Conférencière : Comprendre comment utiliser le web et les médias sociaux à son avantage et celui de son entreprise

C’est vendredi le 21 octobre que je serai à Edmonton pour l’évènement Le rendez-vous d’affaires du Conseil de développement économique de l’Alberta (CDÉA) (commandité par Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDEE)) pour présenter ma conférence Comprendre comment utiliser le web et les médias sociaux à son avantage et celui de son entreprise. Comme c’est mon habitude, vous trouverez plus bas le PPT de ma présentation. Par ailleurs, les 20 premières minutes de ma présentation seront diffusées en ligne à 19 h (heure de l’Alberta) sur la page Facebook de Radio-Canada Ici-Alberta.


Conférencière Résidences pour ainés et marketing web et médias sociaux

Cette semaine je donnerai la première de deux conférences sur le sujet des résidences pour ainés et du marketing web et médias sociaux. Il s’agit d’une conférence privée offerte à plusieurs propriétaires et gestionnaires de résidences privées pour personnes du troisième âge. J’y discuterai de ce qu’est le marketing web, du processus décisionnel des consommateurs, du profil de ceux-ci (et de leurs enfants qui sont souvent les décisionnels dans la transaction initiale) quant à l’utilisation du web et des médias sociaux et des stratégies efficaces d’une présence web et médias sociaux. Comme c’est mon habitude, ma présentation PowerPoint est maintenant disponible sur SlideShare.

Conférence Les médias sociaux et le web pour l’exportation, le cas DessinsDrummond

La semaine dernière, j’ai eu le privilège d’être conférencière pour l’organisme CQI (Carrefour Québec international) à Drummondville. J’y étais introduite pour mon ami et client Yves Carignan, président de Dessins Drummond, dont l’exemple d’entreprise efficace sur le web et les médias sociaux, dans un contexte d‘exportation, devrait être suivi par plusieurs.

Le Journal L’express de Drummondville disait de cette conférence :

Pour ce qui est de CQI, les représentants de l’organisme se sont dits très heureux du succès remporté par cette activité.
«Nous sommes vraiment choyés d’avoir pu accueillir Mme Blanc chez CQI. Sa conférence était des plus actuelles et pertinentes. Elle connait son affaire et elle réussit à expliquer le tout simplement, en donnant des exemples concrets! Avec son énergie et son dynamisme, elle a littéralement charmé l’auditoire. Mme Blanc a aussi été très généreuse de son temps et elle a répondu aux nombreuses questions des participants», conclut Catherine Gervais, directrice générale de CQI.

Voici donc le PowerPoint de cette conférence :

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Réflexion sur 10 ans de consultation et conférences médias sociaux chez les PME et grandes entreprises québécoises

La question du « beau » sur le Web, ou pourquoi ça me fait toujours rire

Conférencière Les médias sociaux c’est plus que du bonbon pour Intracom

C’est avec grand plaisir que j’ouvrirai la 12e édition d’Intracom organisé par Action TI ce jeudi 25 avril à Montréal. Cette conférence est ouverte à tous et il reste encore quelques billets. Comme c’est mon habitude, je vous partage ici le PPT de mon allocution Les médias sociaux c’est plus que du bonbon, mais malheureusement, si vous n’y êtes pas, certaines de mes blagues et mises en situation n’y seront pas 🙁

Ma conférence Les medias sociaux et le numérique, c’est plus que du bonbon

La semaine prochaine je serai conférencière sur le sujet Les medias sociaux et le numérique, c’est plus que du bonbon, pour clore le congrès 20e aniversaire de l’association de la sécurité informatique du Québec. J’y discuterai de medias sociaux mais aussi d’économie numérique, de notre retard web et de l’impératif besoin du Québec de se doter d’un plan numérique pour le Québec. Comme c’est à mon habitude (lorsqu’on me permet de le faire) le PowerPoint de ma présentation se retrouve plus bas.

J’y parlerai entre autre de mes billets

Vol d’identité
Le Tourisme vs Les TIC au Québec, met-on nos œufs dans la bon panier?
L’économie numérique, c’est plus que du bonbon
New York un plan numérique gagnant

 

 

Conférencière médias sociaux et forces de l’ordre

Dans quelques jours je serai conférencière médias sociaux et force de l’ordre, pour une organisation qui préfère rester discrète. Cette organisation m’autorise cependant à partager le fruit de ma réflexion que vous trouverez plus bas dans mon PowerPoint. Vous pouvez d’ores et déjà comprendre que la technologie et les médias sociaux peuvent être un outil (de plus) extrêmement performant en matière de travail policier.

