Le Lab VOXtv – Chronique : La gastronomie sur le Web, les foodies

Pour ma douzième chronique à l’émission LeLab, je discute avec Philippe Fehmiu de : La gastronomie sur le Web, les foodies. La voici donc :
Capsule La gastronomie sur le Web, les foodies

Je vous invite aussi à revoir et à relire mes billets :
Mais que peut bien venir faire une recette dans un blogue marketing Internet?

La recette de sauce Ragu Bolognèse de Robert Freson

Marinade à steak BBQ 2.0

Mes adresses épicuriennes pour faire de la bonne bouffe

Mon repas de Noël, le meleagris gallopavo

Internet Haïti – Les retombées positives d’un simple billet

Hier je mettais en ligne le billet Primeur : Haïti : Comment Internet est-il encore possible depuis Port-au-Prince. Déjà, cet humble billet fait bouger des choses positives pour Haïti comme en témoigne ce nouveau courriel de Stéphane, le directeur marketing de Multilink.

Bonjour Michelle,

Encore mes états d’âme pour te dire comment le petit kayak est maintenant devenu un grand train de solidarité pour maintenir Internet en Haiti.

Comme je t’expliquais hier, Internet est actuellement aussi vital que l’eau et l’électricité en Haiti.

Le posting que tu as fais sur ton blogue hier a fait réagir Mathieu Turbide du Journal de Montréal, qui a fait réagir la plus haute direction de Québécor / Videotron qui aide actuellement Reporters Sans Frontière et qui fait que Multilink aidera le centre de presse de Reporters sans Frontière

Autre résultats dans toutes cette chaîne fractale: Pierre Coté (Real-Time Réalité) avec l’aide de PBS Frontline World ont fait réagir la plus haute direction de Google et  Youtube qui aide actuellement Multilink Haiti à trouver des volontaires ingénieurs de réseaux et de les transporter en Haiti.

@+

Stef

Morale de cette histoire :
Vous pouvez aider Haïti de l’endroit où vous êtes déjà. Il n’est pas nécessairement obligatoire de s’y rendre et d’engorger le petit aéroport qui a bien plus besoin d’être utilisé pour accueillir les médecins, ressources spécialisées et équipement nécessaires aux opérations urgentes de support à la population. Vous pouvez aussi faire des reportages sur Haïti via l’extérieur, avec l’aide des ressources locale déjà présente, sans engorger inutilement le théâtre des opérations.
Réflexion média 2.0
Au lieu d’envoyer des centaines, voire des milliers de journalistes de différents médias sur les lieux, pourquoi ne pas développer une coopération intermédia (voire transmédia) et limiter au maximum le nombre de journalistes sur les lieux et partager ceux qui y sont déjà entre différents médias (dans l’esprit de collaboration des médias sociaux notamment)?

Le Lab VOXtv – Chronique : Le iPhone

Pour ma onzième chronique à l’émission LeLab, je discute avec Philippe Fehmiu de : iPhone. La voici donc :
Capsule sur Le iPhone

Je vous invite aussi à revoir et à relire mon billet : Le Lab VOXtv – Chronique : La question de la passion en marketing Web et capsule inédite PC vs Apple et Le Lab VOXtv – Chronique : La réalité augmentée

MAJ
Selon un article de Technaute, Le monde de l’érotisme gagné par la fièvre du 3D et de l’internet, l’industrie pornographique serait désormais capable de développer des applications iPhone, hors du giron d’Apple.

Un espace a été également réservé aux applications pour iPhones.
«Apple ne nous a pas permis d’utiliser son AppStore, alors nous avons conçu notre propre boutique» d’applications, a expliqué Steve August, le co-propriétaire de la société HotTrix, connue pour ses jeux iBeer, iMunchies, et iBug. «Nous avons un moyen de fournir des programmes pour adultes sur l’iPhone sans aucunement pirater votre iPhone», assure M. August.
Ses applications permettant d’accéder à des clips ou des photos déshabillées ont déjà été téléchargées à 2 millions de reprise, selon lui.

