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À titre de conférencière cybercriminalité cyberintimidation cybersécurité

Conférencière à propos de la Cybercriminalité web et médias sociaux

C’est pour l’Association Québécoise des Tarificateurs-vie que dans deux semaines, je serai conférencière à propos de la cybercriminalité web et médias sociaux. J’y parlerai du web, du deepweb et du darkweb, de hacking, de fraude publicitaire, des dangers des médias sociaux, de haine, de cyberagression sexuelle, de gestion des risques et de solutions possibles. Il s’agit d’un très vaste sujet que je ne pourrai que couvrir partiellement. Vous pouvez trouver mon PowerPoint ici-bas.

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À titre de conférencière Commerce électronique: mythes cybercriminalité cybersécurité Marketing 2.0 Marketing de contenu Marketing Internet marketing mobile Médias sociaux Mobilité

La fraude publicitaire en ligne est le crime numérique le plus payant, aperçu de la cybercriminalité

Dans quelques mois, je donnerai une conférence à propos de la criminalité du web et des médias sociaux pour les secteurs financiers et des assurances. Vous serez sans doute surpris d’apprendre, comme je l’expliquais dans mon billet La pourriture marketing web Partie 2 (fraude par clic), que la fraude par clic est la plus lucrative des activités criminelles en ligne. En fait, selon Mashable, la fraude publicitaire serait la deuxième activité criminelle de la mafia la plus payante après la drogue. C’est tout dire.

C’est entre autres une des raisons pourquoi j’ai toujours préféré me concentrer sur le marketing de contenus, plutôt que sur la pub numérique. Une question de pérennité de l’investissement de mes clients et d’éthique personnelle.

L’ironie du sort est cette nouvelle de AdWeek qui présente que Procter and Gamble en coupant $200 millions de publicité numérique, a augmenté sa portée de 10% 🙂

Quoi qu’il en soit, voici le PowerPoint de ma présentation.

[slideshare id=222162521&doc=cybercriminalite-web-medias-sociaux-200120201425]

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Blogues d'affaires entreprise 2.0 Innovation Marketing 2.0 Marketing de contenu Marketing Internet Médias sociaux Relations publiques Internet stratégie de contenus stratégie numérique stratégie web Tourisme en ligne transformation numérique

Arrêtez de vendre des billets : racontez-moi une histoire – Le marketing de contenus pour les arts et la culture

Dans le cadre de son cours de marketing des arts et de la culture, le professeur André Courchesne de Chaire

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Commerce électronique: mythes cybercriminalité Droit et Internet Edito sans question Marketing Internet Medias et Internet Médias sociaux Moteurs de recherche et référencement de sites Web politique et internet

Pourquoi la fraude par clic et les fraudes publicitaires numériques ne sont pas criminalisées?

Dans mon dernier billet Comment lutter contre les tarifs de Trump et lui faire mal sans utiliser de tarifs et

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Revue de presse

Revue de presse marketing/techno du 12 mars au 19 mars et mes entrevues à CHOI RadioX et les éclaireurs du Numérique

An OpenAI spinoff has built an AI model that helps robots learn tasks like humans

Elon Musk says xAI will open-source Grok this week

Des centaines de sites s’appuient sur l’IA pour générer des articles, parfois faux

Faire rentrer le robot au bureau grâce à la magie «made in Québec» de l’intelligence artificielle concrète

Une fugitive recherchée depuis 30 ans, capturée à Berlin grâce à la reconnaissance faciale

@BreakingNewsBREAKING: The House votes 352-65 to pass a bill that could ban TikTok in the U.S.The legislation now heads to the Senate, where it faces an uncertain fate. President Biden has said he would sign it into law.

Top 7 Insane ChatGPT Prompts to Make Money Online in 2024

Top 8 Insane ChatGPT Prompts For Marketers That Feel Illegal to Know by Anish Singh Walia

IBM is slashing jobs in marketing and communications = une autre innovation de l’IA…

Interdire TikTok aux É.-U. serait «dramatique» pour les utilisateurs québécois, selon une experte = Quelle bonne blague! Vraiment? Que les influenceurs québécois perdent du cash est plus important que la sécurité nationale des jeunes et la vie privée?

Via RT@pika_labs

…Sorry, we were on mute. Today we’re launching Sound Effects on Pika.

Now you can seamlessly generate and integrate sound into your videos. Either prompt the sound you want, or let Pika automatically generate it based on the content of your video.

