Misteur Valaire, leur modèle économique

J’étais invitée au lancement de Golden Bombay le dernier album de Misteur Valaire et j’ai eu l’occasion de jaser avec Guillaume Deziel, le gérant du groupe et de discuter de son modèle économique. Comme il l’explique dans son billet MP3 contre courriel :

Renonçant à la majeure partie des revenus traditionnels liés à la vente de la musique, le groupe auto-produit concentre ses activités à vendre ce qui ne se copie pas, c’est à dire les produits et services sur lesquels il a du contrôle. À ce titre, voici comment se divise leur chiffre d’affaire en 2009_:

Spectacles (concerts, télés, web) 56,40 %
Produit dérivés (t-shirts, bobettes, posters, etc…) 16,27 %
Bourses, subventions et dons 14,12 %
Éditions (droits radio, synchro, pub, films, etc…) 8,08 %
Disques physiques (en magasins) 4,23 %
Disques numériques (par principe) 0,90 %
Donner, c’est payant
Lorsque MV donne 100 albums en ligne, il vend 8,1 copies à la table des produits dérivés et 1,9 copie en magasin. MV a vendu 756 copies de son album Friterday Night physique en magasin entre le 10 mars et le 31 décembre 2009, ce malgré le fait que l’album n’ait été mis en magasin que 18 mois après son lancement en septembre 2007. Depuis mars 2009, Friterday Night génère en moyenne 17,2 ventes en magasin par semaine, soit plus de 2 ans après le lancement. Cela représente une moyenne hebdomadaire impressionnante tenant compte du fait que l’album est donné en ligne; Friterday Night vend plus en magasin que beaucoup d’autres titres (exclusivement vendus et non donnés), selon les dires de plusieurs professionnels de la distribution physique issus de toutes allégeances.

Dans la discussion impromptue et désorganisée que je vous mets en lignes plus bas, nous avons parlé du site du groupe, de son twitter, de WordPress, de Buddy Press, de Bibitte Électrique (son Twitter), de Seth Godin et nous avons aussi jasé avec le journaliste de CISM, Éric Samson (son Twitter). Je vous fais aussi remarqué que cette vidéo est tournée à partir de mon iPhone, que j’avais un peu bu avant de la faire et qu’elle est dans son intégralité telle que le préconise mon pote le Dalaï Lamothe en chef (le gentil sobriquet dont j’affuble le copain Christian Aubry), dans ce qu’il nomme une entrevue en “open sources”

MAJ
C’est Friedrich Thor Nissen qui est le grand roux qui fait les médias sociaux pour Misteur Valaire dans l’entrevue. Désolé Toran (c’est comme ça qu’on l’appelle) je n’avais pas pris tes coordonnées après notre rencontre. Merci d’avoir fait ce commentaire sur Facebook (ce qui m’a permis de te retrouver)…

Friedrich Thor Nissen boit, jase, mais surtout fait des High Five avec Michelle Blanc (et Guillaume Déziel) sur son blogue https://www.michelleblanc.com/2010/05/20/misteur-valaire-leur-modele-economique/

Comment faire une liste de blogueurs et de twittereurs à inviter à vos événements de presse?

C’est une question qui m’est souvent posée par mes clients et qui l’a été aussi après que j’eu dévoilé en avoir fait une pour mon client Zoofest :

Termine une liste de blogueurs et twittereurs qui seront invités par Zoofest. Si vous recevez une invitation soyez pas surpris…

Tout d’abord, vous devez identifier la niche à laquelle vous vous attaquez. Supposons que ce soit la niche marketing internet. Identifiez qui sont les gros joueurs que vous connaissez déjà (c’est votre niche après tout) ou encore utilisez des listages de blogueurs par catégorie comme Toutlemondeenblogue ou Wikio. Le premier blogueur sur cette liste aura très probablement un défileur (ou encore une liste d’amis aussi apellé “blogroll”). Ce seront des gens à considérer. Vous pouvez aussi faire une recherche dans Google ou googleblog, avec les mots-clés que vous jugez opportun et vous suivez les blogueurs de défileur en défileur. Vous devriez idéalement avoir aussi une idée de l’auditoire de ces blogueurs. Les listages comme Wikio ou Toutlemondeenblogue vous donnent déjà une bonne idée de ça. Mais vous pourriez aussi vous servir de sites comme Alexa ou Wookank pour valider qu’ils aient un certain auditoire. Comme vous devriez déjà avoir une idée de votre propre trafic, en comparant les résultats de votre site à ceux des blogueurs, vous devriez avoir un ordre de grandeur adéquat. Quoi que si vous travaillez pour une firme de communication traditionnelle et que votre site est fait en Flash, cette comparaison pourra être très désavantageuse tel que je l’ai déjà démontré dans mes billets the proof is in the pudding I et II. Assurez-vous aussi que ces blogueurs sont dans votre zone géographique ou encore qu’ils pourront ou voudrons se déplacer pour entendre ce que vous pourriez avoir à leur dire. J’ai déjà « bitchez » après ces relationnistes de Paris qui ne cessent de m’emmerder avec leurs lancements, alors que je suis à Montréal. N’oubliez pas non plus, dans votre communiqué de presse, d’agir tel que je le suggérais dans mon billet Communiqués de presse optimisés et