L’industrie pornographique est réellement l’industrie la plus innovante du Web…

Québec-Scope, les 19 personnalités de l’année

Je suis native de Québec et fière de l’être. C’est pourquoi je suis particulièrement touchée que la rédaction du magazine touristique Québec-Scope s’en souvienne et surtout, qu’ils ont fait de moi l’une de leurs 19 personnalités de l’année 2009. Si vous cliquez sur l’hyperlien du magasine et que vous allez à la page 83, vous remarquerez une photo de moi enfant. C’était en fait la première fois de ma vie que je faisais du ski de fond, lors d’une classe neige en sixième année. Sinon, voici l’intéressant questionnaire auquel j’ai répondu pour ce gentil profil.

 

  1. Comment avez-vous démarré votre entreprise, votre carrière? J’ai effectué un retour aux études dans la quarantaine, ce qui a été un point tournant dans ma vie. Il y a aussi le fait que j’ai vendu ma première entreprise après trois ans, ce qui m’a permis d’en partir une autre.
  2. Quelles sont les difficultés perçues tout au long de votre parcours? Avoir changé de sexe et tout ce qui se relie à ça : la peur du rejet public qui s’est finalement avérée une fausse peur, car les gens ont trouvé que c’était une preuve d’intégrité.
  3. Quels conseils donneriez-vous à des jeunes qui débutent dans votre domaine? Il faut toujours essayer de trouver sa vraie passion… c’est tout ce qui nous permet d’être bons dans ce que nous entreprenons et, souvent c’est le meilleur moyen de faire de l’argent.
  4. Quelle est votre plus grande réalisation à ce jour? Avoir trouvé ma passion et je suis fière du statut que j’ai à ce jour.
  5. Racontez-nous une anecdote que vous avez vécue? Sur mon site internet, j’avais proposé aux internautes de voir l’ombre de Bibitte, ma conjointe, qui n’est pas connue publiquement et , juste pour voir son ombre, il y a eu 200 clics en l’espace de 15 minutes!
  6. Quelle est votre principale qualité? L’intégrité.
  7. Quel est votre principal défaut? J’ai le défaut de ma qualité… je suis « grande gueule ».
  8. Que détestez-vous par-dessus tout? La bêtise humaine et le mépris.
  9. Quel est votre passe-temps favori? Cuisiner,
  10. Qui est votre modèle, votre idole? J’en ai plusieurs! Entre autres, Jacques Nantel et, dans ma vie de tous les jours, ma conjointe, dont le surnom est Bibitte.
  11. Si vous étiez un superhéros (film, roman, etc.), qui seriez-vous? Fifi Brindacier pour son fort caractère et sa créativité.
  12. Quel est votre drink préféré? Pourquoi? Le scotch pour sa finesse. Et j’adore le duo cigare-scotch. Aussi, quand je vais à Paris, je me procure toujours deux bouteilles de Peuchet Fine Réserve de l’Empereur XO.
  13. Quel est votre restaurant préféré? Pourquoi? À Montréal, le Garde-Manger pour l’innovation du chef et l’ambiance. Et mon endroit favori à Montréal est le Laïka sur St-Laurent, un café internet chaleureux où j’aime me retrouver. J’y vais environ 3 fois par semaine.
  14. Qu’aimez-vous le plus de la ville de Québec? Son charme, sa beauté architecturale, ses rues et j’admire et développement urbain des dernières années. Plusieurs souvenirs d’enfance se rattachent à Québec.
  15. Quelle est votre ville préférée dans le monde (mise à part Québec)? Pourquoi? Ce n’est pas une ville, mais une île où le sable est blanc et doux comme de la poudre à bébé et l’eau est de couleur turquoise. C’est l’île de Long Island South Bahamas. J’aime aussi au Québec la rivière Ste-Anne, au pied du Mont Albert dans la Gaspésie qui est magnifique.
  16. Quel rêve ou projet aimeriez-vous voir se réaliser pour Québec? Il faudrait que la chicane entre Québec et Montréal cesse.
  17. Où serez-vous dans 19 ans? Je veux poursuivre mes passions… et avoir du fun… le reste suivra!
  18. Que représente le temps des Fêtes pour vous? La tristesse, car suite à mon opération, la moitié de ma famille ne me parlent plus. Je ne peux donc plus voir, entre autres, mes neveux et nièces.
  19. Quelle est votre résolution pour l’année 2010? Je désire être encore plus mordante.