If that sounds great, it’s because it is.

À l’aide d’une application IA, cela a pris 15 minutes. Ça a été fait avec un simple prompt et un hyperlien vers mon blogue qui est pourtant écrit en français. L’IA a fait le texte, l’édition et le montage. Je n’ai ajouté que quelques photos. C’est STU-PÉ-FIANT

Implementing generative AI with speed and safety in McKinsey Quarterly via @McKinsey

Fausses nécrologies | Des pièges à clics qui exploitent la mort

Trois questions pour comprendre pourquoi les États-Unis envisagent de bannir TikTok

via RT@Figure_robot

With OpenAI, Figure 01 can now have full conversations with people
-OpenAI models provide high-level visual and language intelligence
-Figure neural networks deliver fast, low-level, dexterous robot actions
Everything in this video is a neural network:

Adobe Firefly follows in Google Gemini’s woke footsteps with photos of black Nazis, black and female founding fathers

Les apps de l’IA sont aussi parfois des conneries comme cette app qui permet de continuer de chatter avec son ex, un fois qu’il ou elle nous a « flushé » https://talktoyourex.com/

Apple rachète la jeune pousse ontarienne DarwinAI

Ne vous méprenez pas : les robots conversationnels ne sont pas conscients

How Dangerous are Deepfakes and Other AI-Powered Fraud?

Is TikTok different in China compared to the U.S.? A social media analyst compares it to opium and spinach

 

La débâcle de l’IA Gemini de Google, accusé de révisionnisme historique sous couvert de tendance woke, a mis en lumière la part des algorithmes des IA dans nos représentations, et l’impact que cela peut avoir sur les différentes culturelles.

Pour mieux comprendre cette tendance, nous accueillons Michelle Blanc, émérite sachante du numérique au Québec.

Un podcast de Damien Douani et Fabrice Epelboin.

Mon entrevue avec Les éclaireurs du numérique

Which AI should I use? Superpowers and the State of Play, by @emollick

Apple researchers achieve breakthroughs in multimodal AI as company ramps up investments

Mon entrevue de ce matin: Tik Tok est de loin le média social LE PLUS ADDICTIF!

Une demande d’action collective contre Meta déposée au Québec

Nvidia dévoile une « superpuce » beaucoup plus performante

Which AI should I use? Superpowers and the State of Play

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Personnel et peut-être même hors sujet

Maintenant plus de 20 ans en ligne avec vous

Mon site www.Michelleblanc.com a maintenant plus de 20 ans. Quelle épopée! Mon site a été mis en ligne en mars 2002 selon le « site report de Netcraft ». Selon la « Wayback Machine de Archives.org », la première capture de mon site remonte 2 février 2003. Mais selon les archives de mon blogue (qui était précédemment mon site web) le premier billet publié ici était en août 2005. Entre 2002 et 2005, je bloguais déjà sur le site de LesAffaires.com mais leurs archives ont complètement disparu.

Ça fait donc déjà plus de 20 ans que j’observe et que je discute de web, de stratégies numériques et de médias sociaux. Deux « best-sellers » ont été tirés des billets de ce blogue. Les médias sociaux 101 et Les médias sociaux 201. Le premier discute de pourquoi être sur les médias sociaux et le deuxième de comment faire. D’innombrables conférences ont aussi été tirées de mes contenus et les Powerpoint de mes présentations (qui ne sont pas des informations confidentielles de clients) sont pratiquement toutes sur mon compte Slideshare. En outre, l’intégralité de mes contenus peut être consultée grâce à la barre de recherche en haut à droite, à mes nombreuses catégories ou par dates dans les archives. Il s’agit donc d’un corpus de 2829 billets, de 60 billets de collaborateurs et de 15016 commentaires qui sont toujours en ligne. D’ailleurs, les commentaires étaient dans certains cas une mine inestimable d’informations très pertinentes.