Afin d’être réellement efficace dans vos communications aux blogueurs, vous devriez écrire un courriel personnalisé à chacun d’eux. Au préalable, prenez le temps de lire leurs billets précédents pour trouver l’angle communicationnel que vous leur présenterez. N’incluez pas votre communiqué à ce courriel, mais indiquez l’hyperlien ou le blogueur pourra le trouver.

Pour Twitter, c’est un peu le même processus de butinage de Twittereur à twittereur et cela se fait entre autres à partir des listes dont plusieurs twittereurs font parties et qui sont souvent classées par catégorie descriptives. Vous pouvez encore utiliser des outils comme Twitter.grader, Twopcharts ou une panoplie d’autres outils twitteriens et vous en avez une liste assez impressionnante chez Twitdom. Vous ne devriez sans doute pas négligé non plus un outil comme l’engin de recherche interne de twitter, puisque sous l’onglet « avancé » vous pourrez chercher des twittereurs par mots-clés et par distance en kilomètres d’un lieu géographique. Vous devrez valider dans tout les cas, que ces gens peuvent avoir un intérêt pour votre événement de RP, vous devrez les rejoindre par messagerie directe interne de Twitter (ce qui implique qu’ils doivent vous suivre) ou par l’adresse de courriel du site Web qu’ils mettent dans leur description ou encore par message public en dernier recours.
P.-S. Mon Némésis Simon Jodoin, juste après que j’eu envoyé le twitt qui est mentionné plus haut, lança sur Twitter :

Marcher=marcheur. Parler=parleur. Mentir=menteur. Danser=danseur. Skier=Skieur. Patiner=patineur. Fait que : Tweeter=tweeteur. #RéveilleBon

Je répondrais à ça que j’utilise Twittereur parce que le mot twitteur est trop proche de twitter pour qu’on voie réellement la différence, parce que la beauté avec les nouvelles expressions issues des nouvelles technologies est qu’elles permettent justement une certaine fantaisie et parce que moi ça me tente de dire twittereur et que de toute manière, l’Office de la langue française quant à elle, préfère microblogueur…

30 mois de transition de genre, en photos

Ce billet a été publié préalablement sur l’un des mes autres blogues Femme 2.0

Voici plusieurs photos permettant d’observer l’évolution de ma transition d’homme à femme et allant du mois d’août 2007 à aujourd’hui (excepté les deux premières photos. La 3e ayant été prise une semaine avant le déclenchement de ma dysphorie d’identité de genre). Un gros merci à tous les gens qui ont pris ces clichés ou qui sont avec moi dans ces photos. Si vous préférez que j’enlève l’une de celle-ci, n’hésitez pas à me le faire savoir.

Un très gros merci à tous ces amis, clients et connaissances qui m’ont soutenue durant ce périple particulier. Votre ouverture me touche encore. Je suis une femme choyée de vous connaître…

Permettre ou non l’utilisation de téléphones intelligents durant les spectacles?

La semaine dernière je reçois un jeune, « plutôt allumé », qui est le directeur général d’un festival. Il me demande si c’est une bonne idée de dire au début des spectacles qu’il présentera, quelque chose dans le genre de :

« Bienvenue à notre spectacle! Nous vous invitons à minimiser le son et la luminosité de vos téléphones intelligents et à prendre toutes les photos et les vidéos que vous voudrez. N’hésitez pas à partager celles-ci sur vos réseaux sociaux et à inciter vos amis à venir eux aussi voir les excellents artistes de notre festival. Bon spectacle! »

Je lui dis que je trouvais que c’était une maudite bonne idée. Il me rétorqua que contractuellement, le quart de ses artistes vont permettre ce genre de chose et les trois quarts vont s’y opposer. Il ajouta que les artistes ont peur de « bruler » leur spectacle si des gens partagent « leur punch » et que les gens voient le spectacle sur le Web. Que faire?