Lors de mes conférences, le fond et la forme ne font pas réagir tous de la même manière

Je ne fais pas l’unanimité sur la forme. Je ne l’ai jamais faite. Même avant ma transition j’avais des détracteurs. Sur le fond par contre, on peut dire que les gens apprécient grandement. Mon style baveux est pourtant l’une de mes marques de commerce et il permet en outre de faire prendre conscience et de détendre l’atmosphère. D’ailleurs, souvent lorsque des inconnus me rencontrent dans la rue ils me disent spontanément « vous êtes dont intelligente madame Blanc ». Je ne crois pas être si intelligente que ça, mais je connais mon domaine et suis capable de bien le vulgariser. Un de mes secrets est par exemple de dire une phrase compréhensible de tous, avec quelques mots recherchés et un « tabarnak ». Comme ça les gens comprennent le sens général de ce que je partage, ils sentent que je leur parle puisque je dis un « tabarnak » et auront la curiosité de chercher le mot plus recherché qu’ils ne connaissent pas. Aussi j’aime bien appeler un chat un chat, je ne suis pas « politicaly correct » et j’ADORE m’amuser.

Voici donc la lettre de remerciement et l’évaluation de ma conférence Comment saisir les possibilités offertes par les médias sociaux pour les courtiers d’assurance que je viens de recevoir

Bonjour Michelle,

Desjardins Sécurité financière est fière d’avoir retenu vos services pour la conférence qu’elle commanditait au Colloque Solareh 2012, qui a eu lieu à Mont-Tremblant du 14 au 16 mai. Nous tenons à vous remercier pour votre excellente présentation qui a plu à la très grande majorité des participants. Ceux-ci ont bien répondu à vos anecdotes drôles et à votre style coloré qui ne laisse personne indifférent. Les éclats de rire multiples pendant votre allocution et les applaudissements nourris pendant plusieurs minutes à la toute fin montrent à quel point votre conférence a été appréciée.

Vous êtes sans contredit la personne la mieux informée au Québec concernant les médias sociaux et les participants au colloque en sont également convaincus. À la question «Connaissait bien son sujet» posée sur le formulaire d’évaluation rempli à la fin, les participants vous ont attribué une note presque parfaite.

(…)

Merci encore Michelle et à une prochaine fois!

Denis Johnson
Desjardins Sécurité financière

Et l’évaluation :

Comment saisir les opportunités offertes par les médias sociaux

Objectifs et contenu

1. En général, j’ai apprécié cet atelier : 4,74 / 5
2. La qualité et le contenu étaient appropriés : 4,76 / 5
3. Ce que j’ai appris me sera utile : 4,34 / 5
4. La durée de l’atelier était satisfaisante : 4,58 / 5
5. Les sujets traités concernent mon travail de tous les jours : 3,97 / 5

Conférencier(ère)

1. Connaissait bien son sujet : 4,89 / 5
2. A suscité mon intérêt : 4,74 / 5
3. A permis aux participants de poser des questions : 4,82 / 5

Commentaires

• Vraiment super. M’a donné le goût de me mettre à jour concernant les médias sociaux.
• Particulier, à la limite de l’arrogance, mais on a compris. Félicitations à Michelle.
• Bravo et merci pour cette conférence. De bonnes idées pour les propriétaires d’entreprises qui souhaitent être visibles sur le web. Je suivrai Michelle Blanc sur son bloque, c’est certain!
• Très intéressant!
• À revoir pour une suite!
• Excellente présentation. Très pertinent! Mme Blanc est une excellente oratrice. Merci!
• Elle parle très mal, pas drôle!
• EXCELLENTISSIDE!
• Vraiment pertinent. Excellent atelier.
• Très intéressant. Je me sens moins «poche». ☺
• Animatrice intéressante, colorée, qui fait la différence!
• Très intéressant d’avoir mis cet atelier malgré que ça ne me servira pas à tous les jours. J’ai moins apprécié la vulgarité. On n’est pas au Gala des Oliviers.
• Une Michelle Blanc égale à elle-même. Contenu très pertinent. J’ai adoré.

Ma conférence: Principes économiques comment faire du cash avec les Contenus en ligne, MixMedia Montréal

Pour faire suite à mon billet Le fait journalistique n’a plus de valeur, c’est avec plaisir que je vous partage la présentation de ma conférence Principe$ économique$ de: comment faire du ca$h avec le$ Contenu$ en ligne. C’est à l’événement MixMedia Montréal du 17 mai prochain que vous pourrez l’entendre. Les différentes diapos de ma présentation vous donneront déjà une idée de ce que j’y dirai (dans mon style habituel direct, sans ambages et avec quelques pointes humoristiques).

