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Le copain Fred Cavazza organise un séminaire Second Life à paris. Sacré Fred, est-ce moi qui t’ai fait changer d’avis à propos de Second life lors de notre confrontation à Webcom 2007? Je n’ose le croire… Mais je suis convaincu que ce sera une rencontre passionnante! Loïc Le Meur a bien changé d’avis à propos de l’idée de Sarkozy dans l’univers, pourquoi pas Fred?
Article publié le mardi, 5 juin 2007 sous la rubrique Second Life.
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Un article intéressant d’Adage, pointé par le copain Martin Ouellette de Provokat, démontre comment l’idée de reconstruire un magasin dans cet univers 3D, n’est peut-être pas la bonne approche pour obtenir des retombés d’affaires immédiates. Il faut en fait comprendre que dans cet univers, les références traditionnelles de la vie réelle ou du Web classique ne fonctionnent peut-être pas. C’est un lieu ou il faut innover, être créatif et s’adapter à la réalité tridimensionnelle qui ne fait peut-être pas de place pour certains produits de tous les jours. Ainsi, nous ne pouvons pas boire de Coke dans SL. Cela n’a cependant pas empêché Coke de faire un concours de design de distributrice Coke dans SL. Ces distributrices pourraient, au lieu de fournir des canettes, offrir le côté Coke de la joie de vivre, des informations ou une expérience partagée? C’est à ce que songent présentement les inscrits au concours.
Coldwell banker ont aussi appris par accident, qu’en plus d’offrir des infos sur le marché immobilier réel et virtuel, d’obtenir un CTR de 2.3% pour visiter le site Web traditionnel (comparativement aux 0.13% de leur bannière), ils pouvaient aussi se servir de leur présence comme lieu d’embauches de candidats. Finalement,
Other companies, including digital agencies Organic and AKQA, are developing or have already developed recruitment centers in-world, where the average age is 32 and participants are seen as individualistic, authentic and tech-savvy early adopters.
With standard in-world development costs starting at $20,000 to $30,000, and with $100,000 to $300,000 the norm for a year of strong and notable presence, according to Mr. Constable, the cost is small compared with the overall marketing budgets of major advertisers. The risk of failure, then, is also minimal.
Article publié le mardi, 29 mai 2007 sous les rubriques Innovation, Marketing 2.0, Marketing des univers virtuels, Marketing Internet, Médias sociaux et Second Life.
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Comscore rend disponible les données de fréquentation des « résidents actifs » de la plate-forme virtuelle Second Life.
The study revealed that approximately 1.3 million people ran the official software and logged-in to Second Life in March 2007. This represents an increase of 46 percent in the number of active residents from January 2007.
On y apprend aussi qu’il y a 46000 Canadiens Canadiens et Mexicains actifs dans SL (243000 nord-américains moins 207000 Américains)
Via Techcrunch
Article publié le mardi, 8 mai 2007 sous la rubrique Second Life.
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Le Washington post faisait état que l’utilisation de la plate-forme Second Life pour la campagne présidentielle française, avait possiblement permis à la France de devenir le 2e pays le plus actif dans l’univers, en terme d’utilisateurs.
“There is something distinct about communication in Second Life,” said Margaux Gandelon, a 20-year-old journalism student who helped create its headquarters for Bayrou, who is running as an alternative to the ruling party’s Sarkozy and the Socialists’ Royal in the April 22 French presidential election. “People don’t behave the same way as when you meet them on the street — they are more open to discussions.”
Interest in the French presidential campaigns has become so intense that visits to the cyber-headquarters helped give France the second-highest number of Second Life avatars of any country in February, according to the site’s records. Only the United States registered more avatars on the site, which claims more than 5 million registered participants.
Mais au-delà de cette participation massive des Français dans SL, cette campagne aura signé un tournant quant à l’utilisation du Web à des fins de marketing politique. Cependant, l’impact le plus déterminant de ces initiatives virtuelles, aura sans doute été les retombés médiatiques de celles-ci.
Thieulin, the Internet coordinator for Royal’s campaign, said the greatest benefit of the virtual headquarters has been the media interest it has generated. He described Second Life as “part of a wider Web strategy,” adding, “We try to be everywhere online.”
