, beaucoup d’internautes utilisent pour leurs requêtes, ce que nous pourrions appeler le langage naturel. Il s’agit en fait, du langage de tous les jours qui est particulièrement présent dans les contenus textuels de blogues, ou dans les commentaires qui s’y rattachent. Pour toutes ces raisons, les blogues sont donc largement favorisés par rapport aux sites traditionnels, en termes de classement des résultats des moteurs de recherche.

Comment profiter de cette situation dans un contexte d’affaires?

Tout d’abord, renseignez-vous sur la technologie des blogues(3) et expérimentez avec ce nouveau médium. Sachez aussi que la technologie elle-même ne coûte pratiquement rien. Cependant, il est évident que dans un contexte d’affaires, des frais de rédaction, de mise en ligne, de design et de marketing Internet devront être envisagés. Toutefois, pour une PME et pour un entrepreneur avec un peu de bonne volonté et du temps pour explorer cette avenue, cette forme de publication Web pourrait s’avérer fort avantageuse.

Quelques conseils d’usage

>>Garder votre blogue simple et éviter les graphiques lourds et encombrants. Un blogue doit se lire facilement et le ton se doit d’être accessible pour intéresser le lecteur … et le moteur de recherche.

>>Mettez vos contenus à jour fréquemment. Un blogue se doit d’être mis à jour au moins une fois par semaine. Une cadence plus rapide est certainement bénéfique, mais la passion de l’écriture n’est pas donnée à tous. Sachez aussi que les visiteurs de blogues sont des lecteurs assidus. Morevisibility présente le fait que durant le premier semestre de 2005, les visiteurs de blogues ont regardé en moyenne 1600 pages durant cette période. Ce qui est 77 % plus élevé que ce que regarde l’internaute moyen c’est-à-dire 9000 pages. Les lecteurs de blogues sont donc loyaux, vous vous devez de les satisfaires.

>>Développer un blogue utile. Il a été observé que les blogues qui ont une utilité et une mission sociale, semblent être ceux qui ont connu un succès commercial et un positionnement enviable. En somme, soyez passionné de votre sujet. D’ailleurs n’êtes-vous pas parti en affaire spécifiquement pour ces raisons ?

>>Finalement, soyez constant. Le phénomène des blogues a le potentiel d’ajouter une couche de socialisation à l’Internet. Si vous persévérez dans l’édition de votre contenu, les bénéfices devraient apparaître.

(1)Cet article est inspiré et traduit librement de Joe Laratro, www.morevisibility.com, Blogs ~ Learn How and Why They Fit IntoYour Search Engine Marketing & Optimization Campaigns. Document disponible à https://www.michelleblanc.com/2005/09/20/pourquoi-les-blogues-sont-ils-bien-positionnes-dans-les-moteurs-de-recherches/

(2)Torio, James, Blogs, A global conversation. A master’s thesis on the social phenomenon of blogs, Submitted in partial fulfillment of the requirements for the degree of Master of Arts in Advertising Design in the Graduate School of Syracuse University. August 2005. Étude disponible à https://www.michelleblanc.com/2005/09/29/une-these-de-maitrise-sur-le-phenomene-social-des-blogues/

(3)Un bon départ pour se familiariser sur les technologies, les pratiques et le marketing des blogues est : Reportes sans frontières, Le guide pratique du blogger et du cyberdissident. Septembre 2005. Document disponible à : https://www.michelleblanc.com/2005/09/27/reporters-sans-frontieres-outille-les-blogueurs-dissidents/

Cet article est repris intégralement dans LesAffaires.com et est issue de deux billets précédents :
Une thèse sur le phénomène social des blogues et
Pourquoi les blogues sont-ils bien positionnés dans les moteurs de recherches?

Une thèse de maîtrise sur le phénomène social des blogues

Le carnet cyberworker, identifie avec justesse une intéressante thèse sur le phénomène des blogues. L’auteur, James Torio, qui effectues ses recherches à l’université de Syracuse, analyse comment les blogues ont un impact sur les entreprises et les communications, comment les entreprises se servent des blogues, comment les blogues génèrent de la valeur et quel est le futur des blogues. Cette thèse se lit comme un roman et la matière est on ne peut plus, d’actualité.