Pour vous inscrire, c’est par ici


Réflexion sur 10 ans de consultation et conférences médias sociaux chez les PME et grandes entreprises québécoises

Cela fait maintenant 10 ans que je fais de la consultation stratégique internet et des conférences pour les entreprises, principalement au Québec, mais aussi à l’international. J’ai eu l’immense chance de travailler autant pour des multinationales que pour des PME et même des entreprises individuelles ou des individus. J’en ai vu de toutes les couleurs et oui, mes plus gros succès l’ont été avec des PME et des entreprises individuelles.

Les médias sociaux ont toujours fait parti de ma pratique, mais on en parle beaucoup plus depuis quelques années. D’ailleurs ça me fait toujours drôle de constater l’engouement soudain qu’ont les entreprises pour ça (et les nouveaux spécialistes médias sociaux qui apparaissent plus vite encore que la demande). Il y a dix ans on parlait de forums, de wiki, de blogues, de MySpace et ce n’est que depuis quelques années que tout d’un coup, les e-communautés (l’ancien nom des médias sociaux) sont devenus à la mode. Mais est-ce réellement une mode ? Non, je ne le crois pas. D’ailleurs, certains des concepts que je continue de valoriser aujourd’hui me viennent de l’excellent livre How digital is your business de Slywotsky, qui fut publié en 2000 et qui traite d’exemples de 93 à 98. J’eus la chance de m’initier à Slywotsky et à plusieurs autres lors de ma M.Sc. Commerce électronique.

J’ai toujours aidé les entreprises à avoir une saine présence en ligne, qu’elle soit commerciale, organisationnelle, personnelle ou gouvernementale. J’ai beaucoup travaillé sur le « commerce en ligne », mais dès le départ, il est apparu que le Web est d’abord et avant tout un médium textuel, que les médias sociaux sont d’excellents générateurs de contenus textuels et qu’ils étaient de facto, un ajout indispensable à une saine présence web. C’est pourquoi d’ailleurs j’ai toujours valorisé le blogue comme outil de création de contenus textuels et que je prétends encore que c’est le roi des médias sociaux et qu’il est le principal générateur de ROI.

Grande versus petite organisation

Je disais que mes plus grands succès étaient avec de petites organisations. Par exemple, j’ai abondamment parlé de Dessins Drummond, de Tourisme Mauricie ou d’un accordeur de piano. Leurs exemples sont éloquents de par leur réussite, mais aussi parce qu’ils me permettent justement d’en parler. Je n’ai par contre rien dit de ses vedettes, chroniqueurs ou éditorialistes de la presse qui me consultent sporadiquement. Ils tiennent à ce que ça ne se sache pas. Quant aux très grandes entreprises avec qui je travaille, elles sont aussi beaucoup plus frileuses à exposer leur succès web. Beaucoup de ces clients ne veulent même pas que je mentionne qu’on travaille ensemble de peur de réveiller la compétition, alors de documenter leurs succès est impensable. De plus, avec une petite et moyenne organisation si le président ou le DG décide d’aller dans une direction, l’organisation suit et les choses se font. Dans une très grande organisation on parle de processus, de reddition de comptes, de gestion du changement et strictement pour décider à quelle fonction de l’entreprise revient la tache de gérer les médias sociaux, c’est déjà une montagne à gravir. Alors avant que ces entreprises ne soient « agiles » sur ceux-ci, il y a un pas-de-géant à faire. Mais oui, il y a des succès, de l’innovation et de la réussite de grandes organisations sur les médias sociaux. Je félicitais d’ailleurs récemment IGA pour leur excellente présence en ligne et me désolait de ne pas être impliqué dans une telle aventure (ce qui me permet par contre d’en parler ouvertement, hehehe).

Là où le bât blesse

Au tournant de l’an 2000, tout le monde voulait un site web. Ils ne savaient pas pourquoi, mais il fallait être en ligne. Tout d’un coup, tout le monde et son petit neveu étaient aussi des experts du web. Un cours de programmation HTML au CÉGEP était suffisant pour justifier une expertise et le web devint rapidement peuplé de sites plus ou moins efficaces. Trois, quatre ans plus tard, les organisations commencèrent à se poser des questions. Ils réalisèrent le peu de ROI de leurs dépenses web et se dire soit « le web ça ne sert à rien, je le sais j’ai payé pour » ou encore « le web, je n’ai peut-être pas fait la bonne affaire ». C’est ce deuxième groupe qui devint mes clients. Ils étaient prêts à payer quelqu’un comme moi, à mon taux horaire, pour avoir les réponses et réenligner leurs stratégies.

En 2012, nous vivons le même phénomène, mais avec les médias sociaux. Tout d’un coup tout le monde veut des médias sociaux et une offre spontanée et de qualité très variable vient naturellement combler la demande. Ça prends 5 minutes ouvrir une page Facebook, deux minutes un compte Twitter et quelques heures un blogue pro (mais quelques minutes un blogue gratuit). Alors, pourquoi payer un spécialiste ? Des entreprises demandent même à l’adjointe administrative de twitter pour l’organisation. Dans le fond, répondre aux différents publics c’est déjà ce que fait la réceptionniste, non ?

