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Beaucoup d’entreprises sont réticentes à permettre à leurs employés de naviguer sur les réseaux sociaux sur les heures de travail. Ces réseaux sont considérés comme une perte de temps. Encore peu d’entreprises considèrent qu’ils peuvent apporter une contribution significative à l’entreprise. Un papier blanc de MessageLabs, Social Networking: Brave New World or Revolution from Hell? (gratuit sur inscription), fait l’analogie entre les résistances envers les médias sociaux et ce qui s’est aussi produit envers la messagerie instantanée il y a quelques années. Les entreprises ont donc peur de ces Facebook, Orkut et. al.
Results of an exclusive MessageLabs survey conducted in September 2007, reveal that approximately 75% of companies said the number of visits their employees were making to social networking sites had increased over the previous six months. About 60% thought this had damaged productivity; while over 75% believed corporate reputation could be seriously threatened if staff posted negative comments about their organization online. No wonder over 70% of respondents said they were thinking of restricting employee access to social networking sites
En contrepartie, elles ne voient pas encore le positif que ces sites peuvent apporter à l’entreprise
Recent research by Emedia revealed that over 10% of social networkers visit social networking sites for business reasons. This growing trend is refl ected in the appearance of an increasing number of business-oriented sites, such as LinkedIn, Viadeo, Huddle and BT Tradespace, designed to help companies initiate and strengthen relationships with colleagues, clients, suppliers and partners, wherever they are in the world. Moreover, this is a medium that not only promotes exchange of knowledge, ideas and information, but can also make it an unusually energizing and rewarding experience.
Supporters point out, too, the role that social networking can play in forging team spirit among staff and improving morale, motivation and job satisfaction. Big brands are also getting in on the act as they recognize the benefi ts of building a presence in the social networking environment – research by Microsoft has shown that almost three-quarters of UK social networkers have already visited profi les set up by companies specifically to
promote particular brands.
Pour ceux qui ont encore des doutes sur la légitimité de ces réseaux dans un contexte d’affaires, il est certainement bon de rappeler que parmi les entreprises qui se servent de Facebook à des fins de ressources humaines internes on compte :
• CIA
• CNN (NYSE:TWX)
• Ernst & Young
• IBM (NYSE:IBM)
• IRS
• Macy’s (NYSE:FD)
• McDonald’s (NYSE:MCD)
• MySpace (NYSE:NWS)
• Time Inc.
• Toyota (NYSE:TM)
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Ça me fait aussi penser aux conférenciers qui disent « C’est une bonne question » après l’intervention de quelqu’un de la salle. C’est souvent parce qu’ils ne connaissent pas la réponse. Alors, lorsqu’ils connaissent la réponse est-ce une mauvaise question? (je le fais aussi moi-même lorsque je suis conférencier. Mais ne me le reprochez surtout pas. Ça me ferait de la peipeine…)
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Lorsqu’on voit la poussée fulgurante de Facebook, le 120% de croissance prédite par IDC semble bien pessimiste. Seulement, il n’y a pas que Facebook dans l’échantillon des réseaux sociaux d’IDC. Ils prédisent une croissance constante de ce type d’outils jusqu’en 2011 et une adoption de ce type d’application par les grandes entreprises, dans trois segments distincts.
Les applications autonomes utilisées par les équipes marketing et les groupes de travail
Les applications de gestion de la marque qui sont focusées sur les clients participatifs
Les applications spécialisées dans les interactions externes avec les partenaires, clients et autres collaborateurs externes.
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Et, au-delà, quelle est la force d’inertie d’une communauté, ou, en d’autres termes, un site web 2.0 peut-il voir son cœur d’utilisateurs glisser vers une autre classe sociale que celle originelle ? L’analyse montre en effet deux forces qui s’affrontent. D’abord l’effet domino : le profil de la communauté se déduit de celui des early adopters. Ces derniers passant l’information à leur entourage proche, la base d’utilisateurs reste relativement homogène. A contrario, l’effet mimesis attire des utilisateurs par imitation, l’inscription à un site web s’apparente ainsi à la consommation-statut.