J’ai déjà écrit que Twitter c’est pour les twitts et ce billet est toujours en ligne. Bien évidemment j’ai changé d’avis en cours de route et par respect pour mes archives et l’évolution de ma pensée, ce billet est toujours là. Il est évident que depuis quelques années, je suis moins assidue à mon blogue, ayant troqué ma revue de presse et mes trouvailles du blogue vers les médias sociaux. Mais avec l’avènement du retrait des médias de Facebook, je me suis remis à colliger ma revue de presse sur mon blogue. Il y a aussi moins d’analyse sur mon blogue puisqu’avec le temps, je n’avais plus le goût de me répéter et de redire ce que j’avais déjà dit à propos des médias sociaux et des usages. En 20 ans, des médias sociaux sont disparus et d’autres ont pris la place. Mais les usages ne diffèrent pas tant que ça finalement. Par contre, plusieurs phénomènes négatifs sont venus s’ajouter à ce que je croyais au départ être une sensationnelle innovation sociétale. La cybercriminalité est apparue, la fraude par clic s’est développée de manière alarmante, le positionnement naturel des entreprises a passablement fondu (afin d’obliger les entreprises à payer pour être vues) et on s’est rendu compte que les médias sociaux servaient aussi à la désinformation, la propagande, la manipulation électorale et même à fomenter des révolutions (printemps arabe, printemps érable et autres). Ces dernières années j’ai aussi été à même d’expérimenter pour un client international de gestion des risques du commerce de détail, des outils de monitorage des médias sociaux extrêmement puissants et qui pourraient effrayer les internautes s’ils savaient à quel point on peut les épier via ces technologies.

D’ailleurs, lors d’une récente conférence lors d’un colloque Criminalité urbaine et médias sociaux, j’expliquais un cas hypothétique d’une entreprise qui grâce aux technologies de monitorage, pourrait géolocaliser ses installations et capturer en temps réel, tous les statuts sociaux émanant de leurs usines et ainsi prendre le pouls des syndiqués par rapport à la position syndicale lors d’une grève. Une personne de la salle me posa la question « mais est-ce éthique de faire ça et je suis outrée »? Ma réponse a été « Ces informations sont publiques et les internautes syndiqués partagent librement ces contenus en ligne ». C’est donc tout à fait éthique. Par contre, il est vrai que la grande majorité de ces syndiqués et des gens en général, ne réalisent pas l’impact et les capacités de monitorages qui existent, lorsqu’ils partagent leurs états d’âme en ligne.

La nouvelle menace qui est récemment venue s’ajouter est celle de l’intelligence artificielle. Comme nous avons pu le vivre avec les médias sociaux, l’euphorie initiale de cette technologie viendra rapidement s’estomper avec la reconnaissance de tout le mal qui découlera de ces avancements. Qu’on songe au deepfakes, à la pédopornographie, à l’usurpation d’identité, à la propagande automatisée et à bien d’autres fléaux qui s’ajouteront encore.

Je continuerai donc d’observer et de commenter tout le positif qu’apportent ces technologies pour les organisations, mais en gardant un œil très lucide quant aux nombreux écueils sociaux que ces technologies font naître.

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Personnel et peut-être même hors sujet

Comment je gagne ma vie, un nouveau billet 13 ans plus tard

En 2011 j’écrivais le billet Comment je gagne ma vie? Consultante, conférencière et auteure. Sur LinkedIn, la copine Monique Lo me faisait remarquer que je pourrais faire une mise à jour et ajouter « enseignante ». C’est tout à fait d’à-propos puisque pour une 2e année j’enseigne aussi à HEC Montréal le marketing entrepreneurial et à l’École des Dirigeants de HEC Montréal, la communication marketing.

 

Mais il y a quelques semaines, un copain camionneur est venu dîner chez nous. Il me posa la même question. Mais qu’est-ce que tu fais exactement Michelle? La réponse est large, tout comme l’est ma pratique.

 

En fait, je suis une spécialiste du marketing numérique, du commerce électronique et des médias sociaux. Dans un sens plus large, je m’intéresse aussi à la cybercriminalité, aux technologies web, à l’économie numérique et à une foule d’autres sujets qui touchent le web, mais dans une optique de conseil de gestion.

 

Par exemple, l’un de mes clients actuels est un organisme paragouvernemental de génie civil. J’ai d’abord fait un diagnostic et un rapport de l’état de leurs présences web et social (diagnostic technologique et qualitatif) et je les aide à peaufiner leurs stratégies numériques et à sélectionner des technologies (dans ce cas-ci une technologie de notification de masse pour avertir les usagers de l’état des infrastructures). Pour un autre client, une petite entreprise agricole, j’aiderai le propriétaire à se positionner efficacement et à croitre ses revenus grâce au marketing de contenus. Pour une autre organisation, je discutais lors d’une conférence, de la criminalité urbaine et des médias sociaux. Cette conférence a été entre autres pertinente pour mes clients puisque durant la dernière année j’ai testé pour un autre client international dans la gestion des risques pour le commerce de détail, des technologies de monitorage des médias sociaux dans un contexte de prévention des crimes interne d’une très grande entreprise de commerce de détail.