Pour vous rappeler ou découvrir cette épopée SL, vous pouvez relire mes billets
La campagne présidentielle française se déroule aussi dans Second Life
Caricavatar, le roi des caricatures 3D de Second Life
Le Meur-Sarkozy, Le nouveau décor
Le Meur dans Second Life pour Sarkozy
La campagne électorale française et le virtuel
Sarkozy n’iras pas dans Second Life
Ou encore visionner ces clips à propos des partis dans Second Life et venant d’ailleurs:
Le Front national dans Second Life
PS dans Second Life
Bové dans Second Life
île Sarkozy dans Second Life et ici
Parodie de Sarkozy dans Second life
Manif anti FN
Manif anti-sarkozy
Article publié le lundi, 7 mai 2007 sous les rubriques Démocratie en ligne, Gouvernement électronique, Marketing 2.0, Marketing des univers virtuels, Médias sociaux, politique et internet et Second Life.
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Bon, bon, bon, les mauvaises langues diront que c’est encore une entreprise en manque de visibilité médiatique qui se lance éperdument dans ce monde inutile, peu peuplé, si ce n’est que par des ermites soufrant de « dépendance maladive parce qu’incapables de fonctionner dans le monde réel », qu’est Second Life! Moi je dirais plutôt que le sport le plus médiatisé de la planète américaine, que les médias se battent pour avoir l’opportunité de couvrir, qui fait des milliards de dollars de placements médias et de revenus de billetterie, qui expérimente à son tour les innombrables opportunités qu’offre désormais le marketing Web 3D de Second Life! Tiens je viens d’inventer une nouvelle expression le marketing Web 3D. Mais je dis encore n’importe quoi… Donc, la NBA est désormais dans Second Life. Pour les copains d’outre atlantique, la NBA c’est pour la National Basketbal Association. Le sport numéro UN des Américains.
Pour les trop peu nombreux que ça intéresse encore voici ce qu’on en dit sur le blogue Kotaku, via un courriel du copain Carl Charest.
The NBA launched its presence in the virtual world of Second Life this morning, following an in-world press conference yesterday that featured NBA commissioner David Stern making the announcement. Built out by the Electric Sheep Company (sponsors of this blog), the NBA region in SL features a basketball arena, streaming video of classic NBA games and more recent highlights, virtual NBA merchandise (natch), and four half-courts where fans can play HORSE or enter dunking contests.
Article publié le mercredi, 2 mai 2007 sous les rubriques Marketing 2.0, Marketing des univers virtuels, Marketing Internet, Médias sociaux, Relations publiques Internet et Second Life.
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Aujourd’hui j’ai eu la chance de rencontrer un journaliste particulièrement allumé, qui est venu m’interviewer pour un reportage qui devrait être diffusé l’automne prochain. Il s’agit de Frederic Zalac et ce reportage est prévu pour la série Enjeux de Radio-Canada. Comme c’est quelqu’un de très intelligent et articulé, il m’a permis, par ses nombreuses questions, de mieux comprendre encore ma fascination pour Second Life. Voici donc quelques réflexions qui vous permettront peut-être, de saisir l’engouement que j’ai pour cet univers.
Tout d’abord, ma fascination n’est pas réellement pour Second Life en tant que tel, elle est plutôt pour le terreau d’expérimentation du Web 3D qui s’y exprime à vitesse grand V, en ce moment. Je ne sais pas si Second Life restera seul encore longtemps, (j’en doute même) et je n’ai aucune idée à savoir si cet univers existera encore dans 10 ans. Ma fascination est directement liée aux pas de géants que cette plate-forme permet d’expérimenter, en regard de l’expérience Internet qui touche plusieurs sphères de l’activité humaine.