Ils nous partagent aussi cette vidéo amusante, qui parodie ces clivages sociaux sur les sites Web 2.0 de vidéos en ligne.
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Le marketing de contenus peut et idéalement doit être fait sur les médias sociaux. Mais il sera aussi utile sur votre site Web, sur l’imprimée et sur l’ensemble des supports médiatiques.
Le marketing de contenu (content marketing), est une discipline marketing qui implique la création et la diffusion, par une marque, de contenus médias (en) dans le but de développer son activité. Ces contenus informatifs, utiles ou ludiques, peuvent être présentés sous forme de news, vidéos, livres blancs, livres numériques, infographies, études de cas, guides pratiques, systèmes de questions-réponses, photos, forums, blogs d’entreprises, etc.
Le marketing de contenu associe une logique de communication de marque à une offre média traditionnelle.
Le content marketing, plutôt utilisé dans le domaine du BtoB, s’adresse plutôt aux prospects avec une optique commerciale tandis que le brand content (contenu de marque) considère le contenu comme une émanation de la marque et s’adresse à différents publics.
Le marketing de contenu est particulièrement développé sur le web où il se distingue de la publicité traditionnelle qui consiste à afficher des messages publicitaires sous forme de bannières sur des sites internet. Les entreprises écrivent notamment de véritables scénarios de storytelling sur leurs sites diffusant sur les réseaux sociaux où elles peuvent engager une véritable conversation avec leur communauté de fans ou leurs clients.
Certains des exemples positifs de marketing de contenus dont j’aime parler sont :
Le marketing des médias sociaux quant à lui, doit faire une grande place au marketing de contenus. Par contre, il peut aussi contenir de la publicité et du positionnement payant. C’est d’ailleurs pour discriminer « le positionnement naturel » qui est issu des efforts rédactionnels au positionnement payant « qui est issue de l’enveloppe budgétaire publicitaire » qu’on a inventé les concepts de (paid, owned, et earned media Poem) qu,on pourrait traduire par médias payés, propriétaires et mérités. Donc les médias payés sont la pub que vous ferez ou le positionnement payant. Les médias propriétaires sont vos présences Web sur vos sites et médias sociaux (dans lesquels vous userez de marketing de contenus idéalement) et les médias mérités seront les bénéfices de vos efforts en termes de mentions, hyperliens externes, articles de journaux et autres. Vous pourrez donc faire un mélange de ces différents types d’utilisation des médias sociaux, mais dans ma pratique, j’ai toujours valorisé les médias propriétaires et les médias mérités et en termes de pérennité des investissements, ce sont les deux axes les plus performants. Cependant comme je l’ai souvent mentionné. Ils requièrent des investissements à moyen et long termes pour des retombées à moyen et long termes. Notez aussi que vous pouvez avec des présences propriétaires et mérités, mais que les impacts les plus importants viendront de l’utilisation du marketing de contenus qui fait une place à la discussion et qui racontera une histoire (storyline) en parlant de son sujet plutôt qu’e parlant strictement de ses produits et services. Le narcissisme corporatif, comme celui qu’on retrouve chez certaines personnes, n’est pas ce qui pourrait être considéré comme très attractif. J’en parlais d’ailleurs dans mon billet Narcissisme corporatif et publicité ou marketing de contenu.
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MySpace a déjà été LE média social numéro un de la planète. Je me souviens aussi de Viadeo (l’équivalent français de LinkedIn qui prenait trois paragraphes pour expliquer un bouton), Skyblog, Google+ ou Second Life (dont j’étais l’une des expertes francophones). Ils ont tous perdu de l’importance ou ont carrément disparu.