 

Mes mandats sont donc très diversifiés, autant pour des PME, organisations gouvernementales, que pour de très grandes entreprises et ce que j’apprends dans un contexte particulier, peut m’être très utiles dans un autre contexte et un autre secteur économique. C’est d’ailleurs ce que je suis en train d’apprendre lors d’un cours Technology Entrepreneurship: Lab to Market que je suis présentement à Harvard. On y voit d’ailleurs à quel point l’innovation est souvent de prendre une technologie, une application, un principe technique, déjà utilisé avec succès dans un type d’industrie, pour l’appliquer à une autre industrie. Ainsi, nous avons réalisé que la technologie utile à la fabrication de ciment, la capacité de mélanger différentes composantes d’agrégats avec une viscosité différente, a pu être utilisé dans l’industrie alimentaire pour faire du beurre d’arachide duquel on avait préalablement soutiré l’huile, et qui se trouvait avec une problématique de mélange d’agrégats à viscosités différentes.

 

Il en est de même pour ma pratique. Ce que j’ai appris dans la mise en marché d’un service chirurgical haut de gamme me permet d’aider un entrepreneur dans le secteur de l’automobile ou dans celui d’un manufacturier/transformateur des composants chimiques de la marijuana à des fins médicales.

 

D’ailleurs, d’enseigner à HEC et de suivre moi-même des cours à Harvard, est un autre moyen de parfaire mes connaissances et de me confronter à la réalité des jeunes générations. Ils questionnent mes enseignements qui sont résolument pratiques, et mon cours à Harvard me permet d’approfondir une certaine démarche d’innovation et une structure mentale me permettant de sortir des biais cognitifs inhérents à une surspécialisation qui nous enferme dans des limites et un cadre mental défini et dont il est difficile de sortir.

 

En outre, j’ai aussi une partie de mon offre de service qui offre de la rédaction de blogues pour différents secteurs économiques, avec l’aide de pigistes membres de l’Association de journalistes indépendants du Québec, avec des contrats annuels. Ainsi, j’ai déjà exécuté des mandats dans le secteur médical, récréotouristique ou de la vente automobile.

 

Je pourrais imager ce que je fais comme étant un médecin généraliste de la santé de vos présences web et médias sociaux, doublés du conseiller technologique, d’innovation et de modèles d’affaires reposants sur le web.

Au plaisir de vous avoir vous aussi comme client 🙂

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À titre de conférencière Marketing de contenu Marketing Internet Médias sociaux

Conférence Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et être intéressant, plutôt qu’intéressé

Depuis quelques années déjà, je parle de la massive fraude publicitaire numérique qui détourne des milliards de dollars des budgets publicitaires des entreprises, pour enrichir les fraudeurs. Je rappelle que Procter & Gamble a coupe $200M de son budget de publicité numérique, sans que cela n’affecte ses ventes. Y a t-il un problème? Oui, il y a un méchant problème. Mais que peut faire une entreprise si elle n’investit plus dans Facebook et Google qui accaparent à eux seuls la grande majorité des budgets marketing? Elle peut faire du marketing de contenus.

Je rappelle aussi qu’un billet de blogue a une durée de vie de 2 ans alors qu’un statut Facebook a une durée de vie de 2 heures. Je pose aussi la question à savoir pourquoi 75 000 personnes vont faire un tour et payent pour visiter St-Élie-de-Caxton. C’est un village tout à fait ordinaire qui a trois particularités. Une traverse de lutin, un arbre à paparmane et le conteur Fred Pellerin qui a fait rêver les Québécois avec ses histoires toutes plus abracadabrantes les unes que les autres. Il les a fait rêver et les gens se bousculent pour aller ne rien voir et sont heureux de ce qu’ils y voient. Là est toute la magie du marketing de contenus.

Il est très possible de parler d’autres choses que strictement de son entreprise et de ses produits et services (narcissisme communicationnel) et de devenir intéressant plutôt que d’emmerder les internautes/consommateurs avec votre petit « moi » corporatif.