Voici certains extraits de cet ouvrage :

There are some Bloggers who strive to turn their Blogs into successful
businesses. Although Blogging as a business is in its infancy, a number of
Bloggers have managed to earn money; others have generated a significant
amount of revenue. Some media analysts have called Blogs the “Next Internet
Boom” and predict that in near future these micro-publishing sites will receive
heavy investment.

Some significant findings include: 49% of survey participants use RSS
readers to collect information for their Blogs, 85% allow commenting on their
Blogs, 33% of the Blogs use Google AdSense for advertising, followed by 22%
who use BlogAds.

Regarding revenue generated directly from Blogs in a 12 month period:
45% do not generate any revenue at all, 40% generate under $5,000 and 4% generated
over $100,000.

Reporters sans frontières outille les blogueurs dissidents

Un pas de plus vient d’être franchi afin de reconnaître les blogueurs comme source journalistique d’intérêt. En effet, la firme de renommées internationale, Reporters sans frontières, vient de faire paraître un ouvrage : Le guide pratique du blogger et du cyberdissident.

Dans les pays où la censure est reine, lorsque les médias traditionnels vivent à l’ombre du pouvoir, les bloggers sont souvent les seuls véritables journalistes. Ils sont les seuls à publier une information indépendante, quitte à déplaire à leur gouvernement et parfois au risque de leur liberté. Les exemples de bloggers emprisonnés ou harcelés ne manquent pas. L’un des contributeurs à ce guide, Arash Sigarchi, a été condamné à 14 ans de prison pour quelques « posts » critiques du régime iranien. Son témoignage rappelle que certains bloggers conçoivent leur travail comme une nécessité et un devoir, pas comme un simple passetemps. Ils ont conscience d’être la bouche et les oreilles de milliers d’autres internautes.

En plus de valider l’effort particulier des blogueurs comme source journalistique d’intérêt, cet ouvrage est un outil extrêmement utile pour le néophyte qui veut apprendre à monter son propre blogue, de façon anonyme ou pas. Un ouvrage de référence à conserver.

Technologie et croissance économique urbaine

La croissance économique urbaine est reliée, selon le chercheur américain Richard Florida, à l’émergence d’une classe de gens créatifs. Dans le livre intitulé The Rise of the Creative Class, les créatifs sont décrits comme des personnes qui gagnent leur vie en utilisant de manière privilégiée la pensée et la créativité (technologie et innovation, arts et culture, professionnels et gestionnaires, éducation et formation).

Les centres urbains américains qui présentent une croissance économique importante attirent les individus créatifs par l’intermédiaire de trois grands pôles : la technologie, le talent et la tolérance. Richard Florida a calculé un indice de créativité et de technologie pour les grandes métropoles américaines qui dépassent 1 millions d’habitants. Il en résulte les classements qui suivent.

Indice de créativité

  1. San Francisco
  2. Austin
  3. Boston
  4. San Diego
  5. Seattle
  6. Raleigh-Durham
  7. Houston
  8. Washington, D.C.
  9. New York
  10. Minneapolis

Indice de technologie

  1. San Francisco
  2. Boston
  3. Seattle
  4. Los Angeles
  5. Washington, D.C.
  6. Dallas
  7. Atlanta
  8. Phoenix
  9. Chicago
  10. Portland

Les conclusions de ces travaux sont toutefois contestées, notamment par Steven Malanga, qui a écrit un article fort intéressant dans le City Journal (hiver 2004).

Richard Florida, en collaboration de Kevin Stolarick et Louis Musante, a par ailleurs appliqué sa méthodologie de recherche pour le Canada et en particulier pour Montréal. Dans un article intitulé Montréal, ville de convergences créatives : perspectives et possibilités, on apprend notamment que l’économie créative de la ville occupe 29 % de la main-d’oeuvre totale, ce qui représente plus de 450,000 employés.