Je lui dis que premièrement, les sites de partage ont une longueur de temps maximum permettant le partage de fichier vidéo. Donc, si un spectacle dure 1,5 heure, pas plus de 3 à 5 minutes d’un spectacle pourront être téléchargées à la fois. De plus, si quelqu’un est vraiment adepte d’un spectacle, après trois captures vidéo, il risque fortement d’arrêter de filmer parce qu’il manquera tout le spectacle pour avoir fait des captures vidéo (comme je l’ai vécue personnellement lors de la première de Totem du Cirque du Soleil, mais avec la permission du Cirque, à titre de blogueuse invitée). De plus, les gens qui feront ça sont très certainement des leaders d’opinions et qu’ils risquent d’inciter plusieurs autres personnes à aller voir le spectacle. Qui plus est, supposons que l’un de ces clips est vu par un millier de personnes, il reste tout de même 7 686 068 personnes au Québec, qui ne l’auront pas vue. Ce sera donc une publicité gratuite qui risque plus de faire du bien que du tord aux artistes qui permettront ce genre de trucs. Je lui suggérai aussi (comme je l’avais fait pour le sous-ministre du tourisme à propos des aéroports du Québec) de mettre du wi-fi dans chacune de ses salles, avec une page d’accueil faisant la promo de ses propriétés médias sociaux. De plus, il pourra suivre les profils de navigation des spectateurs et d’ainsi recueillir la plus belle étude de marché internet qui soit…

MAJ

Pour ceux qui croient que ça peut déranger leur quiétude d’avoir quelqu’un qui prend des photos ou vidéos avec un téléphone intelligent à côté d’eux je répète :

Nous vous invitons à minimiser le son et la luminosité de vos téléphones intelligents et à prendre toutes les photos et les vidéos que vous voudrez.

De plus, on peut facilement prendre des photos et vidéos à la hauteur de l’épaule, ce qui n’obstrue nullement la vue des gens qui sont derrière. Il n’y a pas de flash dans un téléphone (sauf pour le nouveau Nexus de Google) et la sonnerie peut être coupe. Aussi, les organiseurs peuvent réserver une section spéciale dans la salle qui serait justement pour ceux qui veulent faire des captures d’un spectacle. Finalement, je répète ici le commentaire de Bruno Boutot :

Comme le répète souvent Cory Doctorow

(citation approx. de mémoire):

“Ce dont ont le plus besoin les artistes, ce n’est pas de copyright, c’est d’être connu.”

C’est aussi un des principes des “camps” et “unconferences”:

Tout participant est invité à diffuser le plus possible le contenu, à condition que ça ne dérange pas le déroulement de l’événement.

MAJ2

Voici le commentaire de Martin Durocher

Étant le directeur du Festival (Zoofest) dont Michelle parle, je constate que le débat lancé soulève les passions et génère de super bonnes idées ! Tant mieux, car c’est un sujet délicat à aborder et nous sommes à la recherche des meilleurs pistes pour promouvoir les artistes qui participent à Zoofest.

@Nadia : Et si on proposait aux gens de le faire dans le cadre d’une première média ? Dans une section réservée ”Médias Sociaux” ?

Ou, peut-être devrions-nous organiser un concours pour aller chercher les meilleurs talents du web pour venir partager leurs expériences ?

Mais qu’advient-il alors du simple spectateur qui veut parler d’un spectacle qu’il à adoré ? Les artistes peuvent-ils se passer de cette manne de nouveaux fans-promoteurs-avec-500-amis ?

Zoofest se veut un véritable laboratoire de création, de diffusion et de nouvelles idées. Les artistes qui ne veulent pas participer à l’expérience sont respectés à 100%. Ceux qui le font risquent de se retrouver avec beaucoup d’amis et de promoteurs improvisés !

Les ventes de billets finales devraient nous donner une bonne indication sur la valeur de cette initiative qui, je l’avoue, change les moeurs et soulève autant d’inquiétudes que de possibilités…

C’est carrément un débat à suivre !