Comment des entreprises comme Lego, Costco, Chasseurs d’épices, Dime Mtl ou Tourisme Terre-Neuve ont-ils réussi cet exploit? Comment Dessins Drummond, Le Festival de Jazz ou Juste Pour Rire sont-ils devenus des sujets? Là est toute la question et en prime, pour certaines de ces entreprises, leur marketing est maintenant une source de revenus plutôt que de dépenses.

Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et être intéressant, plutôt qu’intéressé

La publicité numérique n’est plus ce qu’elle était et le ROI n’est plus au rendez-vous.
-Comment pouvez-vous rejoindre vos clients et les intéresser intelligemment?
-Quels sont les endroits à privilégier si vous voulez faire de la pub?
-Comment être intéressant, plutôt qu’intéressé dans vos communications numériques?
-Comment assurer la pérennité de vos investissements et de vos contenus sur le web et est-il possible que votre marketing devienne une source de revenus plutôt que de dépenses?

Voilà certaines des questions qui seront soulevées dans cette conférence. En outre, de nombreux exemples québécois et international de marketing de contenus efficaces et rentables seront présentés.

Céline Rousseau
Directrice marketing chez Tourisme Centre-du-Québec

Comme toujours, Michelle sait faire réfléchir son auditoire. Nous avons eu le bonheur de la recevoir comme conférencière alors qu’elle nous entretenait sur « Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et d’être intéressant, plutôt qu’intéressé » et tous sont unanimes : Wow! On en veut plus!!! Les questions fulminent, le cerveau est en ébullition, la réflexion est à son comble. Les participants sont motivés au maximum et nous demandent quand aurons-nous le privilège de la recevoir de nouveau.

Merci Michelle et à bientôt!

Communication marketing
Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et être intéressant, plutôt qu’intéressé

La publicité numérique n’est plus ce qu’elle était et le ROI n’est plus au rendez-vous.
-Comment pouvez-vous rejoindre vos clients et les intéresser intelligemment?
-Quels sont les endroits à privilégier si vous voulez faire de la pub?
-Comment être intéressant, plutôt qu’intéressé dans vos communications numériques?
-Comment assurer la pérennité de vos investissements et de vos contenus sur le web et est-il possible que votre marketing devienne une source de revenus plutôt que de dépenses?

Voilà certaines des questions qui seront soulevées dans cette conférence. En outre, de nombreux exemples québécois et international de marketing de contenus efficaces et rentables seront présentés.

Céline Rousseau
Directrice marketing chez Tourisme Centre-du-Québec

Comme toujours, Michelle sait faire réfléchir son auditoire. Nous avons eu le bonheur de la recevoir comme conférencière alors qu’elle nous entretenait sur « Comment ne pas faire de narcissisme communicationnel et d’être intéressant, plutôt qu’intéressé » et tous sont unanimes : Wow! On en veut plus!!! Les questions fulminent, le cerveau est en ébullition, la réflexion est à son comble. Les participants sont motivés au maximum et nous demandent quand aurons-nous le privilège de la recevoir de nouveau.

Merci Michelle et à bientôt!

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À titre de conférencière

L’EDI et l’innovation

L’EDI est le nouvel acronyme à la mode pour « équité, diversité et inclusion ». Les organisations et leurs employés ont tout intérêt à être ouverts à la différence et à instaurer des pratiques favorisant le confort et l’acceptation de tous et de leurs différences. Mais dans la vraie vie, tout n’est pas toujours un jardin de rose. Chacun de nous doit avoir une saine ouverture à l’autre. Mais chacun de nous doit aussi d’abord s’accepter tel qu’il est, s’il veut réellement que les autres l’acceptent aussi.

Il m’est arrivé de devoir m’accepter tel que j’étais et j’ai dû changer de sexe. Ça a été une épreuve particulièrement difficile. Surtout que ma transition s’est faite sous le regard des médias. J’ai eu de nombreuses menaces et du harcèlement qui ont entrainé cinq dossiers criminels, dont j’étais la victime. Ces épreuves m’ont façonnée et forcée à développer une nouvelle expertise en cybercriminalité afin de faire arrêter et condamner mes agresseurs. Plusieurs fois dans ma carrière et avant même que je doive changer de sexe, des coups durs m’ont mis au pied du mur et m’ont forcée à changer des choses et à innover.