E-learning
Second Life supplante la plupart des logiciels de e-learning que nous connaissons. C’est déjà un beau début! Pour vous l’exprimer clairement, disons que pour une classe de e-learning de 60 élèves et un professeur, il est impossible présentement pour le professeur de voir simultanément tous ses élèves, son matériel didactique et d’interagir en temps réel avec chacun d’eux. En outre, il sera aussi difficile, voire impossible pour les étudiants d’interagir entre-eux dans ce cours d’e-learning. Cela est déjà possible dans SL. De plus, dans une interface 2D, chacun des interlocuteurs potentiels, sera évidemment en 2D. Dans Second Life, comme c’est en 3D, la disposition géospatiale des intervenants dans la classe, sera déjà un indice important de l’implication de ceux-ci, aux débats en cours. De pouvoir se retourner et voir la représentation 3D de l’étudiant derrière nous, qui pose une question au professeur, fera certainement beaucoup pour augmenter le niveau de participation et d’échanges entre les gens présents. D’ailleurs, l’un de mes anciens professeurs me faisait remarquer que dans une classe normale, l’intérêt des élèves est clairement établi par la place qu’ils choisissent d’occuper face au professeur. Ainsi, on peut généralement observer une configuration en T (ou la base du T est le professeur) qui représente l’endroit ou les étudiants les plus impliqués s’assoient. Ceux qui sont assis sur la barre du T étant les contestataires très impliqués (généralement la catégorie à laquelle j’appartiens) et ceux qui s’approchent du professeur étant généralement très impliqué, mais avec un profil plus téteux. Les gens qui s’assoient sur les côtés de la classe, y sont parce qu’ils n’ont pas vraiment le choix et participent généralement peu aux débats et à l’évolution du cours. Vous pourrez expérimenter ce genre de chose dans un univers virtuel à la Second Life, mais jamais avec un logiciel d’e-learning.
Second Life n’est pas un jeu
Contrairement à World of Warcraft, Second Life ne vient pas avec un CD contenant l’entièreté des paysages et graphiques disponibles dans l’univers. Tout ce que vous voyez de Second Life sur votre ordinateur, est complètement Web. Vous téléchargez évidemment le logiciel permettant de faire fonctionner la chose, mais tous les détails de l’univers et toutes les créations de même que les avatars viennent directement de l’internet. C’est déjà presqu’une révolution en soi! De plus, contrairement à un jeu, vous n’avez pas de mission à compléter, paliers à franchir, points à amasser ou d’objectif final à accomplir. Vous êtes laissé complètement à vous-même. Vous pouvez aller où et quand bon vous semble. Il n’y a pas de circuit prédéterminé. Il y a bien quelques règles, mais ce ne sont pas des règles dans le sens de « règles du jeu ». Ce sont plutôt des règles de civilité et des contraintes d’affaires imposées par Linden Lab, afin de garder le contrôle de leur invention et de permettre aux avatars d’évoluer. Ce sont en fait plus des lois et règlements, comme nous en trouvons dans toutes les sociétés. Il y a bien des gens qui ne sont pas d’accord avec celle-ci, la Second Life Liberation Army notamment, mais ces expressions de rebellions sont la preuve même que cet univers est réellement vivant et différent de ce que l’on peut trouver dans les jeux multijoueurs classiques. C’est la preuve que Second Life est une société dans laquelle il peut même y avoir de la dissension!
Les problèmes technologiques, de sexe et de gambling
Pour les plus âgés d’entrevous, rappelez-vous les débuts d’Internet. C’était lent, on ne savait trop qu’y faire, il y avait quelquefois du sexe et du gambling, on disait que les gens qui allaient sur Internet était des asociaux qui ne savaient pas quoi faire de leur première vie. Hum ça ressemble beaucoup à ce que l’on peut entendre de Second Life. Oui Second Life requiert un lien haute vitesse et une carte graphique sur les stéroïdes. Mais comme pour l’internet de ses débuts, les améliorations viennent rapidement et le matériel logiciel et la quincaillerie s’amélioreront d’année en année et à moindres coûts. Oui Second Life contient du sexe et du gambling. Tout comme internet d’ailleurs, dont le contenu à caractère sexuel représente peut-être 5% du volume total des contenus, mais que 60% des gens veulent voir. Le Web est le conscient et l’inconscient collectif. Il est futile de vouloir complètement le contrôler. Les mondes virtuels enrichissent ce conscient et cet inconscient collectif en permettant de les expérimenter en 3 dimensions. C’est fabuleux! Nous avons des millions d’années d’expérimentation avec la 3D et seulement quelques centaines avec le 2D. Nous rêvons en 3D, nous vivons en 3D et nous pensons en 3D. Il est temps que le Web s’adapte à notre réalité au lieu que ce soit notre cerveau et nous qui s’adaptions à lui. C’est ce que commence à permettre Second Life.