Montréal vient ainsi au 18ème rang parmi les 25 plus grands centres urbains nord-américains, au chapitre de l’indice de créativité. Au plan international, comparativement à des centres urbains similaires, elle termine au 5ème rang derrière Stockholm, Auckland, Sapporo et Amsterdam, mais elle devance tout de même des villes telles que Sydney, Barcelone et Athènes.

Sur le plan technologique, Montréal présente une pauvre performance en ce qui concerne les brevets d’invention. Elle se situe par ailleurs au 75ème rang percentile pour les deux critères d’évaluation suivants : pôle technologique nord-américain, et quotient de localisation des firmes en haute technologie.

Les auteurs concluent néanmoins que Montréal représente une destination de choix pour les gens créatifs pour trois principales raisons : la présence de convergences importantes qui existent entre les arts, la culture et la technologie, les convergences linguistiques et culturelles qui s’établissent entre l’anglais et le français, et enfin les convergences géographiques qui situent Montréal à mi-chemin des États-Unis et de l’Europe.

Pour en connaître davantage sur le secteur des technologies de l’information à Montréal, je recommande de lire le document intitulé L’industrie des technologies de l’information et des communications du Montréal Métropolitain, produit par Montréal International.

Pourquoi le Canada perd-il ses plumes en commerce électronique ?

Selon le Economist Intelligence unit, le Canada perd des points dans le classement général mondial de préparation au commerce électronique (e-readiness ranking) à cause de plusieurs éléments qu’ils mesurent.

La préparation de Canada en commerce électroniques

En 2005, nous avons encore reculé et sommes passés de la 11 à la 12 place ex-equo avec l’Allemagne. C’est bien tant mieux le chiffre 13 porte malheur! À l’analyse de nos résultats, nous pouvons observer que les éléments suivants, semblent être ceux qui inexorablement, nous repoussent du peloton de tête.

Adoption par les entreprises et les consommateurs qu’ils mesurent par :

–État des dépenses en TI en proportion du Produit intérieur brut;

–niveau de développement du commerce électronique;

–degré de transactions en lignes;

–qualité de la logistique et des systèmes de livraisons

–et la disponibilité de financement d’affaires adéquat

et

Environnement social et culturel qu’ils mesurent par :

–le nineau d’éducation

–la litératie Web/Internet;

–le degré d’entrepreneuriat Web;

–les compétences technologiques de la main-d’oeuvre

–et le degré d’innovation.

Connectivité et la qualité des infrastructures qu’ils mesurent par :

-le degré de pénétration

>-de la connectivité basse et haute-vitesse;

>-de la téléphonie-mobile;

>-de l’Internet;

>-des ordinateurs personnels ;

-de l’abordabilité d’Internet et;

-de la sécurité des infrastructures Internet.

Que peut-on faire pour changer la situation ? (mon humble avis)

>•Militer pour le développement de débit en ligne, le micro-paiement et les autres mécanismes de paiements qui favoriseront les transactions des consommateurs.

>•Instruire les consommateurs et minimiser les effets pervers de la couverture médiatique à sensation qui présente trop souvent des points de vue qui effraient inutilement les entreprises et les usagers (par exemple le vol d’identité qui est un phénomène on ne peut plus réel. Onse fait plus volé dans nos poubelles que sur le Web. Mais c’est sur le Web que ce vol d’identité se concrétise.)

>•Déplacer les investissements gouvernementaux, des infrastructures vers les entreprises et les services de gestion du commerce électronique (je prêche pour ma paroisse)

Et

>•Arrimer les statistiques du commerce électronique au fédéral et au provincial (afin que l’on sache de quoi il en retourne au niveau local)

>•Convaincre le gouvernement de l’importance d’outiller les entreprises en commerce électronique

>>Niveau financier

>>Niveau du savoir

>•Valoriser la planification, la stratégie et la recherche (encore pour ma paroisse)

>•Valoriser les applications et la vision centrée usager

>•Trouver le corollaire de l’objectif d’affaires en avantage usager

>•Parler à la bonne personne en utilisant le bon canal au bon moment

>•Être créatif

Pour ce qui est de nos problèmes de connectivité et de qualité d’infrastructure, le Canada s’ennorgeuille d’être l’un des pays les plus branchés. Peut-être reste t-il les coûts inhérents à l’Internet à régler ?