J’ai aussi découvert que pour être acceptée en tant que femme trans, je me devais d’abord de m’accepter moi-même. Je me devais aussi d’avoir l’esprit ouvert et de répondre à la curiosité qu’avaient les gens face à ma condition. L’humour a été d’une grande aide dans ce cheminement et a souvent désamorcé des situations qui auraient pu être autrement plus néfastes. Oui j’ai une force de caractère qui n’est pas donnée à tous. Mais indépendamment de ça, jamais je n’ai considéré que c’était aux autres à s’adapter à moi. C’est d’abord à moi à vivre ma vie tout en ayant l’ouverture pour comprendre les questionnements et les peurs que les autres peuvent vivre face à la différence.

Le changement de perspective a souvent pour résultat d’ouvrir des voies qu’on ne voyait pas avant et d’être la source d’innovation.

Ma conférence EDI

Utiliser la diversité et les embûches comme source d’innovation

Madame Blanc a fait face, au court de sa carrière, à un changement de sexe, à du harcèlement criminel et à de nombreuses embûches. Plutôt que de s’effondrer devant ce qui semblait insurmontable, elle a réussi à transformer ses épreuves en source d’inspiration et d’innovation. D’ailleurs en langue chinoise, le mot « crise » est représenté par deux idéogrammes qui signifient danger et opportunité. On peut donc voir sa différence comme étant une source d’inquiétude. Elle peut aussi ouvrir les portes de la transformation et devenir un atout permettant de se dépasser.

Dans cette conférence, avec plusieurs exemples concrets, madame Blanc nous expliqueras le cheminement vers l’innovation qui a jalonné son parcours. Vous y découvrirez.
-Pourquoi il est avantageux de prendre le risque de rester soi-même?
-Des défis nouveaux peuvent-ils permettre de se spécialiser?
-Le sens de l’humour peut-il faciliter des relations qui peuvent être tendues?
-Il faut d’abord s’accepter pour que les autres nous acceptent!

Et pourquoi, à sa mort, elle sera fière d’avoir osé parler ouvertement de sa transition?

Voilà quelques-unes des questions auxquelles elle répondra dans sa conférence.

Cette conférence a déjà été donnée chez Expedia, DesjardinsLab et Raymond Chabot Grant Thornton.

Voici d’ailleurs certains commentaires

Philippe DeschenesPhilippe Deschenes
Chef Projet – refonte dossier académique at Université du Québec à Montréal

I hired Michelle, on behalf of Expedia Worldwide Engineering, to give an exclusive talk about diversity in the workplace. She was our first keynote speaker from Expedia’s Montreal office. The talk was meant to inspire and bring a different point of view of why diversity matters. It was streamed live to all of Expedia’s engineering offices around the world. The impact was felt, and her lecture generated discussions – all in all very positive. Thanks Michelle for sharing your experience with us. It was much appreciated.

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Commerce électronique: mythes cybercriminalité Facebook hacking Marketing de contenu Marketing Internet marketing mobile Medias et Internet stratégie numérique transformation numérique

C-18 et les médias canadiens ou comment se tirer dans le pied

Bloquage des médias par Meta

C’est à la lecture d’un statut LinkedIn du pote Bernard Prince, que j’ai décidé de moi aussi mettre mon grain de sel dans les discussions autour de C-18 et du boycotte que fait déjà Meta (Facebook) et que fera probablement Google de ces mêmes médias. Mais avant de donner mon point de vue, je rappelle que pas plus tard qu’hier, les médias ont décidé de porter plainte au Bureau de la concurrence pour « abus de position dominante » par Facebook. Donc le nerf de la guerre pour les médias est l’accès à la publicité qui leur échappe depuis l’avènement massif des GAFAM.

Comme je l’écrivais en commentaire sous le statut de Bernard Prince :

Les hôteliers ont eu le même problème en l’an 2000 avec Hotels.com, Expedia et autres. Cependant eux se sont réveillés, pas les médias. Tu as tout à fait raison. Et le plus ironique, est que ces mêmes médias vomissent sur Twitter qui leur fait une pub gratis alors qu’ils valorisent à outrance Threads qui appartient à Meta et qu’une fois levée avec la super belle presse gratis de nos médias, feront comme ils ont fait avec Facebook et les banniras pratiquement de l’accueil des usagers…

Bernard a aussi ce commentaire :

Il y a effectivement un beau parallèle à faire! Un autre point à l’origine je pense, c’est la responsabilité de la plateforme face aux commentaires diffamatoires et les risques de poursuite. Au-delà de leur faire un pub gratis, les Meta, Twitter et autres ont aussi servi de sous-traitants pour la gestion des commentaires sur les nouvelles et chroniques.