Et les entreprises dans tout ça?
Les entreprises qui ont commencé à investir en Chine il y a dix ans, n’y allaient pas pour avoir un retour sur l’investissement immédiat. Elles sont pourtant très heureuses aujourd’hui, d’avoir damé le pion à la compétition et de récolter les fruits de ce positionnement, de ces apprentissages et de ces investissements précoces. C’est un peu ce qui se passe dans Second Life. Je lisais encore aujourd’hui, qu’une entreprise expérimente déjà la publicité par ciblage comportemental sur panneau d’affichage dans Second Life. Plusieurs autres innovations touchants le commerce, la publicité, la création, la gestion d’équipes de travail, les communautés, l’apprentissage à distance, la santé sécurité au travail, le design, l’architecture, l’ingénierie, la promotion et les relations publiques, la gestion clientèle et bien d’autres encore s’expérimentent dans Second Life en ce moment. Le saviez-vous? Y prenez-vous part? Pouvez-vous m’en donner des exemples? Non ce n’est pas une question d’examen, mais une question d’examen de conscience pour les gestionnaires qui s’enorgueillissent de savoir ce qui se passe d’innovant avec le Web et les technologies de gestions d’aujourd’hui. La parade est en marche et elle peut même changer complètement de rue! Êtes-cous au courant qu’il y a une parade? Moi elle me fascine et je suis heureux de marcher avec elle…
Article publié le mardi, 1 mai 2007 sous les rubriques Commerce de détail en ligne, Innovation, Marketing 2.0, Marketing des univers virtuels, Marketing Internet, Médias sociaux, Relations publiques Internet, Second Life, Stratégies de commerce électronique, Technologies Internet et Web 2.0.
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Le journaliste de La Presse Alain Brunet, signe l’article Second Life : laboratoire sociétal ou aliénation 2.0? En parlant de Second Life il écrit :
D’autant plus qu’une portion non négligeable des citoyens de ce pays virtuel y développent une dépendance maladive parce qu’incapables de fonctionner dans le monde réel. Poussés à l’extrême, les refuges dans des mondes imaginaires peuvent se solder par de sévères pathologies. Comment s’arracher de cette nouvelle vie lorsqu’on ne s’appartient plus, lorsque le dédoublement de sa personnalité favorise la croissance d’une nouvelle forme d’aliénation 2.0?
Quelques petites questions à monsieur Brunet. D’où tirez-vous ces informations? D’une étude sérieuse, de potins d’ascenseurs, de vos impressions personnelles? Lorsque vous parlez « d’une portion non négligeable », on parle de quoi, 5-10-20-30% ? Je me trompe certainement, mais mon pif me dit que c’est des informations gratuites… Qu’en pensez-vous?
Article publié le lundi, 30 avril 2007 sous la rubrique Second Life.
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Dans l’édition de demain, du journal Le Devoir, en première page, vous pourrez constater que la présence du Devoir dans l’Univers Second Life, avait pour but d’illustrer un article de fond du journaliste Fabien Deglise. Cette information me vient directement du directeur général du Devoir, monsieur Bernard Descôteaux lui-même. Je peux aussi vous confirmer que monsieur Descôteaux est une personne charmante, curieuse de Second Life, perspicace et qu’il a autorisé cette initiative qui germait dans la tête de son journaliste, depuis de nombreux mois déjà. Ce contexte explique aussi le caractère plutôt sobre, voire anémique, de la présence du Devoir dans SL. Ce n’est donc pas un investissement important, à long terme, avec des objectifs d’affaires établis et mesurables. C’est plutôt une expérimentation initiale qui accompagnera l’article de fond de monsieur Deglise et qui permettra à la direction de Le Devoir et à son lectorat, de se familiariser avec Second Life, de mesurer la réaction du lectorat et d’investiguer plus avant s’il y a lieu ou non, d’en faire plus dans cet univers. Ils pourront toutefois au moins se vanter d’avoir été le premier média canadien à avoir osé y mettre la pointe des pieds. J’ai donc grandement hâte de lire les lignes de monsieur Deglise demain…
MAJ
Voici l’un des trois articles de Le Devoir sur Second Life. En fait, voici le seul de la série qui ne soit pas « barré » des archives payantes de CedromSNI. Il s’agit de Perdu dans le cyberespace, de Fabien Deglise. C’est dommage parce que le journal Le Devoir, fait des analyses généralement très bien documentées et avec une perspective lumineuse de profondeur. Cependant, avec cette série, Le Devoir visite les lieux communs d’introduction à ce qu’est Second Life. Espérons que s’ils poursuivent un peu l’investigation, ils nous parlent de SL à un niveau un peu plus élevé que ce qu’ont déjà écrit la plupart des médias, il y a au moins déjà un an de ça. Pour une perspective un peu plus documentée, je vous invite par contre à visiter Le réseau de veille en tourisme de l’Uqam qui propose Second Life: le tourisme et les univers virtuels, de Maïthé Levasseur, qui bien que ce soit toujours un document d’introduction de ce qu’est Second Life, arrive à en parler au-dessus du plancher virtuel…
Dévoilement, Le réseau de veille en tourisme et l’un de mes clients.