L’avenir des communications, Réponse aux questions d’InfoPresse

Je reçois un courriel de la rédactrice en chef d’InfoPresse, Marie-Claude Ducas, qui me demande de pondre un texte en vue d’un spécial qu’ils préparent sur les changements que vivront différents acteurs des communications. Voici donc la question que l’on me pose et la réponse que j’en fis.

Quel est le plus important changement que vous voyez en ce qui concerne les entreprises (côté gestion d’image, RPs, publicité, etc.)? En ce qui concerne les médias, l’information, la valeur du contenu, les modèles d’affaires et métiers autour de l’information ? En ce qui concerne toute autre chose que vous auriez envie de mentionner ?

C’est Boston Counsulting Group qui disait dans son document The CMO’s Dilemna(1) que les patrons marketing ne pouvaient plus rejoindre la masse avec le marketing de masse et ne pouvaient pas non plus le faire avec le marketing de niche, d’où le dilemme. IBM en rajoute une couche en prétendant que les 5 prochaines années verront plus de changement dans l’industrie de la publicité que les cinquante dernières (dans son document The End of advertising as we know it (2)). Nous pouvons donc assumer sans être trop prudents que nous vivons une époque de turbulence et de réajustement qui frappera durement les industries de la presse, des médias, du marketing et des relations publiques. D’ailleurs, les gens de relations publiques qui sont habitués à faire dans la relation média devront certainement réajuster leur modèle d’affaires pour faire plus de la relation avec les publics, qui deviennent désormais des interlocuteurs multiples, actifs et participants. Ce public est aussi celui que visent ultimement les secteurs industriels déjà mentionnés. Le hic est qu’il est maintenant participatif et qu’il tient à dire son mot. De plus, il est lui-même générateur de contenus et il les filtre pour ses amis. Les contenus, médiatiques, publicitaires, marketing et de communication ne sont donc plus unidirectionnels et/ou la panacée d’une gang de « créatifs ».

La démocratisation des contenus touche aussi plusieurs autres sphères de l’activité humaine. À titre d’exemple, avant d’aller voir le médecin, le patient s’informe désormais sur le Web et arrive avec des questions et de l’information qu’il veut faire valider par le professionnel. L’étudiant remet en question le professeur et cherche par lui-même et tente de valider « le cours et les informations » qui étaient jadis détenues par le professeur au « grand savoir ». Nous pourrions continuer avec bien d’autres exemples pour illustrer à quel point les changements que nous vivons sont profonds et remettrons bien des choses en perspectives. Il y a aussi la question de la gratuité des contenus et des modèles d’affaires qui les sous-tendent. L’argent n’est plus dans les contenus, mais plutôt dans les contextes (tel que l’explique si bien le blogue AFPmediaWatch (3)) et les produits dérivés qu’ils entraînent. Cependant, il y aura toujours de gens qui seront payés pour créer des contenus à haute valeur ajoutée et originaux. Mais qu’est-ce que cette valeur ajoutée? À mon avis elle se trouve désormais dans les aspects locaux (dans le sens géographique), dans l’analyse et dans la mise en perspective. En ce sens, les médias et les journalistes agiront comme filtres et agrégateurs de l’information, qu’ils bonifieront par la suite, d’expertises de pointes.

Pour revenir sur la question des modèles d’affaires, comme l’expliquait l’économiste Jacques Attali (4) :

La gratuité d’un service pour le consommateur n’entraîne pas nécessairement celle du travail de celui qui le fournit. Le projet de loi (Hadopi) ne vise qu’à freiner le développement d’Internet pour préserver le profit des majors. La licence globale peut fournir des recettes nouvelles significatives pour les auteurs, les interprètes, les cinéastes. La licence globale accélérera aussi une modification très profonde et très positive du mode d’organisation des métiers de l’art.