Pourquoi les gens retwittent-ils?

Pourquoi les gens retwittent-ils? C’est une question intéressante sur laquelle s’est penché Danah Boyd, Scott Golder et Gilad Lotan dans le document Tweet, Tweet, Retweet: Conversational Aspects of Retweeting on Twitter (PDF). Retwitter est l’action de reprendre le contenu d’un usager sur Twitter, et de le redistribuer à son tour. Cela se fait en utilisant Retweeting ou son abréviation RT, devant un status twitter de moins de 140 caractères. Ainsi, l’acte de retwitter devient un prolongement de la conversation (pour en savoir plus sur Twitter, vous pouvez visiter ma catégorie Twitter ou le microblogging). Voici le spectre des raisons pour lesquelles les twittereurs retwittent (selon les auteurs) :

• To amplify or spread tweets to new audiences (e.g., @rootwork: RT sees value and amplifies it and @lazygal: that which I think the majority of my “followers” haven’t seen already)
• To entertain or inform a specific audience, or as an act of curation (e.g., @jmccyoung: to inform or amuse the handful of people who follow me)
• To comment on someone’s tweet by retweeting and adding new content, often to begin a conversation (e.g., @anitsirk: to start a conversation about the content of the tweet)
• To make one’s presence as a listener visible (e.g., @doctorlaura: it shows that one is not just talking, but also listening)
• To publicly agree with someone (e.g., @rzouain: retweets are the ‘me too’ 2.0)
• To validate others’ thoughts (e.g., @amandapey: because sometimes, someone else just says it better)
• As an act of friendship, loyalty, or homage by drawing attention, sometimes via a retweet request
• To recognize or refer to less popular people or less visible content (e.g., @laurelhart: to support under-recognized people or topics)
• For self-gain, either to gain followers or reciprocity from more visible participants (e.g., @gravity7: to increase own followers, as a favor, possibly for the return favor (from influencer))
• To save tweets for future personal access (e.g., @peteaven: so I can find the tweet later by searching on myself, checking my updates

Moi-même, je retwitte souvent pour la dernière raison invoquée ici, c’est-à-dire pour laisser une marque d’un contenu intéressant afin de pouvoir le retrouver plus tard. Mais je retwitte aussi à des fins marketing, afin de valider les pensées de quelqu’un d’autre ou pour simplement divertir mon auditoire. Ainsi, je trouve qu’il est très judicieux de retwitter plusieurs personnes à la fois dans le sens de ce twitt particulier :

Retweeting @jeffreypjacobs: RT @AliceGander: Does Leadership Change in a Web 2.0 World? http://s.hbr.org/bbmHlP via @HarvardBiz
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13426201799

Ainsi, je fais à la fois plaisir à @jeffreypjacobs et @AliceGander plutôt que strictement à la source initiale qui est @HarvardBiz. Il est aussi bon de souligner que comme nous ne pouvons pas mettre plus de 140 caractères, il arrive de tronquer le message d’un twitt (en essayant le plus possible de garder le sens original) Afin de pouvoir inclure les twittereurs que l’on retwitt, de même que le message comme tel. Un autre truc utilisé afin de ne pas tronquer indument un message est aussi de le contenir dans un racourcisseur d’URL comme dans l’exemple du Twitt :

sur terasse de Mt-Royal un vieux Monsieur me dit je vous ai souvent vu a la tv felicitation et vous êtes une http://tl.gd/107s08
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/12713684678

Pour ce faire, j’ai utilisé le racourciseur d’URL spécifique Twitlonger : http://www.twitlonger.com/show/107s08

MAJ
Pour ceux qui semblent croire que Twitter n’est qu’un outil de monologue narcissique étant donné le peu de place (140 caractères) pour avoir une réelle conversation, par exemple André Mondoux (alias @Mondouxa)

@MichelleBlanc Et puis, honnêtment, à coup de 140 caract. est-ce vraiment une conversation ou des flashs ?

La conclusion des auteurs apporte un éclairage intéressant :

Though the 140-character format is a constraint, it need not be seen as a limitation; while participants often shorten and otherwise modify tweets to fit into 140 characters, this characteristic of Twitter can also be seen as an advantage. The brevity of messages allows them to be produced, consumed, and shared without a significant amount of effort, allowing a fastpaced conversational environment to emerge. The varied approaches users take in addressing constraints reveal what they value in specific messages and in Twitter as a conversational environment. Participants’ social and informational goals vary, and accordingly, so do their retweeting practices. Regardless of why users embrace retweeting, through broadcasting messages, they become part of a broader conversation.