À propos de MySpace, sur Capital.fr on peut lire :
Puis des successions de scandales liés à l’utilisation des données, un appel au boycott, une lassitude grandissante, des bugs, l’arrivée de Facebook, sont venus amplifier ce qui était son principal problème: il n’était pas rentable, et personne n’arrivait alors à voir comment il pourrait le devenir. Des tentatives de relance en 2013 ou 2018 n’auront pas suffi à redonner vie à ce site qui a pourtant jeté les bases de ce que sont les réseaux sociaux actuels.
Étant donné ces derniers enjeux de modération, de censures et de scandales d’utilisation de données, de nouveaux outils ont depuis quelques semaines, le vent dans les voiles. Je ne prétends vraiment pas prédire l’avenir et annoncer qu’ils représenteront LES nouvelles destinations. Cependant, il est néanmoins important de les connaitre étant donné que si le passé de l’histoire d’internet est garant de l’avenir, les géants d’hier ont souvent été remplacés.(Facebook a remplacé MySpace, qui lui avait remplacé Friendster, qui était une réponse aux précédents sixdegrees.com et makeoutclub ou leurs ancêtres IRC et autres. (Voir MadTomatoes qui reprend Redpill)
Voici donc une revue non exhaustive, de ces nouveaux joueurs. Notez aussi que les conservateurs américains, les créateurs de contenus d’extrême droite et de fausses informations ayant été censurés pratiquement partout sur le web, se retrouvent massivement sur ces nouveaux outils sociaux. Par ailleurs il est aussi important de noter que la censure rend plus difficile la surveillance de ces groupes, par les forces de l’ordre et que le relatif anonymat que permet ces outils, bien que ce soit une réponse positive aux exagérations de l’utilisation des données personnelles par les gros joueurs, complexifie aussi l’identification des malfaiteurs qui pourraient s’en servir à des fins criminelles. .
Cependant, il est aussi vrai que plusieurs internautes qui veillent à leurs vies privées et qui sont contre l’utilisation de leurs données personnelles, se retrouvent aussi sur ces outils.
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« Bienvenue à notre spectacle! Nous vous invitons à minimiser le son et la luminosité de vos téléphones intelligents et à prendre toutes les photos et les vidéos que vous voudrez. N’hésitez pas à partager celles-ci sur vos réseaux sociaux et à inciter vos amis à venir eux aussi voir les excellents artistes de notre festival. Bon spectacle! »
Ce à quoi, le pote Bruno Boutot avait répondu par le commentaire :
Comme le répète souvent Cory Doctorow
(citation approx. de mémoire):
“Ce dont ont le plus besoin les artistes, ce n’est pas de copyright, c’est d’être connu.”
C’est aussi un des principes des “camps” et “unconferences”:
Tout participant est invité à diffuser le plus possible le contenu, à condition que ça ne dérange pas le déroulement de l’événement.
Ce sera donc l’un des nombreux « pavés dans la marre » que je lancerai aux artistes présents lors de ma conférence vendredi prochain et dont vous pouvez prendre connaissance de mon PPT plus bas
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Non je ne vous parlerai pas de #JesuisCharlie, de @Caitlyn_Jenner ou de ces autres hashtags ou comptes médias sociaux qui ont déjà fait ad nauseam la manchette. Je ne vous parlerai pas non plus des réseaux sociaux. Le réseau c’est l’ensemble d’un groupe, tandis que le média, c’est l’outil. Déjà trop de médias, journalistes ou « spécialistes médias sociaux » disent n’importe quoi et revisitent les lieux communs que même ma conjointe qui est pourtant une « ordinausore » connait déjà. Alors, allons-y.
Facebook
Après l’échec majeur de Facebook Commerce en 2012, Facebook tente une nouvelle fois de se réinventer en plate-forme commerciale avec son Buy Button. Étant donné que Facebook détient une part de lion dans le web mobile, il croit miser sur cet aspect pour faire finalement lever les ventes sur leur plate-forme. Pour le Québec, on s’entend que le web mobile est encore une utopie puisqu’à 50km des grands centres, l’internet ou les ondes cellulaires c’est de la merde. On remarque aussi que comme c’était le cas en 2012, si on va sur Facebook ce n’est pas nécessairement pour se faire imposer un pitch et les entreprises elle-même, surtout celles qui ont massivement investi dans Facebook et qui ont observé le déclin alarmant de la portée naturelle de leurs contenus (j’an ai parlé dans Facebook zero) n’ont sans doute par intérêt à se faire lessiver de nouveau. Par ailleurs, pour la première fois, on a observé un déclin substantiel du partage de contenu par les usagers eux-mêmes sur Facebook (ce qui a été démenti par les principaux intéressés). N’empêche que Facebook demeure le média social numéro un de la planète.