Donc pour encore deux à trois ans bien des entreprises feront n’importe quoi et avec n’importe qui sur les médias sociaux. Après leurs premiers balbutiements sur les réseaux sociaux et après leur constat de l’investissement qu’ils auront fait, ils seront de nouveau mes clients ou les clients d’experts comme moi (parce qu’il y en a plusieurs) qui pourront justifier positivement les investissements, les stratégies et les retombées d’affaires de celles-ci.

Agences de RP vs Agences de pub et fonction marketing vs fonction RP

Un autre facteur majeur de changement qui s’opère dans la sphère des médias sociaux est la lutte qui s’engage entre les agences de pub et les agences de relations publiques. Au niveau mondial on remarque un déplacement des budgets et des responsabilités web, de la fonction marketing aux fonctions communications ou relations publiques. C’est que les gens de marketing ont l’habitude de « dire », tandis que les gens de comm ou de RP ont plus l’habitude « d’écouter » et d’intervenir auprès des différents publics de l’organisation. D’ailleurs si on observe attentivement ce qui se passe au Québec on remarque que ce sont principalement les agences de RP qui se sont associés (lire ici embaucher) aux « experts » québécois reconnus des médias sociaux, pas les agences de pub. À cet égard le Québec suit donc la tendance mondiale. Mon point de vue là-dessus est un peu différent (voire utopiste). Les médias sociaux sont au cœur de la communication avec les publics internes et externes de l’organisation. Ils ont la potentialité de générer des « outputs » d’affaires pour toutes les fonctions traditionnelles de l’organisation. Qu’on pense aux ventes, communications, relations publiques, marketing, ressources humaines, productions, design de produits, technologies de l’information et oui même aux finances ou à la logistique. Mais pour ce faire ils ont aussi besoin de l’input de chacune des ces fonctions. Or si les médias sociaux sont placés sous l’une des fonctions traditionnelles de l’entreprise, il y a de fortes chances pour que les autres fonctions de l’entreprise ne collaborent pas de manière entière et dédiée aux objectifs supérieurs de l’organisation. C’est pourquoi je valorise une fonction spécifique qui serait la fonction Web, avec sa vice-présidence, son budget et ses équipes propres. Ainsi les chances de succès et de retombés d’affaires pour toute l’organisation seraient grandement augmentées. Il est plus facile de faire avancer la discussion et les priorités qui sont inhérentes au Web si on est assis à la même table que les autres décideurs des fonctions de l’entreprise que sous une fonction qui en plus du Web, aura bien d’autres “priorités” à gérer.

Voilà, quelques pistes de réflexions qui me viennent ce matin et que je continuerai de vous parler dans les mois et les années à venir (comme je le fais de toute façon déjà depuis 10 ans)…

Étienne Mineur : Mettre du numérique dans le papier et transformer l’édition

Il y a quelques semaines j’étais conférencière à TEDxMontpellier et l’une des présentations des autres conférenciers m’a complètement séduite. Il s’agit de la présentation d’Étienne Mineur, Entre papier et numérique !, qui est professeur à l’École Nationale Supérieure des arts décoratifs de Paris et cofondateur des Éditions Volumique. La mission des Éditions Volumique :

Les éditions volumiques sont une maison d’édition dédiée au livre en papier considéré comme une nouvelle plateforme informatique, ainsi qu’un laboratoire de recherche sur le livre, le papier et leurs rapports avec les nouvelles technologies.
Comment envisager le livre et sa lecture au 21e siècle, après la grande révolution des médias liée au numérique et aux réseaux?
 L’interactivité, le jeu vidéo en particulier, conduit à une conception nouvelle de la narration et du rôle du lecteur.
Comment introduire les usages et l’expérience utilisateur des médias numériques dans le livre papier afin de l’actualiser, étendre son champ et engager le lecteur d’une nouvelle manière?
Il ne s’agit plus d’opposer le livre numérique au livre papier, mais d’enrichir le rapport tactile, émotionnel et intime au savoir qu’offre le livre papier, avec les dimensions nouvelles qu’apporte le numérique.
 Chacun de nos projets explore une facette de cette union du papier et de l’ordinateur.

Il a réussi à mettre de l’intelligence numérique dans le papier qui ainsi peut interagir avec le lecteur. Je ne parle pas ici de code QR, mais bien d’intelligence du papier. Mais regarder plutôt sa conférence et vous risquez, comme moi, d’être flabbergastée par ses nombreuses innovations…