Article publié le vendredi, 27 avril 2007 sous les rubriques Medias et Internet et Second Life.
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Le nouveau copain Nick Mitham de Kzero.co.uk me fait parvenir son excellent document Seven Point marketing plan, Second Life Strategy (PDF). Il y retrace les considérations marketing qui feront la différence entre une dépense bidon dans SL, et un investissement qui rapportera en termes d’images et d’impact auprès des innovateurs influents que sont les utilisateurs de Second Life. Voici une traduction libre et très résumée de ces sept idées.
1. C’est du marketing alors ayez un plan. SL est un autre canal qui mérite toute la considération que vous avez pour d’autres activités marketing. Avant de s’y installer, planifier soigneusement votre initiative. Posez-vous des questions comme quel est la valeur de ma marque, son positionnement et son marché? Pourquoi cette marque existe-t-elle dans le monde réel et comment se différentie-t-elle de la compétition. Ce sont les attributs de ces réponses qui pourront vous aider à déterminer votre implication dans un univers virtuel. N’oubliez sur tout pas de jumeler votre présence dans SL à des activités marketing dans le monde réel. La synergie des canaux fera la différence entre un succès et un échec.
2. Gardez les designers loin de vous. Puisque Second Life est un environnement hautement visuel, il est facile de se laisser emporter par des concepts créatifs évidemment design. N’oubliez cependant pas que bien que le design soit important, c’est un élément tactique qui ne doit pas avoir préséance sur la planification stratégique marketing. Si un concept est assez puissant, il n’a pas besoin d’être construit d’abord dans SL pour prouver ses qualités intrinsèques. L’expérience utilisateur sera ici de la plus haute importance. Est-ce que les interactions seront faciles et possibles?
3. Intégrez vos canaux. Le marketing intégré fait des merveilles dans le monde réel et virtuel. Une campagne qui maximise plusieurs canaux tels que la télévision, le Web, des pubs dans les cinémas, la radio, l’imprimée et les promotions, a souvent un « call-to-action » qui incite les consommateurs à se commettre envers la marque. il en est de même avec Second Life. Prenez l’exemple déjà cité de Starwood Hôtel.
4. Donner est meilleur que de recevoir. Second Life est à propos d’interaction et d’implication. Ce n’est pas l’endroit pour ouvrir une copie conforme de votre magasin physique. Donnez quelque chose de concret à la population de Second Life, devrait être une considération primordiale des stratégies d’implantations dans cet univers. Permettez aux avatars de personnaliser vos produits, offrez de l’information à valeur ajoutée développer des ressources à valeur ajoutée et associée à vos produits ou à votre marque.