Le dictionnaire Oxford fait entrer l’émoticon « larmes de joie » (Face with tears of joy emoji en anglais) dans son célèbre répertoire de mots et d’expression. À noter que certains des autres mots qui étaient en compétition pour ce palmarès (qui nous donne une bonne idée des sujets chauds de l’année) sont :
Économie du partage (sharing economy)
Bloqueur de publicité (ad Blocker)
Et Web profond (dark web).
MCommerce
Le commerce mobile prend son envol partout, sauf au Québec. 8 usagers internet sur 10 ont un téléphone intelligent et on entend de plus en plus parler des termes webrooming et showrooming. Le premier étant le magasinage en ligne qui évolue par la suite à un achat en magasin, tandis que le second est le magasinage en magasin qui résulte en un achat en ligne. Pourquoi ces tendances ne sont pas encore très fortes au Québec? Pour les mêmes raisons citées plus haut. Nos services cellulaires, particulièrement en région, sont d’une « pochitude » A_BER_RAN_TE. On se souviendra aussi d’applications mobiles tels que Foursquare qui faisait un tabac dans les grandes villes américaines et européennes et qui n’a jamais levé au Québec.
Recrutement ISIS sur les médias sociaux
L’actualité nous a permis de constater que même ici, au Québec, nos jeunes se font recruter sur les médias sociaux pour aller combattre avec ISIS en Syrie. C’est un problème mondial et c’est cette année qu’on a pu mesurer l’ampleur de l’expertise d’ISIS en recrutement en ligne, bien qu’ils y soient déjà très actifs depuis quelques années. Les entreprises médias sociaux tels que Facebook ou Twitter, ont bien modifié leurs politiques aux usagers pour bannir les « menaces indirectes de violences » et Anonymous s’est engagé à troller ISIS dans tous les recoins du web, mais force est de constater que la tâche est énorme et que c’est toujours ISIS qui a le haut du pavé.
« le Ministère dans l’élaboration de la Feuille de route en économie numérique. Regroupant une dizaine de membres, le groupe conseil contribuera à établir un diagnostic de l’économie numérique au Québec, à déterminer les priorités d’action et à définir les grandes lignes de force où le Québec devrait investir afin de prendre une place enviable dans ce domaine.»
On s’entend qu’on est encore très loin d’une « stratégie numérique pour le Québec », qui idéalement serait transversale et toucherait tous les aspects de l’économie, tous les ministères et toutes les activités humaines, comme le numérique le fait déjà. À la place, on semble avoir une vision à la pièce, que pour quelques pans de l’économie.
Au fédéral, notre premier ministre a promis d’investir plusieurs milliards dans les infrastructures. Malheureusement, à ce que je sache, aucune discussion quant aux infrastructures numériques n’a encore été mentionnée.
En résumé, nous sommes donc et risquons d’être encore en retard pour un bout, sur les grands mouvements numériques de la planète…
MAJ
J’ai oublié de vous souligner que les médias journalistiques qui sont sur Facebook et qui comptent sur le média social pour se faire du trafic ont pris une méchante débarque cette année. Ainsi, selon Fortune
While some publishers saw an increase in traffic from Facebook—including Vice Media and Refinery29—the majority saw it fall. And to compound the problem, the more reliant a media outlet was on the social network, the more they saw their traffic from Facebook drop this year. The Huffington Post saw a decline of more than 60%, and BuzzFeed saw its Facebook referrals fall by more than 40%.
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