Il explique aussi que la culture a toujours été financée par la société, elle devra l’être aussi une fois qu’elle se retrouve sur le Web (ce qui n’est pas encore le cas). Les modèles d’affaires des créateurs auront donc cette manne réorientée Web, afin de financer leurs créations. D’autres entreprises devront aussi songer à comment développer des produits dérivés de la création d’un contenu, pour faire de l’argent. Personnellement, je ne fais que peu de profits de mes contenus médias sociaux, mais je vis vraiment très bien de leurs produits dérivés que sont mes services-conseils et mes conférences. Ainsi, d’autres entreprises devront se faire le même genre de réflexion…

1 http://www.bcg.ru/documents/file21387.pdf
2 http://www-935.ibm.com/services/us/gbs/bus/pdf/ibv-g510-7869-01-advertising.pdf
3 http://mediawatch.afp.com/?post/2009/11/18/Context-is-King
4 https://www.michelleblanc.com/2009/03/23/attali-argumentation-pour-telechargement-gratuit/

Club Social TV5 : Vie privée, vie publique. Facebook, Twitter et autres réseaux sociaux

Il y a plusieurs semaines de ça, j’accordais une entrevue à Philippe Desrosier (vraiment très sympathique et documenté ce mec) pour l’émission Club Social sur TV5. Le topo de l’émission :

Vie privée, vie publique. Facebook, Twitter et autres réseaux sociaux annoncent-ils la fin de la vie privée? Un reportage de Philippe Desrosiers.

Le reportage débute à 03 :22min. pour se terminer à 10 :00min.

Le Lab VOXtv – Chronique : La réalité augmentée

Pour ma dixième chronique à l’émission LeLab, je discute avec Philippe Fehmiu de : La réalité augmentée. La voici donc :
Capsule sur La réalité augmentée

Qu’est-ce que la réalité augmentée sur Wikipedia ?

La notion de réalité augmentée désigne les systèmes (au sens informatique) qui rendent possible la superposition d’un modèle virtuel 3D ou 2D à la perception que nous avons naturellement de la réalité et ceci en temps réel. Ce système peut aussi bien s’appliquer à la perception visuelle (superposition d’images virtuelles aux images réelles) qu’aux perceptions proprioceptives comme les perceptions tactiles ou auditives.

Le concept de réalité augmentée vise donc à compléter notre perception du monde réel, en y ajoutant des éléments fictifs, non perceptibles naturellement. La réalité augmentée désigne donc les différentes méthodes qui permettent d’incruster de façon réaliste des objets virtuels dans une séquence d’images. Ses applications sont multiples et touchent de plus en plus de domaines : jeux vidéo et edutainment, cinéma et télévision (post-production, studios virtuels, retransmissions sportives…), industries (conception, design, maintenance, assemblage, pilotage, robotique et télérobotique, implantation, étude d’impact…), médical, etc.

et dans le Wikipedia anglo on ajoute :

Display techniques
There are three major display techniques for Augmented Reality:

I. Head Mounted Displays
II. Handheld Displays
III. Spatial Displays.

Head Mounted Displays
A Head Mounted Display (HMD) places images of both the physical world and registered virtual graphical objects over the user’s view of the world. The HMD’s are either optical see-through or video see-through in nature. An optical see-through display employs half-silver mirror technology to allow views of physical world to pass through the lens and graphical overlay information to be reflected into the user’s eyes. The HMD must be tracked with a six degree of freedom sensor. This tracking allows for the computing system to register the virtual information to the physical world. The main advantage of HMD AR is the immersive experience for the user. The graphical information is slaved to the view of the user.
Handheld Displays
Handheld Augment Reality employs a small computing device with a display that fits in a user’s hand. All handheld AR solutions to date have employed video see-through techniques to overlay the graphical information to the physical world. Initially handheld AR employed sensors such as digital compasses and GPS units for its six degree of freedom tracking sensors. This moved onto the use of fiducial marker systems such as the ARToolKit for tracking. Today vision systems such as SLAM or PTAM are being employed for tracking. Handheld display AR promises to be the first commercial success for AR technologies. The two main advantages of handheld AR is the portable nature of handheld devices and ubiquitous nature of camera phones.
Spatial Displays
Instead of the user wearing or carrying the display such as with head mounted displays or handheld devices; Spatial Augmented Reality (SAR) makes use of digital projectors to display graphical information onto physical objects. The key difference in SAR is that the display is separated from the users of the system. Because the displays are not associated with each user, SAR scales naturally up to groups of users, thus allowing for collocated collaboration between users. SAR has several advantages over traditional head mounted displays and handheld devices. The user is not required to carry equipment or wear the display over their eyes. This makes spatial AR a good candidate for collaborative work, as the users can see each other’s faces. A system can be used by multiple people at the same time without each having to wear a head mounted display. Spatial AR does not suffer from the limited display resolution of current head mounted displays and portable devices. A projector based display system can simply incorporate more projectors to expand the display area. Where portable devices have a small window into the world for drawing, a SAR system can display on any number of surfaces of an indoor setting at once. The tangible nature of SAR makes this an ideal technology to support design, as SAR supports both a graphical visualisation and passive haptic sensation for the end users. People are able to touch physical objects, and it is this process that provides the passive haptic sensation

MAJ
La reconnaissance faciale en Grande-Bretagne, dans le Wikipedia anglo

Le Lab VOXtv – Chronique : L’image de marque sur Internet

Pour ma neuvième chronique à l’émission LeLab, je discute avec Philippe Fehmiu de : L’image de marque sur Internet. La voici donc :

Capsule sur l’image de marque sur Internet

J’ai couvert le sujet de cette chronique dans mes billets :
Ego inc. : réponse aux détracteurs et le « Personal Branding » : ce n’est pas nouveau

La règle de trois en marketing ou en publicité

Twittertrash, Twitterfight et Twitt

Le Lab VOXtv – Chronique : La question de la passion en marketing Web et capsule inédite PC vs Apple

Pour ma huitième chronique à l’émission LeLab, je discute avec Philippe Fehmiu de : La question de la passion en marketing Internet et dans la vie professionnelle. Cette capsule fut si « passionnante » à faire que Philippe et moi avons débordé sur une obstination Pc vs Apple. Cette capsule ne sera pas diffusée à VoxTV mais se retrouvera sur leur site Web et sur le mien. La voici donc :
Capsule sur la passion

Capsule d’obstination INÉDITE et passionnante : PC vs Apple

J’ai couvert le sujet de cette chronique dans mes billets :

Plus de gens en mangent parce qu’elles sont plus fraîches et elles sont plus fraîches parce que plus de gens en mangent
La passion et les coûts marketing

Conseils à ces nouveaux blogueurs qui veulent percer

Faire de l’argent avec la passion
10 conseils pour aider les médias à devenir numérique
La passion selon Brogan
Macbook Air, c’est de l’air

iPhone, non je ne vous en parle pas
Mac vs PC, la suite
Mac vs PC

Techtoc.tv : Le buzz négatif

Voici une discussion sur ce qu’est le buzz négatif et son impact positif ou non, sur les gens ou entreprises qui en sont victimes. Cette discussion a eu lieu à Paris, sur le plateau de Techtoc.tv et j’ai eu le plaisir d’y participer depuis Montréal. On y discute entre autres d’un buzz touchant la politicienne Ségolène Royal (dont j’avoue d’emblée qu’on s’en fout ici, sauf durant les présidentielles françaises http://www.dipity.com/timeline/desirdavenir) et de la saga dont j’ai été victime avec l’agence Vanksen et dont je parlais dans mon billet : On salit mon image, mais on corrige positivement.


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