Yulbiz, la question du mois

Hier soir se tenait Yulbiz et certains des Yulbizeurs présents, ont répondu à la question du mois. Quelle est votre maxime, pensée d’affaires préférée?

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Second Life, le reportage de Radio-Canada

Le copain Mitch Joël, que je verrais tout à l’heure à Yulbiz, est interviewé pour un reportage télévisuel du journaliste Jean-Sébastien Cloutier de Radio-Canada sur l’un de mes sujets favoris, Second Life. Pour les novices de Second Life ou pour ceux qui ont encore besoin de démystifier le phénomène Second Life, regardez le reportage ici

IBM à son tour dans Second Life

Je m’apprête à écrire une dissertation sur pourquoi je pense que Second Life ouvre la voie du Web 3.0, et j’apprends qu’IBM y œuvre déjà, dans une île secrète. En effet, selon The Register (via ElectricVenus), la division des stratégies technologiques et de l’innovation d’IBM, utilise Second Life afin de comprendre comment ses interfaces riches et beaucoup plus évoluées que les outils de visualisations d’ingénieries et des sciences informatiques actuels, pourront servir, dans des contextes d’affaires. Ils utilisent donc Second Life pour des meetings virtuels, pour améliorer les API qui interfaceront avec des applications d’affaires, ils travaillent sur la voix IP dans l’univers et sur la compréhension de ce que le 3-D peut contribuer à la désintermédiation des processus d’affaires et des entreprises. Absolument fascinant et définitivement à suivre…

He is also looking at the potential the system might have for furthering the disaggregation of business structures. At one extreme this could lead to their being no “businesses” as we know them today – everyone would be self-employed. More likely however, certainly in the mid-term, is that it could provide a very useful tool for companies and participants to manage and work with a project as a perceivable entity, with participants that could be drawn from many departments within the company, anywhere in the world, as well as business partners, customers and suppliers.

Un mot du président, ma réponse, je t’emmerde

J’ai toujours eu un petit quelque chose contre les spammeurs. Surtout lorsqu’ils utilisent des titres accrocheurs tels qu’Une invitation du président. Aux États-Unis, ce genre de pratique vaut une poursuite criminelle et des amendes de $25000/jour/courriel dans plusieurs états (dont la Californie et l’Oregon). J’ai presque envie de me faire suivre ce spam à mon adresse Hotmail ou Gmail (inévitablement transféré sur un serveur américain) et de me plaindre dans les états ou cela est considéré criminel.

De quel président s’agit-il? De bush? De l’un de mes clients? Qui sait? J’ouvre donc le pourriel pour y découvrir, cet amas de bêtise, qui de surcroît, tente de faire payer chèrement ce qui est déjà gratuit. Au président de Shaw mngt corp. Inc,et à son sois-disant responsable des relations publiques, Richard Martel, je vous emmerde!

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Jaide.ca

Mes anciens associés d’Adviso Conseil, ont eu une initiative géniale qui mérite mon attention et mes applaudissements. Plus d’un an après notre divorce, sans garde partagée, l’eau coule sous les ponts et me permets à nouveau d’apprécier le génie de ses deux passionnés avec qui je m’étais associé. Jean-François Renaud, est bénévole à la Société canadienne de la sclérose en plaques. L’an dernier, notre dernier grand coup commun avait d’ailleurs été d’organiser un vin fromage marketing internet, au profit de la société. Toujours est-il, qu’Étudiants bien branchés, en collaboration avec, Adviso lance jaide.ca. Un portail du moteur de recherche Google, joint à un lecteur de flux RSS. La particularité du projet est que tous les bénéfices des adwords et de la pub médias découlant de cette page, seront versés intégralement à la société de la sclérose en plaques. Je dis BRAVO et j’encourage le plus de gens possible à choisir ce site comme page d’accueil et comme outil de recherche. Vous ne regarderez plus jamais Google du même œil. Vivement jaide.ca.