5. Soyez présent. La plus grosse erreur des entreprises dans Second Life est de traiter leur présence dans SL comme si c’était un site Web. Sur le Web, nous savons rarement il y a combien de personnes sur l’interface en même temps que nous. Dans SL ce n’est pas le cas. Il y a divers mécanismes qui permettent en temps réel de savoir que nous avons des visiteurs dans le virtuel. il s’agit simplement de dédié des ressources qui peuvent aussi faire d’autres tâches non SL, mais qui, lorsque nous avons des visiteurs dans nos installations SL, pourront interagir avec ceux-ci. De plus, étant donné la haute interactivité de certains mécanismes dans SL, il est aussi possible de laisser ceux-ci agir à la place d’humains derrière un avatar. Mais il apparaît clair que la pire chose est de découvrir une présence corporative dans SL qui est belle, grande et vide!
6. Développez une stratégie continue. Votre présence dans SL doit se moduler dans le temps. Des relations profitables se tissent sur une période de temps. Il est donc important de définir sa présence sur un horizon temporel et de la garnir d’événements ponctuels qui indiqueront un engagement soutenu de la marque pour l’univers, inciteront les citoyens à revenir et solidifieront ces nouvelles relations qui seront créé. Par exemple, de faires des événements ponctuels ou de développer un concours ou des concours, pourront atteindre ces objectifs de pérennités.
7. Promouvoir et faire de la promotion croisée. Pour faire la promotion de vos activités et de votre présence dans SL, utilisez aussi les ressources externes à l’univers. Par exemple, d’utiliser des sites Web tactiques ou des blogues spécifiques à votre présence dans l’univers, peuvent être de belles manières de maximiser votre rentabilité et d’accroître votre visibilité et la participation à votre lieu virtuel. n’obligez pas les gens à se brancher sur SL pour savoir ce qui s’y passe.
Pour une description plus détaillée de chacune de ces idées avec des exemples concrets, lisez le document du copain Mitham…
Article publié le vendredi, 27 avril 2007 sous les rubriques Marketing 2.0, Marketing des univers virtuels, Marketing Internet, Médias sociaux et Second Life.
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Ma primeur de la semaine dernière à propos du journal Le Devoir fait des remous. Mon Skype réagit par personne interposée, pour m’aviser que Le Devoir n’était pas au courant de sa présence dans Second Life. De plus, on m’accuse de manquer de rigueur intellectuelle. C’est que je laisse entendre que Le Devoir est au courant alors qu’apparemment il ne l’est pas! Reprenons donc mes dires :
Cependant, contrairement à Fairmont, ils y sont volontairement et de plein gré (selon le concepteur de leur bureau avec qui j’ai déjeuné).
J’ajoute que je ne suis pas journaliste et que je n’ai jamais prétendu l’être. Mais aux fins de la discussion, voici les démarches effectuées à ce jour,
• j’ai laissé un message à la direction de l’agence de stratégie Web de Le Devoir et n’ai pas reçu de retour d’appel
• j’ai dû appeler 4 fois chez Le Devoir pour finalement avoir la chance de parler à un remplaçant de la direction marketing qui doit me revenir avec des détails
• Je reçois à l’instant le téléphone de l’employé qui a commandé la présence du journal Le Devoir dans Second Life. Il me confirme qu’ils y sont bien, que la direction est au courant et qu’ils préparent quelque chose pour une date que je ne peux encore divulguer. il me demande aussi de taire son nom encore quelque temps. Ce que je fais volontiers. D’ailleurs, j’ai son nom et les preuves de la commande depuis vendredi dernier, mais comme je ne suis pas du genre à écrire « de sources bien informées », j’écris plutôt selon le concepteur de leur bureau avec qui j’ai déjeuné.
• Je n’ai aucune raison de douter de la bonne foi et des dires du concepteur de la présence du journal le Devoir dans Second Life et j’ai photographié celle-ci.
MAJ
Je reçois à l’instant une confirmation de la haute direction qui a approuvé l’initiative Second life.
MAJ 2
L’interlocuteur est Michel Dumais avec la mention:
Puisque la conversion privée est soudainement devenue publique, à tout le monde Michel Dumais demande qu’il soit convenablement identifié
Voici donc un extrait de la session de « bitchage » à laquelle j’ai eu droit à propos de ce billet. Les noms Certains noms ont été retirés pour protéger l’identité des personnes impliquées.
Lire la suite…
Article publié le lundi, 23 avril 2007 sous les rubriques Marketing des univers virtuels, Marketing Internet, Medias et Internet et Second Life.
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