Ce texte est mise-à-jour d’une conférence que j’ai faite devant l’Association des professionnels en affaires électroniques Virage Internet doit-on encore séduire ou imposer ? en avril 2005

Pourquoi les blogues sont-ils bien positionnés dans les moteurs de recherches ?

D’après le papier blanc de la firme morevisibilityles blogues sont le mariage parfait avec les moteurs de recherches puisque :

-les moteurs de recherches privilégient les sites à fort contenu textuel qui sont mis à jour fréquemment (ce que sont les blogues);

-les moteurs de recherches aiment les hyperliens contextuels (qui pullulent dans les blogues);

-et les moteurs de recherches aiment les contenus uniques et populaires (qui se retrouvent particulièrement dans les blogues).

Les auteurs présentent aussi quelques conseils dont :

Garder votre blogue simple. Un blogue doit se lire facilement et ne pas être affublé de graphiques trop intenses.

Mettez à jour vos contenus fréquemment. Un blogue se doit d’être mis à jour au moins une fois/semaine. D’ailleurs, les auteurs présentent le fait que durant le premier semestre de 2005, les visiteurs de blogues ont regardé en moyenne 1600 pages durant cette période. Ce qui est 77 % plus élevé que ce que regarde l’internaute moyen c’est-à-dire 9000 pages. Les lecteurs de blogues sont donc loyaux, vous vous devez de les satisfaires.

Développer un blogue utile. En effet, les blogues qui ont une utilité et une mission sociale semblent être ceux qui ont aussi un succès commercial.

Soyez constant. Le phénomène des blogues a le potentiel d’ajouter une couche de socialisation à l’Internet. Si vous persévérez dans l’édition de votre contenu, les bénéfices devraient apparaître.

(traduit librement de : Joe Laratro, www.morevisibility.com, Blogs ~ Learn How and Why They Fit IntoYour Search Engine Marketing & Optimization Campaigns,

Assistons-nous à l’Américanisation du tourisme en ligne au Canada ?

C’est ce matin que la Chaire de commerce électronique RBC Groupe financier, met en ligne le document de recherche L’industrie hôtelière en ligne au Canada . J’ai eu le plaisir et l’honneur de diriger cette recherche de monsieur Yaniv Kadoche et de participer activement à sa rédaction avec messieurs Jacques Nantel , Kadoche et Renaud. Vous pouvez télécharger gratuitement cette publication en cliquant ici.

L’un des éléments qui me trouble dans les découvertes que nous avons faites à propos de l’industrie hôtelière en ligne au Canada, est la place énorme que prennent les entreprises d’intermédiaires étrangères dans le marché touristique local du Canada.

En effet, un peu par accident, nous avons découvert que parmi les 15 sites d’intermédiaires touristiques en lignes, les plus visités par les canadiens, au Canada, 13 sont étrangères dont 12 qui sont américaines. Est-il temps que les différents paliers de gouvernements s’intéressent à la question et insuffle une nouvelle poussée au commerce électronique canadien et aux entreprises d’ici afin qu’elles prennent une part active à l’économie numérique ? Je vous laisse réagir et proposer vos solutions.


Entrevue sur l'industrie hoteliere en ligne au Canada

Entrevue à ce sujet, accordé au canal Argent de Québecor média.

Les PME du secteur de l’industrie touristique n’ont pas vraiment de stratégie de commerce électronique, souligne l’associé principal chez Analyweb.
Partie 1 et partie 2

Article de monsieur Laurier Cloutier de la Presse:

Trop d’hôtels de profitent pas de la manne Internet