Webcom 2006

La prochaine rencontre Webcom 2006 m’invite comme bloqueur événementiel. C’est avec plaisir que j’accepte (en retour d’un billet récapitulatif de la chose) l’invitation. De plus, ils ont bonifié l’événement avec des tables rondes de blogueurs québécois. J’aime cette idée. Nous avons des innovateurs et des cracs du blogue, ici aussi, alors pourquoi ne pas donner une couleur locale à la rencontre? Ainsi, le copain Sylvain Carle (le blogueur en chef de l’événement) gère le blogue qui lui est associé, et les autres copains Martin Lessard, M-C Turgeon, Sébastien Paquet et Martine Gingras, seront de la partie sur deux tables rondes. C’est encore dispendieux, mais c’est plus que du bonbon…

L’histoire des engins de recherches

Pour les amants (comme moi) de la technologie des engins de recherches, voici l’histoire de ces précieux instruments de marketing internet, et de recherche, pour le commun des internautes. History of Search Engines: From 1945 to Google 2006

Google, le chaos et les erreurs, sources d’innovations

Fortune, fait parraître l’article Chaos by design, The inside story of disorder, disarray, and uncertainty at Google. And why it’s all part of the plan. (They hope.). On y apprend que les erreurs et le chaos, sont acceptés et même encouragés dans l’entreprise. S’il n’y a pas d’erreurs, c’est qu’il n’y a pas de risque et l’entreprise n’évolue pas. S’il n’y a pas de chaos, il n’y a pas d’innovation.

Sandberg recently committed an error that cost Google several million dollars — “Bad decision, moved too quickly, no controls in place, wasted some money,” is all she’ll say about it — and when she realized the magnitude of her mistake, she walked across the street to inform Larry Page, Google’s co-founder and unofficial thought leader. “God, I feel really bad about this,” Sandberg told Page, who accepted her apology. But as she turned to leave, Page said something that surprised her. “I’m so glad you made this mistake,” he said. “Because I want to run a company where we are moving too quickly and doing too much, not being too cautious and doing too little. If we don’t have any of these mistakes, we’re just not taking enough risk.”

When a million-dollar mistake earns a pat on the back, it’s obvious this isn’t your normal corporation

What emerges from months of interviews with employees ranging from fresh-out-of-college hires to the CEO is that Google firmly believes it has a framework for figuring out the future. It should come as no surprise that the plan is as irreverent, self-confident, and presumptuous as the company itself. Google’s executives don’t articulate it this way, but the framework can be found in the title of Shona Brown’s book: structured chaos. Indeed, along with Googleyness, chaos is among the most important aspects of Google’s self-image. Understanding how Google thinks about chaos — like Page’s teachable moment after Sandberg’s million-dollar mistake — is critical to divining where the company goes next. “Are lots of questions hanging out there in the market?” asks Sandberg. “Sure. Because we don’t always have an answer. We’re willing to tolerate that ambiguity and chaos because that’s where the room is for innovation.” Good strategy — if it actually works.

Via Mitch Joël

Le réveil d’ouvert 24 heures et l’impact des ados du Web 15-18.

Le copain Michel Dumais qui tient le blogue Ouvert 24 heures, a en effet été fermé, pour cause de rénovations, plusieurs mois. Cela fait du bien de le revoir plus en forme et mordant que jamais. Entre autres, lisez sa récapitulation de l’excellent papier de l’entrevue de Lee Rainie de Pew Internet dans le Financial Times, They are the future And they’re coming soon to a workplace near you The next generation of your staff is challenging the accepted ways of doing things in the business world (inscription payante), à propos de la génération des adolescent du Web (15 à 18 ans). Passionnant…

Il cite aussi une étude de Mark Prensky à ce propos. THE DEATH OF COMMAND AND CONTROL? (PDF)

Un résumé des cinq réalités que les employeurs et collègues plus âgés doivent comprendre de ces jeunes :

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Loïc Jemeur, une parodie de mon meilleur

Les lecteurs assidus de ce blogue, savent désormais que j’aime Loïc Lemeur. He bien figurez-vous que mon meilleur, est encore « plus meilleur » dans le nouveau site de son alter ego Loïc Jemeur. Pour ceux, qui comme moi, ont un petit plaisir coupable.