Établir clairement le rôle et la limite de responsabilité d’un média VS la responsabilité personnelle de chaque internaute serait aussi une bonne façon pour les gouvernements d’aider ce secteur.

En résumé, tout comme la majorité des entreprises, lors de l’apparition de Facebook, tous disaient « Venez nous voir sur Facebook », plutôt que « Venez nous voir sur notre site web ». Cela a permis à Facebook de devenir gratuitement le Béhémoth qu’il est aujourd’hui. En outre, il est faux de dire que Facebook jouit des contenus médiatiques sur sa plate-forme. Il faudrait plutôt dire que Facebook permettait le partage des hyperliens médiatiques sur sa plate-forme, ce qui obligeait les usagers à cliquer et à aller sur les médias pour lire les contenus. Mais depuis ce matin, il ne m’est plus possible de partager ma revue de presse sur Facebook, qu’elle soit canadienne ou même internationale.

À propos de Google

Google a aussi menacé de retirer les hyperliens des médias canadiens de son engin. Mais au moment d’écrire ces lignes, il ne l’a pas encore fait.

Pourquoi Facebook et Google ont raison dans leurs positions?

L’ensemble des entreprises payent pour apparaître dans l’accueil des usagers de Google ou Facebook. Par contre, s’ils y mettent de l’effort, ils pourront apparaître dans les résultats naturels à l’aide des tactiques de référencement (ce qui n’est pas gratuit). En outre, les médias jouissent dans Google d’une visibilité accrue et gratuite dans la section actualité. Je rappelle aussi que ce sont les usagers de Facebook (et non pas Facebook) qui partagent les contenus des médias via des hyperliens. Ça donne donc du trafic au médias. Trafic qui ne leur coûte absolument rien. Il est donc tout à fait compréhensible que Google et Facebook refusent de payer pour du contenu qu’ils ne partagent pas eux-mêmes et qui de plus, permet une visibilité gratuite aux médias. À l’instar de tout autre type d’organisation qui se doit de payer pour une même visibilité. L’argument des médias est donc fallacieux.

Pourquoi les médias ont raison dans leurs positions?

Il est vrai que les médias souffrent énormément de la fuite des capitaux publicitaire de leurs plateformes, vers le numérique et en particulier vers Google et Facebook. Il est aussi vrai que le gouvernement se doit de faire quelque chose. Cependant, je ne crois pas que d’attaquer Facebook et Google soit la bonne solution. D’autant plus que l’offre publicitaire des médias est déficiente depuis de très nombreuses années et que comme le mentionne Bernard Prince, leur incapacité à s’adapter aux changements numériques est de leurs fautes, de leurs très grandes fautes. En outre, si jamais Google et Facebook devaient capituler, les médias ne récolteraient que des miettes. Quelques dizaines de millions au plus. Le réel problème de la fuite des capitaux publicitaire vers le numérique est la grande facilité à acheter de la pub et l’adage selon lequel « on peut réellement tout mesurer sur le web ». Cela était tout à fait vrai à mes débuts, il y a plus de 20 ans. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La pub numérique est maintenant gangrenée de fraude à grande échelle. Plus de 50% des pubs numériques ont des vues et des clics frauduleux. Des milliards de dollars de publicité alimentent les réseaux de trafic d’armes, de pédopornographie, de pornographie, de terrorisme et autres problèmes mondiaux majeurs. Google et Facebook ne sont pas responsables de ça, mais ils n’ont aucun intérêt à se couper de 50% de leurs chiffres d’affaires. Car, plus de 50% de la pub numérique est frauduleuse. C’est le plus grand crime internet non criminalisé. Si les médias traitaient intelligemment de cette question et instruisaient les entreprises de cette réalité, les milliards ainsi détournées reviendraient dans leurs propres coffres. Pour cela, il suffirait que le gouvernement criminalise la fraude publicitaire, qu’il développe les outils et processus pour vérifier ces fraudes et qu’il poursuive les auteurs.

Vous croyez que j’exagère?

Il vous suffit de lire ma référence dans le domaine, le Dr. Augustine Fou de NYU. Depuis plus de 30 ans, il traque les pratiques douteuses des fraudeurs et de l’ANA (Association of national Advertisers), des soi-disant entreprises de détection de « bots » et des agences qui joueront les vierges offensées si la question leur est soulevée.

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