Cirque du Soleil, première et médias sociaux

L’été dernier, j’ai été embauchée par Le Cirque du Soleil, pour donner une conférence privée à son président, monsieur Daniel Lamarre, et tous ses vice-présidents, réunis lors de leur réunion mensuelle. J’y ai parlé entre autres de médias sociaux et de l’importance de ceux-ci dans une optique de relations publiques. Un an plus tard, Le Cirque du Soleil lance le spectacle Totem, de Robert Lepage, et fait une place importante aux blogueurs, lors de la conférence de presse et de la première, qui avait lieu hier soir. Je trouve ça très positif pour le Cirque de même que pour les médias sociaux. Les médias sociaux ne remplaceront jamais les journalistes et comme je l’ai mentionné maintes fois, je ne vois pas de guerre entre les journalistes et les médias sociaux. J’y vois plutôt une complémentarité et une collaboration possible. Comme l’a noté le journaliste blogueur Dominic Arpin :

Bravo au Cirque du Soleil pour son ouverture face aux médias sociaux. Preuve à l’appui. #totem http://yfrog.com/2f4blj

Cette « première » risque d’avoir un effet d’entraînement positif sur l’ensemble des communications d’entreprises et c’est tant mieux.
Pour ce qui est du spectacle lui-même, vous en avez une idée en lisant mes divers status Twitter :

Le show Totem du Cirque du Soleil va débuter = wouhouhou
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13036568565
1iere portion de Totem http://twitpic.com/1j7sr1
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13036947373
3e portion de #Totem http://twitpic.com/1j7v51
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13037418225
4e portion de #totem http://twitpic.com/1j7wbl
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13037637415
Les asiatiques sur monocycles a#totem sont trop cute et bonne
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13037890554
Photo #totem jonglerie http://twitpic.com/1j816o
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13038580180
Photo jonglerie 2 #totem http://twitpic.com/1j83vz
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13039113614
Acrobates #totem http://twitpic.com/1j856q
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13039371430
Entracte de #totem et jusqu’à présent : WOW quel spectacle et la foule qui grippe sur le CH en même temps
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13041472685
Les clowns #totem http://twitpic.com/1j8il2
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13041953968
Show son Lumière jonglerie #totem http://twitpic.com/1j8np7
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13042891422
Que dire de #totem? Lepage les artistes costumes éclairage musique scenographie tout etait parfait et merveilleux
http://twitter.com/MichelleBlanc/status/13045455291

Notez que toutes ces photos ont été prises et mise en ligne depuis mon téléphone iPhone 3GS, via les applications Twitbird et Twitpic.
En complément d’information, je vous invite aussi à relire mon billet : Robert Lepage et les médias sociaux

MAJ
Voici des extraits vidéo du spectacle, pris lors de la conférence de presse, avec mon iPhone.

Cirque du Soleil, Totem, extrait du spectacle no. 1
envoyé par MichelleBlanc. – Découvrez plus de vidéos créatives.


Cirque du Soleil, Totem, extrait du spectacle no. 2
envoyé par MichelleBlanc. – Découvrez plus de vidéos créatives.


Cirque du Soleil, Totem, extrait du spectacle no. 3
envoyé par MichelleBlanc. – Découvrez plus de vidéos créatives.

Conférencière Tourisme Web 2.0 : communication directe avec la clientèle

Demain je vais faire un petit tour à Rouyn-Noranda, pour divers mandats de consultation et surtout, pour être conférencière lors de l’événement Prenons les devant du Colloque de l’industrie touristique en Abitibi-Témiscamingue, organisé par Tourisme Abitibi-Témiscamingue.

Dans un monde Web en perpétuelle évolution, s’offrent à nous des opportunités. Encore faut-il être en mesure de les saisir! La relation avec le client prend une toute nouvelle tangente avec l’avènement des médias sociaux. Il faut lâcher prise sur le contenu et laisser la parole aux utilisateurs, mais comment se traduit ce changement pour nos entreprises touristiques?

Voici donc la présentation que j’y ferais :
Tourisme Web 2.0 : communication directe avec la clientèle

conférencière – Le Citoyen 2.0

Aujourd’hui je suis conférencière à St-hyacinthe pour parler lors d’un événement conjoint de la Corporation des officiers municipaux agréés du Québec et du Réseau de l’Informatique Municipale du Québec, de la relation avec les citoyens à l’ère du Web 2.0. Je trouve fascinant que les fonctionnaires municipaux se penchent sur ces questions et j’anticipe qu’ils vont un jour changer la façon dont le citoyen interagit avec ceux qui sont dans le fond, nos employés. Comme cela est mon habitude, voici donc le PowerPoint de ma présentation.
Le citoyen 2.0

Robert Lepage et les médias sociaux

Photo originale de Nathalie Rivard

Photo originale de Nathalie Rivard

Hier je devais faire un billet sur Le Cirque du Soleil (dévoilement, j’ai fait une conférence privée sur les médias sociaux au président du Cirque du Soleil M. Daniel Lamarre et à ses vice-présidents l’été dernier. Ils sont donc mes clients.). C’est que j’y ai été invitée au même titre que les journalistes culturels cette semaine, pour la conférence de presse qu’ils donnaient pour le tout nouveau spectacle Totem, monté par le Grand Robert Lepage. Les événements d’hier  et mon billet Nathalie Petrowski, Nathalie Petrowski, Nathalie Petrowski, ont donc remis ce billet à plus tard. C’est que contrairement à madame Petrowski, moi je ne suis pas payée pour écrire ici. Je le fais par plaisir et par soucis marketing d’auto-promotion. Ce n’est pas pareil. Toujours est-il que j’eus l’insigne honneur d’interviewer monsieur Robert Lepage à propos de sa pratique médias sociaux. Tout le monde n’est certainement pas obligé d’y être et c’est très bien ainsi. D’ailleurs, la copine Geneviève Lefebvre écrivait sur son mur Facebook (elle me pardonnera de la citer ici) :

J’ai trouvé très rafraîchissant un Robert Lepage en entrevue avec Michelle Blanc qui avoue candidement sa totale absence de désir d’être sur les médias sociaux. Vive la différence!

(…)

ce à quoi répondait Christian Aubry (qui me pardonnera aussi de la citer ici)

Excellente conclusion, Geneviève. Et j’aime bien le fait que Michelle, “gourou” du Web 2.0 s’il en est, nous présente ce point de vue divergent sans agressivité, voire même avec respect et bienveillance. Ça aussi, c’est très cool.

et Geneviève Lefebvre de rétorquer

C’est exactement ce que j’ai aimé de leur rencontre! 🙂 Il n’y a pas de “bonnes” ou de “mauvaises” réponses. Il y a les individus qui doivent respecter leur nature, c’est tout! Bon samedi à toi, très agréable intervention de ta part.

Quel contraste avec la crise d’urticaire de Nathalie Petrowski!

Jugez-en par vous-même…

Robert Lepage à propos de Twitter, Facebook et blogue
envoyé par MichelleBlanc. – Découvrez plus de vidéos créatives.

RDI Économie, L’état du Web 2010 au Québec et la Netiquette

Hier soir j’ai encore eu le plaisir et l’honneur d’être invitée sur le plateau de l’excellent Gérald Fillion, à son émission à RDI En direct sur l’économie. Nous nous retrouvions pour parler du plus récent sondage du CEFRIO/Leger Marketing : Enquête NETendances 2009 – Les Québécois passent à la mobilité « intelligente ». J’y discute des chiffres très positifs présentés dans le sondage, mais aussi des chiffres qui n’y sont pas et qui font état de notre « haute vitesse » qui s’y on la compare au reste du monde, est plutôt très lente, et des entreprises québécoises qui tirent de la patte en matière d’adoption des technologies (tel que révélé dans l’étude du CEFIO NetPME) et de notre économie numérique qui chaque mois, voit de 30 à 60% des dépenses en ligne, sortir du pays.


Gérald Fillion – Le web en 2010
envoyé par radio-canada. – L'info video en direct.

Le communiqué du CEFRIO
Autres billets sur le sujet
Les sites web des entreprises québécoises sont d’une désuétude…

Les achats en ligne des Québécois qui sont faits hors du pays de 30 à 60% chaque mois

Moins de 10% du vol d’identité vient de l’internet

Par ailleurs, ce matin j’étais avec la très gentille Isabelle Maréchal au 98.5FM pour discuter de Netiquette.

Entrevue avec Isabelle Maréchal à propos de la Netiquete